Lundi 4 septembre 1 04 /09 /Sep 12:25

Natacha achève de me travestir en apportant les dernières retouches à mon maquillage.

Elle me contemple un instant dans ma lingerie glamour.

Ayant l'habitude de prendre l'initiative, elle m'entraîne vers son lit en me disant :

- Aujourd’hui, c'est toi qui fait la fille.

- Allonge toi, je vais te faire essayer mon nouveau jouet, rajoute-t-elle en me bandant les yeux pour que je me concentre mieux sur le plaisir qui m'attend.

Puis, elle pose sur mon ventre une masse volumineuse et lourde qui va de la racine de mes cuisses jusqu'aux bonnets 105/D de ma guêpière.

 

- Tu as quelques instants pour découvrir ton nouveau jouet, me dit-t-elle.

Je réalise avec inquiétude que ce gode est hors norme et que je n'ai jamais été prise par un tel calibre.

- Il est monstrueux, lui dis-je d'une voix troublée en l'entourant de mes mains pour estimer sa grosseur.

- C'est vrai ma chérie, ce phallus est doté d'un gland impressionnant et mesure dix centimètres de diamètre à sa base.

- De plus, sa longueur va me permettre de t'empaler jusqu'au nombril...

En le palpant, je remarque avec satisfaction que son gland épais et bien formé va me donner du plaisir.

Je fais glisser mes doigts le long de sa hampe sur laquelle courent de grosses veines saillantes en pensant que ce sexe va me déclencher d'intenses et fortes sensations.

 

J'ai soudain l'envie physique d'être prise par ce sexe qui me fait fantasmer en répondant si bien à mes attentes.

Je tente de me rassurer en me disant que j'utilise depuis de nombreuses années des jouets de gros calibres.

 

Me voyant maintenant plus détendue, Natacha s'empare du gode pour le lubrifier.

Elle m'allonge sur le dos en plaçant un épais coussin sous mes fesses.

Puis, elle écarte la fente de ma culotte ouverte en tapotant doucement le gland contre mon œillet qui frémit de désir.

 

En le sentant frapper à ma porte, j'ai la gorge nouée par l'émotion.

Recherchant son contact, je le presse entre mes cuisses gainées de nylon.

 

Mon souffle devient court et mon cœur s’accélère lorsque ma maîtresse accentue la pression.

Ayant une envie irrésistible d'être prise, je tends mon ventre vers l'avant en poussant pour mieux m'ouvrir à ce pal qui s'apprête à me fouiller les entrailles.

 

Lorsque le gland s'enfonce dans mes reins, j'ai l'impression d'être encore vierge et de subir un véritable viol.

J'écarte en grand les cuisses pour mieux absorber ce pal qui m'embroche.

 

Natacha empoigne ma colonne de chair en la sentant tressauter de désir dans sa main.

Elle me masturbe pour diminuer la souffrance qu'elle m'impose en forçant mon passage.

Avec perversité, elle flatte mon instinct masochiste en associant la douleur au plaisir.

 

Je ressens un net soulagement lorsque le gland finit par rentrer.

Ma domina fait alors une pause pour me laisser souffler.

- Le plus dur est passé, m'assure-t-elle en lubrifiant copieusement les vingt centimètres restant.

Quand elle commence à aller et venir dans mon ventre, j'ai l'impression d'être ouverte en deux.

Je cambre les reins pour faire ressortir ma croupe en roulant des hanches pour qu'elle me pénètre plus à fond.

Je sais qu'elle est parvenue à ses fins lorsque je sens les bourses du gode se plaquer contre mes fesses.

Quel bonheur de me sentir remplie par cette queue massive et dense!

 

Pendant qu'elle me fouille sans trêve les entrailles, je sens une vague de désir m'irradier le ventre.

J'éprouve une forte jouissance en étant prise car l'anus est une zone érogène mieux vascularisée et innervée qu'un vagin.

 

Le fait d'avoir les yeux bandés amplifie mon émoi.

Comme une femme qui caresse son bouton d'amour en serrant ses cuisses pour jouir, je titille mon frein en contractant mes sphincters pour mieux sentir les reliefs du pieu qui m'empale.

 

En me voyant me servir de mon cul comme d'un vagin, Natacha amplifie son action pour me porter le coup de grâce.

Elle stimule d'une main experte mon point G et la racine de mon sexe.

Soudain, une vague déferlante de plaisir m'emporte accompagnée d'une épaisse coulée blanchâtre qui sort lentement de ma verge en inondant ma guêpière.



J'éprouve un sentiment de frustration et de vacuité lorsque Natacha sort son gode de ma rosette en la laissant totalement béante.

J'explore avec volupté les replis de ma chatte enduite de silicone qui reste dans l'attente d'une nouvelle proie à dévorer.

Ma maîtresse me retire mon bandeau et je découvre avec fascination ce gode impressionnant qui m'a donné tant de plaisir.



M'apprêtant à passer la nuit avec Natacha, c'est avec surprise que je la regarde plaquer un gode ceinture contre sa guêpière.

Il est formé d'un gros gode XXL en externe et d'un plus petit en interne.

Après avoir enfoncé ce dernier dans sa chatte, elle attache solidement à sa taille celui qu'elle me destine.

En me fixant de son regard de braise, elle me montre ce sexe épais et long de trente centimètres sous tous les angles.

Il se balance menaçant entre ses cuisses avant de retomber lourdement sur ses genoux.

Elle se couche à mes côtés en me disant :

- Cette nuit, je vais pouvoir réaliser un de mes fantasmes en te violant pendant ton sommeil.

L'idée n'est pas pour me déplaire et je m'allonge sur le côté en lui tournant le dos tout en pressant le gode contre mon œillet.

Quelques heures plus tard, je me réveille en sentant le souffle de Natacha sur ma nuque.

Je suis étendue sur le ventre et plaquée contre le matelas par le poids de son corps.

Je réalise en sentant mon anus largement ouvert qu'elle m'a déjà empalée jusqu'à la garde.

Elle m'écarte les fesses avec ses pouces en espérant s'enfoncer encore plus à fond dans mes reins.

Puis, elle presse son pubis contre ma croupe en décrivant de larges et puissants cercles avec son bassin pour faire vivre en moi cette énorme queue qui me fouille méthodiquement les entrailles.

Excitée par la sensation de dominer son sujet et sentant le gode interne coulisser dans sa chatte et stimuler son clito, Natacha est la première à jouir.

Peu après, bien que ne bandant pas comme c'est souvent le cas dans l'orgasme anal, j'éprouve un plaisir intense et prolongé lorsque ma queue coule longuement et en continu entre mes cuisses.

Sandratvtg



Faites moi part de vos expériences dans l'utilisation de vos jouets intimes.

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Dimanche 3 septembre 7 03 /09 /Sep 19:54

Je rencontre des travestis ou trans aimant partager mes activités féminines.

Quel bonheur de passer du temps à se faire belle entre filles lors de séances d'essayages.

- Se maquiller, apprêter nos perruques, essayer les robes, jupes, bas, talons aiguilles.

- Porter les symboles de l'éternel féminin : des guêpières mettant nos seins siliconés en valeur, des porte jarretelles, nuisettes, strings et culottes rétro.

- Se caresser longuement en explorant nos dessous avant d'aller faire des câlins sous la couette.

- Utiliser les jouets qu'utilisent les filles entre elles : vibro, gode ceinture, plugs, spéculum, vacuum, fémidom.

- Vivre les jeux de rôles que l'on aura décidés ensemble.

- Je suis une femme phallique active ou passive qui aime aussi dominer son sujet lors de jeux sado maso soft.

- Avec mon 1,87m sans talon et mes 85kg, je suis une dominatrice crédible.

- Je n'aime pas la vulgarité ou les personnes brut de décoffrage.

Une journée n'est pas de trop pour vivre en partie ces intenses moments de plaisir.

J'ai mis de nombreuses photos sur ce blog ainsi que les jeux de rôles que j'aimerai vivre avec celle qui partarge mes désirs.

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Samedi 2 septembre 6 02 /09 /Sep 17:53

Comme cela doit se faire, je porte toujours mon porte jarretelles par dessus ma culotte fendue.

C'est beaucoup plus seyant et cela met ma lingerie et ma taille en valeur.

La plupart des filles font l'inverse pour pouvoir abaisser plus facilement leur culotte en allant aux toilettes.

Elles perdent ainsi toute l'élégance de leur lingerie.

 

Quant à moi, je prends beaucoup de plaisir à m'asseoir sur la lunette des toilettes comme une fille pour vider ma vessie.

Dans ce cas, je laisse la porte ouverte pour que mon ami puisse m'observer dans ce moment d'intimité féminine.

Perchée sur mes escarpins, je retrousse ma jupe sur ma taille avant de m’asseoir en équilibre instable sur la lunette des WC.

Puis, je fais glisser sensuellement ma culotte sur mes cuisses gainées de nylon dans l'espace laissé libre sous mes jarretelles.

Dans le même temps, l'échancrure de mon corsage s'ouvre en dévoilant mes seins siliconés blottis dans mon soutien gorge.

Une fois soulagée, je me relève en tournant le dos à la porte, les jambes écartées.

Puis, je m'appuie contre le mur, les bras tendus en creusant les reins pour faire ressortir ma croupe et en gardant ma culotte abaissée à mi cuisses.

Pendant ce temps, je sais que le regard de mon ami remonte lentement de mes talons aiguilles vers mes bas à couture avant de se fixer sur mes fesses.

Lorsque je sens ses mains s'accrocher à mes hanches et son gland frapper à ma porte, je m'empale lentement sur sa queue en pressant mes fesses contre son ventre.

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Samedi 2 septembre 6 02 /09 /Sep 12:59

Comment je prends mon plaisir quand j'ai peu de temps.

 

Je me déshabille dans ma chambre en enfilant avec volupté mes bas à coutures et une nuisette très glamour pour me sentir plus femme.

Le contact des mailles en nylon sur ma queue et mes cuisses m'excite fortement les sens.

 

Puis, je choisis un plug de gros calibre que je lubrifie amplement avant de m'empaler dessus.

Dans un premier temps, son fort diamètre ne lui permet pas de s'enfoncer plus de quelques centimètres dans mes fesses.

 

Devant la glace qui me fait face, je vois ma chatte humide de désir s'ouvrir peu à peu sous la pression du pal qui stimule fortement ma prostate en rendant ma queue de plus en plus dure.

 

Puis, mes chairs s'assouplissent en s'écartant lentement lors de son passage.

Voulant faire durer la séance, je reste immobile en m'empalant uniquement par le poids de mon corps.

Je regarde mon plug s'enfoncer inexorablement en moi en gémissant de plaisir.

Grâce à sa forme ovale et lisse, il me pénètre en douceur.

L'excitation me gagne et je m'active maintenant en poussant pour pouvoir absorber son plus gros diamètre.

D'un coup de rein, je finis de m'empaler en entendant le claquement sec du socle se plaquer d'un coup contre mes fesses.

J'ai alors le sentiment d'être comblée.

Pendant quelques minutes, je reste immobile en savourant intensément cette sensation de me sentir bien prise.

Puis, je me masturbe en utilisant ma nuisette comme un manchon.

Les frottements du nylon sur mon frein me font jouir rapidement.

 

Ma sève jaillit alors en épaisses coulées blanchâtres et transperce ma nuisette en ruisselant entre mes cuisses gainées de nylon.

Le souffle court et le regard trouble, je me vide longuement en sentant mes contractions anales amplifier mon plaisir.

 

Dites moi comment vous vous donnez du plaisir rapidement ?

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Vendredi 4 août 5 04 /08 /Août 16:43

 

Un des mes jouets intimes,

 

Après m'être épilée, maquillée et coiffée d'une perruque, j'enfile ma plus belle lingerie pour passer ma journée en fille à la maison.

- Quel bonheur ce temps passé à se faire belle devant ma coiffeuse

- J'aime me voir devant le miroir de ma chambre perchée sur mes talons aiguilles en ayant la taille prise dans ma ravissante guêpière.

- Sentir la tension de mes jarretelles sur mes cuisses et le balancement de mes seins à chacun de mes pas...

 

Assise dans un fauteuil, je croise et décroise mes cuisses afin d'entrevoir sous ma nuisette ma culotte fendue en satin rose.

Après avoir passé un long moment à poser devant la glace, je suis maintenant impatiente de prendre mon plaisir.

Je m'allonge sur mon lit en fléchissant les genoux et en plaçant deux coussins sous mes fesses.

Puis, j'écarte les cuisses en plongeant mon plug gonflable dans ma grotte.

En pressant la poire, je sens mes chairs s'ouvrir lentement sous la pression du ballonnet.

 

Je poursuis mon action jusqu'à ce que la tension devienne difficilement supportable et m'oblige à faire une pause.

Dilatée à l'extrême, je savoure ce moment de plaisir et de douleur mêlés.

Puis, pour fortifier mes sphincters, je les entraîne à résister à ces pressions afin de serrer plus fortement la queue de mon ami.

 

Je me sens vraiment dans la peau d'une fille en ayant le plug enfoncé dans ma chatte.

Comme elle, je contracte mon bas ventre en frottant mes cuisses l'une contre l'autre pour faire monter mon désir.

Ayant déjà pressée une vingtaine de fois la poire de mon jouet, j'ai maintenant la sensation d'être prise par une queue monstrueuse qui grossit sans fin en moi...

Quelques instants plus tard, mes muscles intimes s'étant assouplis, je peux satisfaire mes pulsions sado masochistes en me dilatant cette fois au maximum.

 

J'imagine fort bien les onze centimètres de diamètre que mon plug occupe maintenant dans mon ventre pour l'avoir déjà gonflé à l'air libre.

A bout de résistance, je relâche d'un coup mes sphincters en laissant le ballonnet m'écraser les entrailles.

La sensation est telle que je retiens mon souffle...

Les fortes pressions exercées sur ma prostate font jaillir quelques gouttes de sperme de mon gland.

Totalement comblée, je finis par jouir du cul en voyant une épaisse coulée de sève sortir lentement de ma queue.

 

Reprenant mes esprits, je caresse avec mes doigts ma chatte béante enduite de silicone.

J'aime explorer ses replis soyeux qui sont agréables au toucher.

 

Étant toujours largement ouverte, j'en profite pour m'empaler sur mon B52 qui me demande d'habitude une longue préparation pour l'enfoncer dans mes fesses.

Cette fois-ci, étant bien ouverte, j'arrive à m'empaler plus rapidement sur cet énorme plug qui m'arrache des gémissements de plaisir.

Face à la glace, allongée sur mon lit, les cuisses écartées, je reste un long moment immobile en savourant le plaisir de me sentir dilatée à l'extrême.

Au quotidien, je me sers plutôt de mes plugs de 6 à 7 cm de diamètres car ils me demandent moins de temps pour arriver à mes fins.

Parfois ma maîtresse majore mon plaisir en m'enfonçant en plus un plug urétral dans la verge pour exercer une stimulation à la fois anale et vésicale sur ma prostate.

Il ne lui faut pas longtemps pour me vider les bourses jusqu'à la dernière goutte de sève.

En retirant le plug de mes reins, son regard se pose sur ma chatte béante de désir qui semble attendre une nouvelle proie à dévorer.

Voulant remédier à cette frustration, elle me fiste à deux mains sans me quitter des yeux.

 

 

Donnez moi votre expérience concernant le plug anal gonflable.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Vendredi 4 août 5 04 /08 /Août 16:42

 

Sublime Maîtresse,

 

Un sourire enjôleur au coin des lèvres, Sandra m'entraîne dans sa chambre.

Elle aime prendre l'initiative lors de nos ébats.

- Aujourd’hui, tu vas faire la fille! M'annonce-t-elle d'emblée.

- Déshabille toi vite ma chérie.

Dans son armoire débordante de lingerie, elle choisit avec soin les dessous qu'elle me destine.

- Essaye ces ravissantes petites choses, me susurre-t-elle à l'oreille en me tendant un ensemble de dessous vaporeux.

Je la laisse m'agrafer une guêpière ornée de quatre paires de jarretelles et garnir mes bonnets 105/D de voluptueuses prothèses en silicone.

Puis, Sandra remonte deux affriolantes jarretières le long de mes cuisses en déclenchant sans le vouloir mon érection.

Heureuse de m'avoir excitée, elle me presse tendrement les bourses.

- Ton gros clito m'impressionne ma belle.

Me voyant succomber à ses caresses, elle en profite pour glisser sur mes hanches une adorable culotte ouverte.

Les frottements du satin sur mon gland me mettent dans tous mes états.

Une robe de nuit fendue jusqu'à la taille et des talons aiguilles achèvent ma métamorphose.

Sandra vient se coller contre moi en m'embrassant à pleine bouche.

Son genou remonte le long de mes cuisses en me pressant la queue qui laisse échapper quelques gouttes de sève.

Puis, elle me vrille un plug dans les fesses.

- Cela devrait te faire patienter!

 

Assise devant le miroir de sa coiffeuse, je retrousse ma robe de nuit en lui montrant ma verge dressée contre ma guêpière.

Comme une fille, je frotte mes cuisses l'une contre l'autre en contractant mes muscles internes sur mon jouet pour amplifier le désir qui monte dans mes reins.

- Regarde, il me fait déjà de l'effet, lui dis-je en souriant.

Pendant ce temps, Sandra me maquille les yeux avec du mascara et du fard à paupières tout en fixant mon sexe en érection.

Elle poursuit en soulignant mes lèvres d'un rouge vif et en me coiffant d'une perruque blonde bouclée très glamour.

Puis, elle rentre ma queue entre mes cuisses en la fixant avec un adhésif.

- Tu dois maintenant te sentir plus femme, me dit-t-elle en m'accompagnant devant le miroir.

En effet, tel un papillon sorti de sa chrysalide, je constate que ma métamorphose est totale.

 

Devant la glace, j'admire mon déshabillé qui s'ouvre sur mon triangle de vénus soigneusement épilé.

- Tu es craquante ma chérie, s'exclame Sandra.

Je fais quelques pas campée sur mes talons aiguilles en roulant des hanches comme une Messaline.

Le miroir me renvoie l'image d'une fille parée de tous les symboles de la féminité.

Sous le poids de ma poitrine de rêve, je sens mes bretelles de soutien gorge s'incruster dans mes épaules.

Cela a failli me trahir un soir au lit avec ma femme qui s'étonnait de ces marques sur ma peau et surtout des empreintes de jarretelles sur mes cuisses.

Prétextant des raisons esthétiques, j'avais obtenu son accord pour m'épiler régulièrement le corps sans lui dire que j'aimais aussi me travestir.

Il m'a fallu beaucoup d'imagination ce soir là pour détourner ses soupçons.

 

Étant cadre commercial, je passe souvent mes nuits à l'hôtel.

De ce fait, j'emporte toujours avec moi un sac contenant mon nécessaire de maquillage, perruques, seins en silicone, dessous coquins, escarpins et aussi mes principaux jouets. ( gode ceinture, vibro, rosebud, vacuum, plug gonflable..)

Ne pouvant pas vivre mes fantasmes avec mon épouse, il m'arrive parfois d'inviter un travesti ou une fille vénale à venir me rejoindre dans ma chambre.

Je reçois d'ailleurs souvent les mêmes car avec l'habitude, ils savent mieux me donner du plaisir.

Avant leur visite, je me réserve toujours une heure pour me préparer.

Quel bonheur ce temps passé devant la glace à me transformer en bourgeoise BCBG qui s'apprête à passer la nuit avec une copine lesbienne !

Ma métamorphose achevée, je m'allonge sur le lit pour mettre en place mon préservatif féminin en écartant les cuisses pour l'enfoncer dans ma grotte.

Afin de pimenter la séance, je fixe sur le harnais de mon gode ceinture mon calibre préféré.

Je brûle d'impatience de voir ma belle visiteuse s'approcher de moi avec cet impressionnant phallus sanglé à sa taille.

En l'attendant, je frotte sensuellement mes cuisses gainées de nylon l'une contre l'autre pour sentir l'excitant contact des fibres synthétiques et entendre le crissement de mes bas.

 

Je dois avouer qu'avec le temps, je suis devenue dépendante du plaisir anal.

J'ai pris conscience que l'anus a davantage de terminaisons nerveuses qu'un vagin.

Ma queue est toujours plus dure lorsque je m'enfonce un plug dans les fesses car il stimule mon point G en pressant la racine de mon sexe.

De plus, je ressens toujours une forte excitation cérébrale en sentant mon anus dilatée.

Ma longue expérience me permet d'obtenir maintenant une jouissance plus intense et prolongée qu'un orgasme pénien.

 

 

Dans ma chambre, je prends des poses suggestives devant ma glace en caressant mon frein qui est aussi sensible qu'un clitoris et en me godant l'anus comme un vagin.

 

Lorsque l'on frappe à ma porte, j'enfile une robe de nuit transparente sur ma guêpière en étant ravie de pouvoir montrer la femme que je suis devenue.

 

C'est donc au retour de l'une de ces aventures que ma compagne s'est interrogée sur les marques de mes bretelles de soutien gorge et de jarretelles sur ma peau.

 

Mais, revenons à Sandra.

Impatiente de commencer, elle me pousse dans un fauteuil en s'agenouillant entre mes jambes.

Plongeant sa tête dans mes dessous, elle mordille le plug qu'elle m'a plantée dans les fesses.

- Tu mouilles déjà beaucoup Carole, s'étonne-t-elle en voyant ma culotte satinée s'auréoler de mon désir trop longtemps contenu.

Sans attendre, elle m'entraîne dans sa chambre.

Profitant de mon équilibre instable sur mes talons aiguilles, elle me culbute sur son lit.

Relevant mon déshabillé sur mes hanches, elle s'allonge sur moi en massant mon gland turgescent entre ses cuisses gainées de nylon.

Avec perversité, elle fait glisser sa chatte le long de ma hampe jusqu'à ce qu'un orgasme fulgurant m'emporte en me faisant exploser entre ses cuisses.

Sandra se relève en contemplant avec satisfaction les épaisses coulées blanchâtres qui s'accrochent comme des guirlandes à ses bas.

- Je t'ai vidé les bourses pour que tu résistes plus longtemps la fois prochaine.

Puis, prenant une serviette dans sa table de nuit, elle s'essuie l'entrejambe en rajoutant:

- Attends moi un instant, j'ai une surprise pour toi.

 

Elle réapparaît très vite en tenant dans la main une curieuse ceinture hérissée d'un triple gode.

Elle a un sourire au coin des lèvres en voyant mon étonnement.

- Nous allons nous gouiner entre filles, m'assure-t-elle en agitant son jouet sous mes yeux.

Elle laisse tomber sa robe à ses pieds en retirant sa culotte en dentelle.

Je contemple sans me lasser cette fille superbe qui ne porte plus que son corset, ses bas et ses cuissardes.

Elle plonge le premier gode dans sa chatte en étouffant un gémissement de plaisir.

Me fixant d'un regard trouble, elle appuie le second contre sa rosette en l'enfonçant lentement dans ses reins.

- Ces deux godes vont coulisser en moi quand je vais te baiser, s'exclame-t-elle avec excitation en ajustant soigneusement les harnais sur ses hanches.

Je la trouve irrésistible avec ses seins dressés et sa taille serrée dans son corset rose et noir.

- Regarde, je t'ai réservé le plus gros, rajoute-t-elle en me faisant face.

J'aperçois l'énorme pal qu'elle me destine.

- Je suis sûre que tu n'as jamais été prise par un tel calibre.

Me défiant du regard, cambrée sur ses talons, elle caresse avec perversité son gode monstrueux.

 

Allongée sur le lit, mon cœur bat la chamade lorsque cette envoûtante femme phallique s'approche de moi.

Je n'arrive pas à détacher mon regard de cette queue massive qui bat contre ses cuisses au rythme de ses pas.

Son diamètre augmente crescendo pour atteindre neuf centimètres à sa racine.

Je distingue nettement les grosses veines saillantes qui courent sur sa hampe.

Je sais par avance que son gland épais et bien formé va me donner du plaisir.

Je suis à la fois excitée et effrayée à la pensée d'être prise par un tel calibre.

Debout, sanglée dans son corset, Sandra l'empoigne à deux mains.

Elle bascule son bassin d'avant en arrière en donnant de puissants coups de reins dans le vide pour me montrer ce qui m'attend.

- Il est gonflé de sève, me dit-t-elle en pressant les bourses de ce phallus hors norme.

Avant que je puisse réagir, un jet puissant fuse en épaisses coulées blanchâtres sur mon visage.

Puis, Sandra vient se coucher à mes côtés en me retournant sur le ventre.

Elle effleure d'un doigt les renflements caractéristiques de mon anus qui témoignent de mes nombreuses expériences anales.

- Eh bien ma belle, je vois que tu aimes être prise par de gros calibres !

Elle explore longuement ma rosette avec sa langue en me faisant gémir de plaisir.

- Maintenant, mets toi sur le dos, m'ordonne t-elle quelques instants plus tard.

Après m'avoir lubrifié l'anus, elle glisse ses doigts l'un après l'autre dans ma culotte ouverte.

Puis, très vite, c'est sa main gantée de latex qui s'enfonce dans mes reins.

Je regarde fascinée son gode qu'elle vient de poser sur mon ventre.

Sa taille va de mon pubis jusqu'à la hauteur de mes seins, mais c'est surtout son épaisseur et son poids qui me donnent des frissons.

-Tu seras la première que j'empale sur ce gode, m'affirme Sandra en le faisant coulisser entre mes cuisses.

Peu après, elle empoigne mes talons aiguilles à deux mains pour m'écarter les jambes.

Quand je sens glisser ce sexe monstrueux dans le sillon de mes fesses, je suis partagée par la crainte et l'envie irrésistible d'être prise.

Sans me quitter du regard, Sandra presse fortement le gland contre mon œillet qui s'ouvre peu à peu comme un fruit mûr.

Son diamètre croissant me dilate à l'extrême et je cambre les reins en poussant pour m'embrocher plus facilement.

Chaque centimètre me comble d'un plaisir nouveau.

Je croise mes jambes dans le dos de Sandra pour garder mon bassin soudé au sien pendant qu'elle me pilonne l'anus à grands coups de reins.

- Tu as maintenant une queue d'un kilo plongée dans tes fesses, me dit-t-elle avec sadisme.

Décrivant de larges mouvements circulaires avec son bassin, elle me fouille le ventre en sentant vivre les deux autres godes dans ses orifices.

Parfois, elle sort de ma grotte en attendant que mon œillet se referme pour me transpercer à nouveau.

Peu à peu, la tête enfoncée dans sa voluptueuse poitrine, je sens le désir monter en moi.

Mes râles de plaisir ne tardent pas à résonner dans la chambre.

- J'ai trouvé ton point G, s'exclame Sandra en voyant quelques gouttes séminales sortir de mon gland.

- Ta queue va bientôt exploser, rajoute-t-elle en me masturbant.

A peine a-t-elle terminé sa phrase que mon sperme jaillit entre ses doigts en inondant ma guêpière.

Peu après, Sandra détache son gode ceinture en me disant :

- Baise moi, j'ai envie de toi.

Elle gémit doucement lorsque mes doigts effleurent sa chatte humide de désir.

Je l'allonge sur le dos en lui murmurant à l'oreille ce que je compte lui faire.

Ses yeux brillent de désir en découvrant le plug que je tiens à la main.

Elle laisse échapper un gémissement quand je le plonge dans ses fesses.

- Grâce à ce bijou anal, ta chatte est maintenant devenue aussi étroite que celle d'une vierge.

- C'est génial, je vais pouvoir te serrer davantage la queue, me dit-t-elle avec excitation.

- Viens vite, je n'en peux plus d'attendre, me supplie-t-elle en prenant ses talons à deux mains et en écartant ses cuisses sans pudeur.

 

Lorsque je la pénètre, elle croise ses jambes dans mon dos pendant que sa chatte avide de sexe me dévore la queue avec une rare voracité.

C'est un véritable gant de soie qui aspire et me serre la verge.

Pendant de longues minutes je m'active en elle avec ardeur en la faisant gémir de plaisir.

Puis, je lui retire son plug en l'allongeant sur le côté pour m'enfoncer dans ses fesses.

Tout en lui pilonnant les reins, je fais aller et venir un gode dans sa chatte en posant un vibro sur son bouton d'amour.

Cette triple stimulation ne tarde pas à la faire craquer.

Je m'active longuement en elle jusqu'à ce qu'elle jouisse en m'inondant le ventre de cyprine.

- Quel pied! S'exclame-t-elle.

- Maintenant, laisse moi te vider les couilles me dit-t-elle en devenant triviale pour mieux m'exciter.

 

S'asseyant à califourchon sur mon sexe, elle me tourne le dos pour pouvoir me goder en même temps car elle sait qu'elle doit me sodomiser pour que ma queue devienne bien dure.

 

S'activant de plus belle sur ma verge, elle fait également vivre le gode dans ma grotte jusqu'à ce que j'explose dans ses reins.

Elle se relève un instant plus tard en épongeant le sperme qui coule de ses fesses.

- Eh bien ma chérie, tu avais des réserves, me dit-t-elle admirative en enfilant sa jupe.

- Je te laisse un moment pour récupérer, me dit-t-elle.

 

Assise dos au mur, elle écarte les jambes en me fixant de ses yeux de braise.

Insatiable, elle s'enfonce un gode dans la chatte en posant un vibro sur son bouton d'amour.

Au bout d'un moment submergée par le plaisir, son regard se voile.

Elle est vraiment très belle...

Mon regard se pose tour à tour sur ses seins dressés dans son corset, sa jupe retroussée sur son ventre et ses bas à couture sortant de ses cuissardes.

Elle finit par jouir dans une succession de spasmes.

Toujours brûlante de désir, elle se met en levrette sur le lit, la croupe surélevée et la tête dans les draps.

- J'ai toujours envie de toi, me dit-t-elle.

Excitée par cette vision, j'écarte ses fesses à deux mains en posant ma queue contre son œillet.

- Maintenant, ne bouge plus et laisse moi faire, m'ordonne-t-elle les yeux brillants de désir.

Elle vient s'embrocher elle même sur ma verge en entamant de lents et puissants va et vient.

Puis, elle accélère le rythme en faisant claquer ses fesses contre mon ventre.

- J'aime sentir tes couilles me fouetter la chatte quand tu m'encules, s'exclame-t-elle.

S'apercevant que j'ai de plus en plus de mal à me contrôler, elle se colle contre moi en tortillant de la croupe pour m'achever.

Dans le même temps, elle glisse sa main entre mes cuisses en tirant sur mes bourses pour que je reste soudée à elle.

Ne pouvant plus me retenir, je donne un dernier coup de rein.

Transpercée par le poids de mon corps, Sandra a le souffle coupé quand je la cloue sur le matelas en déchargeant ma sève au plus profond de ses entrailles.

 

Nous faisons une pause en imaginant des jeux de rôles pour nos prochaines rencontres.

Prise d'une inspiration subite, elle se lève et sort d'un tiroir un plug gonflable vibrant d'une redoutable efficacité.

- Allonge toi sur le dos, m'ordonne-t-elle avec une lueur perverse dans le regard.

D'un geste précis, elle le plonge dans mes reins en le gonflant rapidement.

Un douleur aiguë m'envahit le ventre lorsque le ballonnet me dilate les chairs.

Sandra continue à presser la poire pour le faire grossir.

La tension devient vite insupportable.

Ma maîtresse pose alors un vibro sur mon frein pour associer le plaisir à la douleur.

Lorsque quelques gouttes de sève perlent à la surface de mon gland, elle me comprime la racine du sexe en s'exclamant:

- Je t'interdis de jouir pour l'instant.

Pendant un long moment, elle fait varier la taille du ballonnet en m'ouvrant l'anus jusqu'à dix centimètres de diamètre avant de le retirer de mes fesses.

Un instant plus tard, je la vois lubrifier avec inquiétude le pieu qu'elle me destine.

- Il va te donner des sensations fortes, me dit-t-elle avec un sourire pervers au coin de lèvres.

- Il est beaucoup trop gros, lui dis-je en protestant d'une voix faible.

- Comme tu es déjà bien dilatée, il finira bien par rentrer.

Je tremble d'appréhension et de désir lorsqu'elle s'allonge tête bêche sur moi en posant le gode contre ma rosette.

Elle sourit en voyant mon visage exprimer successivement la surprise, la crainte, le plaisir.

Puis, elle écarte mes fesses en m'enfonçant son gland monstrueux dans l' anus.

A chaque pression qu'elle exerce, j'ai l'impression qu'elle me poignarde le ventre.

Gémissant de douleur, j'essaye d'échapper à ce viol en resserrant mes sphincters et en tortillant de la croupe.

Ma résistance ne fait que stimuler les ardeurs de Sandra.

Mes chairs finissent par s'ouvrir lentement sous la poussée du pal qui force mon passage.

Soudain, mon anneau cède d'un coup en le laissant s'enfoncer au plus profond de mes entrailles.

Le gland étant passé, je ressens un net soulagement et j'éprouve maintenant du plaisir à me sentir dilatée.

Sandra s'en aperçoit et elle sort le gode pour le replonger brutalement dans mes reins.

Le souffle coupé, je reste tétanisée par la douleur.

- Tu as un cul splendide, s'exclame-t-elle sans pouvoir détacher son regard du phallus planté dans mes reins.

Me voyant m'agiter, Sandra serre ma tête entre ses cuisses pour garder le contrôle.

A moitié étouffée, je me calme très vite.

Elle sourit en voyant dans quel état elle m'a mise.

Ma queue humide est tendue de désir.

Elle sait qu'elle ne peut plus la toucher sans risquer de me faire jouir.

Pendant un long moment, elle prolonge mon plaisir par d'imperceptibles pressions sur le gode qui déclenchent mes contractions anales.

Au moment crucial, elle me prend dans sa bouche en m'enfonçant le gode jusqu'au fond de mes entrailles.

Pendant que je me vide dans sa gorge, Sandra étouffe mes râles de plaisir en collant sa chatte contre mes lèvres.

Après cette séance torride, je reste immobile en regardant fascinée cette énorme pal planté dans mon ventre.

 

.Merci de me laisser vos commentaires sur ce récit.





 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 





 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 





 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Publié dans : Récits femmes dominatrices - Communauté : Se travestir - Par sandratvtg
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Vendredi 4 août 5 04 /08 /Août 16:13

 

 

 

 

 

       Pourquoi préférer un plug anal plutôt qu'un gode ?

 

- Pour ma part, je me sens mieux prise et remplie par des plugs.

- Ses formes et ses diamètres multiples m'apportent davantage de sensations en me dilatant progressivement les chairs.

- L'anus a l'avantage d'être fortement vascularisé mais ce n'est pas le cas de l'intestin qui est peu innervé.

- C'est pourquoi la longueur d'un gode n'a pas d'intérêt.

- L'anus étant plus sensible qu'un vagin, je sens le sperme jaillir en moi alors que de nombreuses femmes ignorent souvent quand leurs amants jouissent en elles.

 

- L'autre intérêt d'un plug massif et court c'est qu'il me permet de faire l'amour dans toutes les positions sans être gênée.

- J'utilise plus souvent un gros calibre qui me provoque une forte érection en me donnant davantage de plaisir.

- Son volume me fait ressentir une exquise pesanteur dans le bas ventre et sa base épaisse me laisse l’œillet dilaté en permanence.

 

- Une fois la tête passée, cette masse douce et ferme se propulse d'un coup dans mes reins.

- J'entends alors le claquement sec du socle buter contre mes fesses qui me confirme que je suis bien prise.

- Ma jouissance est telle que je dois résister à l'envie d'utiliser des calibres toujours plus gros.

- Je ne peux plus me passer de ces dilatations qui m'ont rendue dépendante de l'orgasme anal.

 

 

Aujourd'hui, j'ai décidé de passer la journée en fille pour essayer mon nouveau jouet car j'aime sentir le contact de ma voluptueuse lingerie sur ma peau dans ces moments de plaisirs.

- Épilée et coiffée d'une perruque blonde coupée au carré, j'apporte les dernières touches à mon maquillage.

Je poursuis ma métamorphose en me glissant dans une guêpière ornée de dentelles tout en plaçant mes seins en silicone dans mes bonnets 105/D.

J'enfile ensuite une ravissante culotte ouverte en accrochant mes jarretelles à mes bas.

Cette lingerie en satin et les frottements de mes bas nylon sur mes cuisses m'excitent fortement les sens.

Perchée sur mes escarpins, j'adore prendre des poses suggestives devant la glace en sentant le désir monter dans le creux de mes reins.

 

- Puis, je m'allonge sur mon lit en sortant du tiroir le mythique plug B51.

Je presse voluptueusement cette masse arrondie entre mes cuisses en pensant au plaisir qui m'attend.

En le lubrifiant, je suis toujours impressionnée par ce gros calibre qui me fait craindre de ne pas arriver à mes fins.

 

J'ai soudain l'idée d'utiliser mon banc de fitness pour me faciliter la tâche.

M'asseyant dessus à califourchon, j'écarte la fente de ma culotte en posant mon jouet contre mon anneau.

Penchée en avant et en appui sur mes bras, j'ai les jambes fléchies.

Dans cette position confortable, je peux m'empaler longuement sans fatigue.

Je m'embroche peu à peu par d'imperceptibles bascules du bassin en amortissant le poids de mon corps avec mes cuisses.

 

Quel plaisir de sentir mon œillet se dilater sous l'implacable pression du pal.

Je pousse pour m'ouvrir l'anus et le faire rentrer en moi.

Le plus gros étant passé, sa base plus étroite est littéralement aspiré par mes sphincters qui le propulsent dans mon ventre.

Une fois bien encastré dans mes fesses, je reste un moment immobile en savourant cette excitante sensation de me sentir bien remplie.

Mon jouet me dilate maintenant à l'extrême en pressant ma prostate et la racine de mon sexe.

Cela me provoque une spectaculaire érection qui fait perler quelques gouttes de sève à la surface de mon gland.

 

Un peu plus tard, mes sphincters s'étant assouplis, je peux en alternance facilement expulser ce pal et m'embrocher à nouveau dessus.

Puis, j'initie d'amples mouvements circulaires du bassin pour majorer mes sensations.

Comme une femme qui caresse son clito et contracte son vagin pour jouir, je titille mon frein en serrant mes sphincters sur ce plug qui m'empale pour mieux le sentir vivre en moi.

Avant que la vague déferlante ne m'emporte, je m'allonge sur mon banc et j'écarte les cuisses pour me voir jouir devant la glace.

Lorsque ma queue jaillit de ma culotte fendue, mon attention est attirée par l'énorme socle du plug qui tressaute sous l'effet de mes contractions anales.

Je retarde le plus possible mon orgasme jusqu'à ce que ma source de vie se répande lentement en une coulée blanchâtre sur ma guêpière et mes cuisses gainées de nylon.

 

Je savoure pleinement ce moment en constatant une fois de plus que l'orgasme anal est beaucoup plus intense et prolongée qu'un orgasme pénien.

 

Dites moi comment vous utilisez vos jouets.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Vendredi 4 août 5 04 /08 /Août 16:12

 

 

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      Le plug Prowler est bien connu des amateurs.

En le lubrifiant, je suis toujours impressionnée par ses 7 cm de diamètre qui est la taille idéale pour me préparer au fist...

Allongée sur mon lit, je serre voluptueusement cette masse douce et ferme entre mes cuisses gainées de nylon en pensant au plaisir qui m'attend.

 

Avec fébrilité, j'écarte les dentelles de ma culotte fendue en pressant cette masse oblong contre mon œillet.

Puis, je pousse pour m'ouvrir l'anus en m'aidant du poids de mon corps pour m'empaler plus facilement.

 

Par petites pressions circulaires, je l'enfonce lentement jusqu'à son plus gros diamètre en ayant l'impression d'être ouverte en deux.

Lorsque mes sphincters aspirent d'un coup sa tête en forme d'ogive, un sentiment de plénitude m'envahit lorsque je me sens bien prise et remplie.

Sa base de 5 cm maintient mon œillet dilaté en permanence en me procurant un plaisir extrême.

Les fortes pressions qu'il exerce sur ma prostate et la racine de mon sexe ne tardent pas à imprégner ma culotte satinée d'auréoles blanchâtres.

 

Lorsque je le fais aller et venir en moi, je ressens une exquise pesanteur dans mon bas ventre.

Puis, je contracte mes sphincters sur cette masse ovale douce et ferme en sentant le plaisir monter dans mes reins.

 

Quelques instants plus tard, je retire mon jouet en gardant mes jambes fléchies et les cuisses bien ouvertes devant la glace pour contempler mon œillet béant de désir.

Je comprends maintenant pourquoi mon amie utilise toujours ce gros calibre avant de me fister.

A l'aide de mes doigts, j'explore longuement ma chatte douce et soyeuse recouverte de silicone.

Puis, je cambre les reins pour m'embrocher avec volupté sur mon plug.

 

Grâce à mes puissantes bascules du bassin d'avant en arrière, mes fesses s'ouvrent comme un fruit mur et je ne tarde pas à entendre le claquement sec du socle qui s'encastre dans mes fesses.

 

Je m'empale sans relâche en regardant mon œillet aspirer maintenant facilement cette énorme masse.

Les frottements répétés de ma culotte en satin sur mon gland ne tardent pas à me faire atteindre le point de non retour.

Ma sève se met à couler lentement en inondant ma guêpière car l'orgasme anal me provoque toujours d'abondantes et longues éjaculations.

Cela est du au fait que l'anus est mieux innervé qu'un vagin et que la stimulation de la prostate donne un plaisir plus intense et prolongé.

 

J'ai déjà essayé une bonne dizaine de plugs mais c'est le premier dont je ne peux plus me passer.

Je me sers moins de mes autres gros calibres car après quelques jours d'abstinence, il me faut toujours une longue préparation pour m'ouvrir aux diamètres de 8 à 10 cm.

 

 

Faites moi part de vos expériences.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Vendredi 4 août 5 04 /08 /Août 16:10

 

 

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Mon amie Barbara,

 

 

 

J'accueille Barbara avec impatience.

C'est une ravissante brune aux yeux bleus qui me fait l'amour sans tabou.

Elle aime mettre en scènes nos fantasmes en imaginant d'excitants jeux de rôles.

- Tu vas craquer en découvrant mes dessous, m'assure-t-elle

Je remarque qu'elle porte déjà tous les artifices de l'éternel féminin.

Une jupe rouge ultra courte, gonflée par un jupon vaporeux, dévoile ses jarretelles tendues sur la peau mate de ses cuisses.

Des talons de neuf centimètres allongent ses jambes gaînées de nylon en sublimant le galbe de ses mollets mis en valeur par ses escarpins.

D'un regard provoquant, elle dégrafe son corsage pour me faire admirer ses seins jaillissant de son balconnet.

 

Je meurs d'envie de la violer lorsqu'elle fait semblant d'ajuster ses bas en m'exhibant ses fesses moulées dans sa culotte en satin.

Puis, elle m'observe du coin de l’œil.

Je porte une lingerie glamour et une perruque blonde mi courte encadre mon visage.

Mes nombreuses années passées à me travestir m'ont permis de devenir une fille crédible tant sur un plan physique que psychique.

 

Barbara semble satisfaite de son examen car elle me dit:

- Ne perdons pas de temps ma chérie.

Elle me tend un verre d'eau en me glissant une pilule bleue dans la bouche.

- Avale ça ma belle, c'est du viagra.

- C'est indispensable si tu veux tenir toute l'après midi avec moi.

- Son regard se trouble en me voyant prendre des poses suggestives devant la glace.

- Regarde, j'ai déjà envie de toi, me dit-t-elle.

Je craque lorsqu'elle soulève sa jupe en me dévoilant sa queue plaquée contre son corset.

J'admire son gland épais et sa hampe qui va en s'élargissant jusqu'à sa racine.

Je pense alors à tous ce que je vais pouvoir vivre avec cette femme phallique.

- Tu ne peux pas me laisser dans cet état, rajoute-t-elle en me montrant sa queue en érection.

Encouragée par ses paroles, je tombe à ses genoux en remontant mes mains jusqu'à la lisière de ses bas.

Puis, plongeant ma tête sous sa jupe, je caresse ses cuisses fuselées sur lesquelles sont tendues quatre paires de jarretelles.

Elle gémit doucement lorsque je mordille sa queue à travers sa culotte satinée.

Tout en la masturbant, je lui enfonce mon rosebud dans les fesses.

 

J'adore faire l'amour avec des transsexuelles car elles sont souvent plus féminines que leurs sœurs biologiques.

Malheureusement, celles-ci ont préféré adopter le style androgyne des stylistes qui leurs imposent de porter des vestes, des pantalons et des baskets ce qui leur enlèvent toute féminité.

Ce n'est pas non plus en voyant défiler des mannequins enfants anorexiques que nos femmes auront envie de ressembler aux pin up des années soixante.

Cela explique pourquoi les hommes sont de plus en plus attirés par des transsexuelles hyper sexuées qui savent également mieux leur donner du plaisir.

 

En admirant le bijou anal que je viens d'enfoncer dans les fesses de Barbara, je me rappelle mes dernières vacances estivales dans un camp de nudistes en Ardèche.

Je suis allongée sur la plage, jambes écartées quand un groupe de jeunes éphèbes et de filles s'arrête devant moi.

Je les entends commenter avec excitation le bijou anal qui est enfoncé dans mes fesses.

Son socle en cuivre incrusté d'un saphir bleu en verre taillé brille de mille feux au soleil.

Une jeune femme visiblement excitée par mon jouet me demande de la raccompagner chez elle.

 

A peine arrivée dans sa chambre, elle me déshabille en m'allongeant sur son lit.

Elle commence par me masturber en jouant avec mon rosebud.

Puis, elle le retire de mes fesses pour le plonger dans sa chatte.

- Il va me permettre de mieux te serrer la queue, me dit-t-elle en m'offrant sa croupe.

Fou de désir, je lui écarte les fesses à deux mains en m'enfonçant dans ses reins.

Je suis fascinée de voir son cul s'ouvrir comme un fruit mûr sous la poussée continue de ma verge.

Comme prévu, le bijou anal enfoncé dans son vagin rend son anus plus étroit.

Mon plaisir est tel que je jouis rapidement en elle et c'est avec regret que je la quitte un moment plus tard.

 

Revenant à la réalité, je regarde Barbara qui a décidé de me faire craquer.

Elle se trémousse devant moi en roulant des hanches comme une hétaïre avant de s’asseoir dans son fauteuil.

Puis, elle frotte lentement ses cuisses l'une contre l'autre pour que j'entende le crissement de ses bas.

Je m'agenouille entre ses jambes avec l'envie d'explorer ses dessous.

Mes mains remontent jusqu'à ses jarretières et se glissent dans sa culotte en satin pour saisir son sexe qui me fait découvrir ses attentes.

Barbara frissonne de plaisir lorsque je lui embrasse l'intérieur des cuisses en laissant échapper des gémissements quand je tiraille du bout des lèvres le plug plongé dans son ventre.

 

Les sens en ébullition, elle finit par se lever en m'offrant un excitant spectacle.

Sa queue massive soulève sa minijupe et ses seins volumineux et lourds menacent de faire exploser son corsage.

La vision de sa verge dressée qui contraste avec son éclatante féminité me fait fondre de désir.

 

A son tour, elle contemple ma guêpière rouge sur laquelle sont accrochés mes bas à coutures.

- J'ai une forte envie de te baiser, me dit-t-elle en me lançant un regard torride.

Même si je rêve de l'enfiler, je suis encore plus excitée à l'idée d'être prise par ma brûlante amie.

Sournoisement, elle profite de mon équilibre instable pour me culbuter sur le lit.

Allongée sur le dos, je fais semblant de lui résister pour attiser son désir.

Elle finit par prendre le dessus en repliant mes jambes sur ma poitrine tout en brandissant dans sa main un gode démesuré.

- Laisse moi faire, tu vas aimer, me susurre-t-elle à l'oreille.

Pour me mettre en confiance, elle le fait glisser doucement dans le sillon de mes fesses.

Puis, sans me quitter des yeux, elle passe à l'action.

Une douleur me traverse le ventre lorsque mes chairs s'écartent sous la pression continue du pieu qui m'empale.

Barbara regarde d'un air amusé mes jambes brasser l'air pour tenter d'échapper à son étreinte.

Elle explore les moindres recoins de ma grotte en m'amenant peu à peu au bord de l'orgasme.

-Ton clito va bientôt exploser, me dit-t-elle.

A peine a-t-elle finit sa phrase, qu'un flot épais de sperme lui éclabousse la main.

 

Un moment plus tard, elle s'assoit devant ma coiffeuse pour faire quelques retouches à son maquillage et changer ses dessous.

Avec des gestes gracieux, comme le font la plupart des femmes, elle agrafe son soutien gorge par devant en le faisant tourner sur sa poitrine pour enfiler les bretelles.

Elle accroche de la même manière son porte jarretelles à sa taille.

Ensuite, elle remonte bien haut son string sur ses hanches en rentrant son clito entre ses cuisses.

Puis, elle attache avec sensualité ses jarretelles à ses bas avant d'enfiler sa jupe.

 

Après avoir fait une pause, elle se plante devant moi en laissant tomber sa jupe à ses pieds.

Les huit jarretelles tendues sur ses cuisses qui maintiennent les coutures de ses bas bien droites la rendent encore plus désirable.

Campée sur ses bottes à talons aiguilles, Barbara se pend à mon cou prête à céder à mes désirs.

En saisissant ma queue, elle prend conscience de mon trouble et m'entraîne avec un sourire carnassier dans son lit

- Viens, j'ai envie de toi, me dit-t-elle en s'allongeant sur le dos et en retirant le rosebud de ses fesses.

 

Ignorant son invitation, je lui bande les yeux avec une écharpe en soie pour qu'elle n'anticipe pas sur ce que je lui réserve.

Puis, je l'attache aux quatre pieds du lit en la laissant seule un moment pour qu'elle fantasme sur ce qui l'attend.

Quand je reviens, elle se tourne vers moi en entendant le crissement de mes bas.

Ayant les yeux bandés, elle compense son handicap par l'exacerbation de ses autres sens.

Sa respiration s'accélère et sa superbe poitrine se soulève en cadence lorsque je pose mon vibro sur son frein.

J'attends que sa queue soit bien raide pour enfiler un gant lubrifié au silicone et glisser un, deux, puis trois doigts dans sa grotte.

Ayant trouvé son point G, je recourbe mon index vers le haut pour le masser avec la pulpe de mon doigt.

Submergée par le plaisir, elle se cambre pour mieux s'offrir à mes caresses.

 

Ne résistant pas à l'envie de m'embrocher sur sa queue, je me mets à califourchon sur son ventre en pressant son gland contre ma rosette.

Puis, je ferme les yeux en m'empalant lentement et voluptueusement jusqu'à la garde.

J'adore sentir mes chairs s'ouvrir sous la pression de sa queue épaisse.

Une fois de plus, je réalise que c'est surtout sa largeur qui me donne du plaisir.

Je fais tourner lentement mes fesses sur sa colonne de chair en associant de puissantes bascules du bassin d'avant en arrière.

Le souffle court, Barbara m'implore d'une voix suppliante:

- Ne me fais pas jouir trop vite.

Je m'arrête un instant pour lubrifier un énorme gode équipé d'un manche.

- Oh non, pas celui là, je suis trop étroite, proteste-t-elle d'une voix inquiète.

Elle se raidit quand je le presse à l'entrée de sa grotte en tentant désespérément de lui échapper.

 

Je contemple une fraction de seconde son visage qui exprime tour à tour la surprise, l'angoisse et le plaisir.

La bouche ouverte et la poitrine palpitante, elle me fixe intensément du regard.

Je l'entends gémir quand je la pénètre doucement jusqu'à la garde.

Nous partageons alors un long moment d'intense jouissance totalement comblées par ces queues qui nous possèdent.

Ayant le manche du gode bien en main, j'explore avec précision les moindres recoins de ses entrailles.

Puis, je masse son Périnée avec ma main en serrant son Pénis avec mes sphincters tout en continuant à lui pilonner la Prostate.

Cette triple stimulation (les 3P) lui procure un plaisir maximum.

Quand je la vois s'agiter frénétiquement, je sais qu'elle a atteint le point de non retour.

- Laisse toi aller ma belle, lui dis-je en amplifiant mes va et vient.

Maintenant totalement en confiance, elle écarte les cuisses pour mieux s'offrir au pal qui la défonce.

Je sens sa queue tressaillir en moi lorsqu'une vague déferlante de plaisir l'emporte.

Le corps secoué de spasmes, elle explose dans mes reins.

Je sors sa queue de mes fesses pour la voir perdre dans d'ultimes soubresauts ses dernières gouttes de sève.

Un flot de sperme m'oblige à resserrer les cuisses pour stopper l'écoulement et éviter de tâcher les draps.

 

Nous passons un long moment à nous caresser et à nous embrasser jusqu'à ce que le désir nous taraude à nouveau.

Je me lève pour prendre un plug gonflable dans ma table de nuit.

- Ce jouet va te faire grimper au rideau, lui dis-je.

Sans attendre, je le plonge dans son anus en le gonflant rapidement.

La forte pression du ballonnet sur sa prostate provoque l'écoulement d'un mince filet de sève de son gland.

- Ton clito coule trop tôt ma belle, lui dis-je en souriant.

Je m'arrête un instant lorsque la tension devient insupportable avant de le gonfler à nouveau.

 

Barbara mobilise ses muscles internes pour résister à cette dilatation.

Elle râle de plaisir en sentant les vibrations du plug se propager dans son ventre.

 

Voyant son anus se contracter de plus en plus souvent, je sais qu'elle ne va pas tarder à jouir.

Allongée entre ses jambes, je pose un vibro sur son frein.

Dés qu'une goutte de sève perle à la surface de son gland, je le soulève quelques secondes avant de l'appliquer à nouveau dessus pour faire apparaître la suivante.

Lorsque Barbara arrive au point de non retour, je gonfle fortement le plug.

- Achève moi, je n'en peux plus d'attendre, me supplie-t-elle en cambrant les reins.

A bout de résistance, elle relâche ses muscles internes en laissant le ballonnet envahir son ventre.

Je continue à dilater ses chairs jusqu'à ce qu'elle soit au paroxysme de la douleur et du plaisir.

Puis, je fais glisser ma langue sur son frein, jusqu'à ce que sa sève s'écoule en continue le long de sa hampe.

- Tu jouis du cul ma chérie, lui dis-je en prenant sa queue dans ma bouche.

Barbara ferme les yeux en se vidant lentement dans ma gorge.

 

Je décide de faire un pause pour lui laisser le temps de se changer.

Elle réapparaît un instant plus tard dans une lingerie craquante qui m'enflamme les sens.

Je ne résiste pas à l'envie de l'allonger sur le lit pour la câliner longuement et explorer ses dessous.

J'adore frotter mes cuisses contre les siennes en sentant le nylon de ses bas me stimuler les sens.

Puis, me mettant à genoux face à elle, je place ses bottes à talons aiguilles sur mes épaules en pressant ma verge contre son anneau qui s'ouvre comme un fruit mur.

Cette position est idéale pour les sodomies car elle permet une pénétration plus profonde tout en stimulant la prostate.

Lors de mes va et vient, je vois sa rosette s'étirer sur ma hampe quand je me retire et s'enrouler dessus lorsque je m'enfonce à nouveau en elle.

Je la baise longuement tout en la masturbant.

Quelques instants plus tard, son corps se met à trembler et elle explose en jets puissants sur sa guêpière.

Après avoir épongé de son mieux ses dessous, elle me dit:

- Reste dans mes fesses et laisse moi faire.

Sans me laisser le temps de réagir, elle serre ma taille entre ses cuisses pour m'immobiliser.

Ondulant du bassin, elle aspire mon sexe en cadence tout en me pétrissant la croupe.

Au moment crucial, elle me porte le coup de grâce en m'enfonçant sournoisement ses doigts dans l'anus.

Tétanisée, le corps en arc de cercle, j'explose à mon tour en râlant de plaisir.

Nous restons un moment enlacées et emboîtées l'une dans l'autre.

Épuisée de fatigue, je finis par m'endormir à ses côtés.

 

Lorsque je me réveille, Barbara est debout devant moi en tenant une barre d'écartement dans ses mains.

Elle la verrouille à mes chevilles en attachant mes poignets aux barreaux du lit.

Allongée sur le dos et écartelée, je suis totalement soumise à sa perversité.

Elle vient se placer entre mes jambes en agitant sous mes yeux un gode hérissé d'aspérités saillantes.

- Je vais me venger, me souffle-t-elle à l'oreille.

D'une main assurée, elle l'enfonce lentement dans mes fesses en le tournant avec son poignet pour qu'il rentre plus facilement.

Quelques minutes plus tard, elle doit presser la racine de mon sexe pour m'empêcher de jouir.

- Non pas maintenant, c'est bien trop tôt ma belle, me dit-t-elle dans un rire de gorge évocateur.

Allongée entre mes cuisses, elle m'empale sur son gode en le poussant avec son genou jusqu'au fond de mes entrailles. Puis elle colle ses lèvres contre les miennes pour étouffer mes plaintes.

 

Lorsqu'elle voit le pal tressauter sous l'effet de mes contractions anales, elle s'accroupit sur moi en s'embrochant sur ma queue.

Saisissant le gode à deux mains, elle me fouille les reins de plus belle.

Je me mets à trembler de désir en essayant de retenir la coulée de lave qui monte en moi.

Barbara s'arrête juste à temps en retirant le gode qui sort dans un bruit de succion.

En me retournant sur le ventre, elle s'assure que la barre qui m'entrave les chevilles en me laissant l'œillet grand ouvert est bien verrouillée.

Puis, s'allongeant sur moi, elle frotte ses jambes gainées de nylon contre les miennes en remontant son genou jusqu'à la fourche de mes cuisses.

La tête dans l'oreiller, encore toute chavirée de plaisir, je fais ressortir ma croupe dans l'attente de son assaut.

D'un coup de rein, elle me transperce avec une facilité qui la déconcerte en oubliant qu'elle vient de me dilater avec son pal.

Puis, elle écarte mes fesses avec ses pouces pour s'enfoncer plus à fond.

 

Mon excitation s’accroît en sentant ses bourses me fouetter la croupe lorsqu'elle me baise avec fougue.

Dans le silence de la chambre, j'entends claquer son ventre contre mes fesses en étant comblée par sa queue qui me lime si bien.

- J'adore sentir ta verge grossir dans ma main quand je t'encule, me souffle-t-elle à l'oreille.

Elle finit par m’achever en me masturbant jusqu'à ce que ma sève jaillisse sur ma guêpière.

 

Quelques minutes plus tard, libérée de la barre, je me mets à califourchon sur son ventre en guidant sa colonne de chair dans ma grotte.

Puis, je commence un massage fessier dont j'ai le secret en ne pensant plus qu'à terrasser sa queue brûlante de désir.

 

Lorsque je sens sa semence fuser dans mon ventre, je pense à toutes ces femmes qui ont le bonheur de pomper par tous leurs orifices plusieurs dizaines de litres de sperme à leurs amants au cours d'une vie.

Enfin calmée, je sens une épaisse coulée de sève chaude s'échapper de mes fesses et s'infiltrer dans mes jarretières.

- C'était divin, lui dis-je en souriant.

- Moi, j'adore quand tu fais la fille, s'exclame-t-elle.

Épuisée, nous nous endormons rapidement dans les bras l'une de l'autre.

 

Merci de me laisser vos commentaires sur ce récit.

 

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Vendredi 4 août 5 04 /08 /Août 12:32

 

Le pal: Supplice qui commence si bien et finit si mal.

Ce récit est réservé aux amateurs avertis.

Je précise que la technique d'empalement décrite dans ce récit est historique et donc bien réelle dans ses moindres détails.

 

 

L'empalement,

 

Le condamné est amené sur les lieux de son supplice.

A son arrivée, il voit d'innombrables pieux plantés dans le sol sur lesquelles sont empalées de nombreuses victimes dont certaines sont toujours vivantes.

Les pointes sortent par tous les endroits de leurs corps: le dos, la poitrine, l'aisselle, l'épaule, la bouche

Plusieurs soldats vidés de leur sang sont embrochés sur leurs lances de guerre.

Ils ont eu la chance de mourir en quelques heures.

L'un deux, toujours en vie, regarde de ses yeux vitreux la pointe acérée ressortir par sa poitrine.

 

Une peur panique gagne le jeune homme lorsqu'il comprend qu'il va lui aussi mourir par le pal dans d'atroces souffrances.

Ces tortionnaires l'obligent à boire de l'eau pour qu'il survive plus longtemps à son supplice.

 

Pendant ce temps, le chef du groupe va rejoindre une jeune femme encadrée par deux de ses hommes.

Les pieds nus, elle porte la longue robe blanche des condamnés.

Le bourreau a reçu l'ordre de l'exécuter sans la torturer.

Il va accomplir sa besogne en s'inspirant d'une méthode romaine qui devrait plaire à son public.

Il fait un signe à ses assistants qui la tiennent par les bras et qui la mette à genoux face aux spectateurs.

 

Le bourreau lui arrachent sa robe en dénudant ses épaules et ses seins.

Sortant son glaive du fourreau, il vient se placer derrière elle.

Il écarte ses cheveux blond en posant la pointe de sa lame dans le creux de l'épaule qui se situe entre le cou et la clavicule.

Il sait qu'à cet endroit précis, elle rencontrera peu de résistance lorsqu'il la plongera dans son corps.

 

Résignée, la fille regarde la lame d'acier qui va la transpercer de haut en bas.

Pour garder son public en haleine, le bourreau maintient un moment l'arme au dessus d'elle

Soudain, à deux mains et de toutes ses forces, il l'embroche sur son glaive.

Le public pétrifié voit la lame s'enfoncer à mi course dans ses chairs.

Prenant un nouvel élan, l'homme la rentre cette fois ci jusqu'à la garde en lui transperçant le bas ventre.

 

Un cri d'effroi s'échappe de la foule...

La fille se débat faiblement en regardant fixement son bourreau qui lui fouille les entrailles avec son glaive en cherchant à lui trancher l'aorte.

Puis, son corps est pris de convulsions avant de s'immobiliser définitivement.

 

Satisfait, l'exécuteur retire son glaive dans un chuintement sinistre en découvrant une large plaie à la base du cou.

Il se penche sur sa victime allongée face contre terre et glisse sa lame sous sa gorge en lui sectionnant d'un coup la trachée et les carotides.

Un flot de sang jaillit par saccades de ses artères sectionnées.

Puis, il abat de toute ses forces son arme sur sa nuque pour lui briser les cervicales.

Il ne lui reste plus qu'à sectionner quelques tendons pour finir de lui décoller la tête et la présenter à son public horrifié.

 

Un peu plus tard, il désigne à la foule le jeune homme qu'il va mettre à mort.

Ce dernier, choqué par le spectacle regarde ses bourreaux qui s'activent autour de lui dans un ballet bien réglé.

 

C'est un véritable travail d'équipe qui commence car chacun exécute sans geste inutile et avec une synchronisation parfaite la tâche qui lui est assignée.

Le malheureux n'a pas le temps de réagir que déjà deux exécutants lui enlèvent ses vêtements et l'allongent sur le ventre en lui liant les mains dans le dos.

 

A quelques mètres de lui, il regarde le bourreau s'affairer sur une jeune femme agonisante.

Elle est allongée sur le sol avec un long pieu plongé entre ses cuisses.

Une vision d'horreur lui glace le sang lorsqu'il voit son tortionnaire poser son pied sur son ventre pour extirper de son vagin le pal ensanglanté sur lequel elle est embrochée.

Le jeune homme reste tétanisé en entendant les horribles bruits de succions qu'il produit en sortant de son corps.

L'exécuteur le fixe du regard en lui montrant son trophée recouvert de lambeaux de chair et de sang.

Il comprend alors qu'il va l'utiliser pour son supplice.

Pour prolonger son agonie, il a choisi volontairement un pieu de gros diamètre afin qu'il s'enfonce lentement dans ses chairs.

Ayant déjà empalé plusieurs centaines de condamnés, il est au sommet de son art en connaissant toutes les techniques pour faire durer et amplifier les souffrances de ses victimes.

 

Il émousse la pointe avec son couteau pour qu'elle écarte ses chairs sans léser ses organes afin d'éviter une hémorragie fatale.

Puis, il badigeonne d''huile l'extrémité du pal pour qu'il glisse plus facilement dans son anus.

Enfin, il termine ses préparatifs en l'enduisant de piments extrêmement puissants qui vont lui provoquer une douleur insoutenable.

Il se dit que le pauvre bougre n'a pas eu de chance en tombant entre ses mains.

 

Deux bourreaux nouent les chevilles du supplicié avec une corde en la tirant chacun de leur côté pour lui écarter les jambes.

Des larmes coulent sur le visage résigné du jeune homme lorsque le bourreau s'agenouille entre ses cuisses.

Ce dernier se félicite de le voir accepter son destin en pensant qu'il pourra d'autant mieux se consacrer à sa tâche.

 

Comme souvent, il constate que le diamètre du pal est trop gros pour le rentrer dans ses fesses.

Il s'apprête à résoudre ce problème en espérant que sa victime ne perde pas trop de sang car il a parié avec ses assistants qu'il ferait survivre le jeune homme au moins trois jours.

 

Ignorant son regard affolé, il sort son couteau à lame tranchante et courte pour accomplir un geste qu'il maîtrise bien.

D'une main assurée, il pratique une large et profonde incision du périnée pour lui élargir l'anus.

Comme prévu, le sang gicle en abondance en lui éclaboussant les mains.

Les assistants peinent à maîtriser le jeune homme qui se cambre en criant de douleur.

Pendant ce temps, le bourreau plonge le pal bien huilé dans l'ouverture béante de ses entrailles.

 

Il l'enfonce en le tournant doucement pour ne pas lui transpercer l'intestin.

Par l'orientation qu'il lui donne, il détermine l'endroit précis d'où il ressortira de son corps.

 

Une fois qu'il l'a bien engagé, il fait un signe de tête au quatrième bourreau pour que ce dernier l'empale lentement centimètre par centimètre à petits coups de maillet.

Lors de sa progression la pointe émoussée du pal repousse les organes et les viscères en périphérie sans les endommager en faisant gonfler le ventre du malheureux.

 

La victime se tordant de douleur fait parfois dévier le pal de sa trajectoire.

Très expérimenté, l'exécuteur le remet dans l'axe secondé par ses assistants qui tirent davantage sur une jambe ou sur l'autre pour le réaligner sur sa gorge.

 

Pendant ce temps, un cinquième bourreau bloque le cou du supplicié entre les pics de sa fourche pour l'empêcher de bouger.

Cette précaution n'est pas superflue car la victime se débat avec l'énergie du désespoir.

En vain, puisque ses mains sont attachées, sa tête immobilisée et ses jambes solidement maintenues.

Soudain, les cris stridents du condamné redoublent d'intensité en devenant insupportables.

C'est le piment qui produit son effet en lui brûlant les entrailles aussi sûrement qu'un tisonnier sortant du feu.

L'homme à la fourche est obligé de venir le bâillonner.

 

Le pal étant maintenant enfoncé de cinquante centimètres dans son ventre, le bourreau sait par expérience que sa trajectoire ne changera plus.

Il ordonne alors à l'homme au maillet de s'arrêter.

S'il ne craignait pas de perdre son pari en précipitant la mort du jeune homme, il l'aurait laissé l'embrocher d'un bout à l'autre comme il le fait habituellement.

Il sait qu'il est toujours plus spectaculaire d'exposer au public un condamné avec le pal sortant de sa bouche.

 

A l'aide de ses assistants, il arrive sans peine à soulever sa victime à deux mètres du sol en fixant le pilori dans un trou aménagé dans la terre.

 

La vision du pieu plongé entre les cuisses ensanglantées du jeune homme est horrible.

Le malheureux épinglé comme un insecte s'agite en ne faisant que s'empaler davantage.

Le bourreau observe la scène en silence.

 

Ayant son visage à la hauteur de ses cuisses, il voit le pal s'enfoncer d'un coup de plusieurs centimètres dans ses entrailles par le poids de son corps.

Ses fesses l'aspirent littéralement en se refermant dessus dans une étreinte mortelle.

Des lambeaux de chair lacérés par son couteau pendent entre ses cuisses.

L'exécuteur reste attentif car il sait que ses premières heures sont importantes.

Il remarque que sa victime perd peu de sang.

C'est avec surprise cependant qu'il voit un jet d'urine s'écouler de ses fesses.

Il comprend alors que le pal lui a éclaté la vessie.

 

A la nuit tombante et avant de partir, il attache les pieds de sa victime au pilori en la regardant une dernière fois.

Elle est empalée comme un agneau sur l'horrible broche qui remonte maintenant entre ses omoplates en lui paralysant le dos.

Rassuré par le puissant instinct de conservation du jeune homme, le bourreau s'en va en sachant qu'il va gagner son pari.

Il rentre chez lui en traversant cette forêt dantesque de corps suppliciés suspendus dans la pénombre.

 

Au deuxième jour, l'exécuteur constate que le condamné est toujours vivant.

A l'aube du troisième jour, on l'informe que le pal risque de lui percer le cou.

Le moment est crucial car en rencontrant moins de résistance sa progression est plus rapide.

Bien qu'ayant déjà gagné son pari, il décide d'assister sa victime dans ses derniers instants.

 

Arrivé sur les lieux, il se fraye un passage dans la foule venue assister nombreuse au spectacle.

Il monte sur un échafaudage de fortune pour saisir la tête du supplicié entre ses mains.

Ses yeux sont vitreux et son souffle imperceptible.

 

Le pieu a légèrement dévié, mais il parvient à le remettre dans sa trajectoire en quelques manipulations.

Un moment plus tard, il voit le jeune homme s'étouffer lorsque la masse volumineuse du pal pointe au fond de sa gorge.

Le bourreau lui ouvre les mâchoires en inclinant doucement sa tête vers l’arrière pour l'aider à sortir.

Il entend le bruit désagréable que font ses dents en rabotant le pieu en bois qui sort lentement par sa bouche.

Ne pouvant plus supporter son regard éteint qui le fixe, il va rejoindre la foule silencieuse entourant l'agonisant.

Le pal ne rencontrant plus de résistance progresse maintenant a vue d’œil en lui rejetant la nuque en arrière.

 

Lorsque les pieds du condamné sont sur le point de toucher le sol, du sang se met à couler abondamment entre ses cuisses et le bourreau remarque aux imperceptibles soubresauts de son corps qu'il est en train de mourir sous ses yeux.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Vendredi 4 août 5 04 /08 /Août 12:26

Ma troublante expérience de l'élastrator,

 

Beaucoup d'hommes se font castrer clandestinement en France chaque année.

Ce sont généralement ceux qui ne veulent plus être esclave de leurs hormones ou des transsexuelles qui souhaitent devenir femmes.

Pour cette raison, ils recourent souvent à l'élastrator.

Cet instrument s'utilise normalement pour stériliser les animaux.

C'est une pince très efficace qui permet de placer un puissant anneau élastique à la base du testicule pour le comprimer fortement.

Ce dernier, privé de sang meurt en 6 à 7 heures en étant éliminé par l'organisme dans les deux mois.

C'est habituellement indolore mais il arrive parfois que certains doivent prendre des antalgiques.

 

La deuxième méthode consiste à inciser avec un scalpel la peau du scrotum sur cinq centimètres en pressant les bourses avec les doigts pour les faire sortir de leur logement.

Ensuite, on noue les vaisseaux qui les irriguent avec du fil chirurgical pour éviter que le sang coule.

Enfin, on tranche les testicules et on recoud la plaie une fois la castration terminée.

 

J'attends mon ami qui a acheté cette pince sur internet pour s'en servir sur moi.

Il m'a assuré que je ne souffrirai pas.

Depuis quelques mois, je me suis peu à peu faite à l'idée d'aller plus loin dans ma féminisation en souhaitant vivre cette épreuve.

 

La jouissance anale étant devenue pour moi plus forte et intense que l'orgasme pénien, je peux désormais me passer de mon sexe.

Je sais qu'en étant prise par mon ami je ne banderai plus.

Ma queue restera flasque en perdant encore un peu de liquide séminal mais plus de sperme.

J'espère cependant qu'en restant ma seule source de plaisir mon orgasme anal sera amplifié.

La nécessité de devoir utiliser un gode ceinture pour pénétrer mon ami n'est pas pour me déplaire.

 

Je me prépare pour ce grand jour en mettant ma plus belle lingerie afin d'être la plus féminine possible.

Je poursuis par une séance de maquillage et je termine en me coiffant d'une perruque blonde coupée au carré qui s'harmonise parfaitement avec la forme de mon visage.

 

Quand, je lui ouvre la porte perchée sur mes escarpins, je porte une guêpière dont les bonnets 105/D menacent de craquer sous la pression de mes lourdes prothèses en silicone.

 

Son regard s'attarde sur mon adorable culotte ouverte ornée de dentelle qui laisse entrevoir mon sexe épilé.

Mes cuisses sont gainées de nylon et un long déshabillé transparent recouvre ma voluptueuse lingerie.

 

Je porte également mon rosebud car il aime que mon œillet soit déjà ouvert et humide de désir lorsqu'il arrive.

Il m'embrasse en me malaxant longuement les seins.

Puis, il m'explique avec une pointe d'excitation dans la voix le fonctionnement de l'élastrator.

 

Peu après, Steve m'enlève mon déshabillé et m'entraîne vers le lit en m'allongeant sur le dos.

Il m'attache les poignets et les chevilles avec des cordes en nylon qu'il relie aux quatre pieds du lit.

Dans le miroir qui me fait face, je me vois totalement offerte à sa perversité.

Steve se glisse entre mes jambes et plonge sa main dans la fente de ma culotte pour en sortir mon sexe qu'il masturbe d'une main experte.

Son regard s'attarde sur ma queue en érection qui jaillit de l'écrin en satin de ma culotte fendue.

Une lueur d'excitation passe dans ses yeux lorsqu'il empoigne sa pince castratrice.

Il saisit l'une de mes bourses entre ses doigts en la poussant dans l'ouverture de l'appareil qui maintient la puissante élastique écartée.

J'entends le déclic de l'élastrator qui la libère en comprimant fortement ma glande.

Sans attendre, Steve fait subir le même sort à sa sœur jumelle.

 

Cela me fait un drôle d'effet de ressentir la pression implacable des anneaux qui détruisent lentement mais inexorablement ma virilité.

Je ne me suis jamais sentie autant femme qu'à cet instant.

 

Mes bourses congestionnées me semblent beaucoup plus grosses qu'à l'ordinaire.

Cela fait grimper la libido de Steve qui les palpe pour la dernière fois.

Il me reste quelques heures pour te faire jouir avant que ta source de vie ne se tarisse à jamais, me dit-t-il

 

Il me fait éjaculer une première fois en pilonnant mes reins avec mon gode préféré.

Une seconde fois en enfonçant ma queue jusqu'au fond de sa gorge tout en me fistant jusqu'au coude.

J'aime quand il pompe mon clito en se servant de mon cul comme d'un vagin.

Puis, ses mains explorent avec sensualité ma lingerie.

Elles s'attardent sur mes jarretelles tendues sur mes cuisses gainées de nylon.

Mon cœur bat la chamade lorsque ses doigts s'enfoncent dans ma grotte humide de désir.

Cette fois, Steve m'écarte les cuisses en s'enfonçant en moi jusqu'à la racine de son sexe.

Quelques instants plus tard, j'ai envie de l'achever pour qu'il jouisse en moi.

Désirant lui porter le coup de grâce, je me colle contre lui en caressant ses bourses tout en initiant d'amples bascules du bassin qui accompagnent ses va et vient.

Je ne peux retenir mes gémissements lorsque je sens sa sève fuser en jets puissants dans ma chatte.

Malgré ma castration en cours, je savoure mon bonheur d'être prise en me concentrant sur mon orgasme anal.

 

La pression lancinante des anneaux qui irradient mon ventre me rappelle qu'à chaque minute qui passe, je deviens un peu plus femme.

 

Un moment plus tard, en voyant mes bourses virer au bleu, je suis prise de panique.

Je sais que leur compression ne doit pas durer plus d'une heure car ma castration risque d'être définitive.

 

Je m'affole en m'apercevant que ce temps est largement dépassé.

Je demande à Steve de retirer rapidement les élastiques pour éviter la nécrose.

La panique s'empare de moi quand je vois qu'il essaye sans succès de passer la pointe d'un ciseau entre la peau de mes bourses et les anneaux.

Fort heureusement un internaute m'avait conseillé de les nouer avec un fil en nylon pour pouvoir les retirer plus facilement si je changeais d'avis.

Sans cela , c'était vraiment mission impossible et je mets en garde ceux qui ne prendraient pas cette précaution.

J'ai également des frissons en pensant que j'aurai pu m'endormir après avoir fait l'amour et me réveiller quelques heures plus tard castrée pour toujours.

sandratvtg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Vendredi 4 août 5 04 /08 /Août 12:24

L’initiatrice,

 

Je viens à peine de sonner à la porte qu'une jolie brune m'ouvre en souriant.

- Je t'attendais, rentre vite.

Elle porte une guêpière, un adorable string assorti et des bas à couture tendus par quatre paires de jarretelles.

Malgré son abondante chevelure et ses traits fins qui la rendent très féminine, je devine sous son déshabillé arachnéen un renflement équivoque à la naissance de ses cuisses.

J'ai devant moi la créature de rêve.

Une très jolie femme avec des seins magnifiques avec une queue qui se devine sous son string.

Troublé par cette ambivalence, je la laisse m'entraîner dans sa chambre.

 

Après quelques banalités échangées, elle s'assoit près de moi en me posant des questions plus intimes.

- Pourquoi m'as-tu choisie?

- Parce que tu sais mieux qu'une fille comment me donner du plaisir.

- Avant que je m'occupe de toi, il faudra que tu me laisses t'initier à certains jeux, me dit-t-elle en me décochant un regard brûlant.

Sur ces mots, elle me déshabille rapidement.

Je suis entièrement nu quand sa main remonte lentement à l'intérieur de mes cuisses et se referme sur mes bourses.

Elle sourit en voyant ma queue dressée se plaquer contre mon ventre.

- J'adore les sexes épais comme le tien car je les sens mieux en moi, me dit-t-elle ravie.

Puis, elle me fait découvrir son armoire remplie de jupons, corsets, guêpières, porte-jarretelles...

- Fais ton choix me dit-t-elle

Sous son regard amusé, je passe de longues minutes à choisir mes dessous.

J'enfile plusieurs jupons devant la glace en sentant les irrésistibles frottements de la crinoline sur ma queue.

Avec fébrilité, je finis par poser sur le lit le corset, la culotte fendue et la robe de nuit qui m'ont fait craquer.

- Je vais enfin pouvoir te coiffer et te maquiller, me dit-t-elle en soupirant d'impatience.

Devant son boudoir, elle me pose des faux cils et souligne mes yeux au «eye-liner»

Puis, elle peint mes lèvres d'un rouge vermillon pour les rendre pulpeuses.

Achevant ma métamorphose, elle me coiffe d'une perruque mi courte très glamour.

- Je vais maintenant t'aider à enfiler cette ravissante lingerie, ma chérie.

Je suis heureuse de l'entendre s'adresser à moi au féminin.

 

Natacha m'enfonce sans ménagement son genou dans le creux des reins pour serrer les lacets de mon corset en satin d'un blanc nacré rehaussé de dentelle marron.

Elle garnit ensuite mes bonnets 105/D de somptueuses prothèses en silicone de 600 gr chacune.

- Je suis jalouse ma belle, car ils sont plus lourds et plus gros que les miens, m'assure-t-elle en les palpant.

A mon tour, je contemple cette fille superbe qui me fait bander.

Sa longue chevelure auburn retombe en cascade sur ses épaules encadrant son visage sensuel.

Sa poitrine généreuse menace à tous moments de faire exploser les fines bretelles de sa guêpière.

Contrastant avec son éclatante féminité, mon regard est attiré par sa queue pleine de désir qui gonfle maintenant son string brésilien.

- Encore un peu de patience, j'ai bientôt fini, me dit-t-elle en me voyant troublée par la taille de son sexe.

Comme envoûtée, je la laisse me glisser une adorable culotte fendue sur les hanches.

- Tu es craquante avec cette lingerie qui me laisse un accès à tes fesses, s'exclame-t-elle.

- Désormais, je t’appellerai Sandra.

Poursuivant sa tâche, elle accroche mes bas de couleur crème aux huit jarretelles de mon corset.

Me voyant peu assurée sur mes talons aiguilles, elle m'aide à me glisser dans une ravissante robe de nuit fendue sur le côté.

 

Je ressens un plaisir indéfinissable à me contempler dans le miroir.

J'aime me voir dans mon corset qui comprime mes seins en faisant ressortir ma croupe.

J'adore sentir la tension de mes bas quand je marche perchée sur mes escarpins.

Je ne résiste pas à prendre des poses suggestives devant la glace afin de mettre en valeur ma féminité.

 

Ma maîtresse me laisse admirer mes courbes car elle sait que cela m'excite et m'aide à me sentir vraiment femme.

 

Prise soudain d'une envie pressante, je me rends aux toilettes pour soulager ma vessie en laissant la porte ouverte...

Natacha qui m'a suivie se caresse le sexe en me voyant assise sur la lunette des wc.

Me rendant compte de sa présence, je détache mes jarretelles une à une afin d'abaisser ma culotte.

Puis, je me lève en lui tournant délibérément le dos.

Natacha craque quand elle me voit offerte les bras tendus contre le mur, les reins cambrés, les jambes écartées et ma culotte descendue à mi cuisses.

 

S'approchant de moi, je sens son souffle sur ma nuque lorsqu'elle m' enfonce ses doigts recouverts de salive dans l'anus.

 

Puis, posant ses mains sur mes hanches, elle fléchit les genoux en me pénétrant lentement.

Les yeux mi clos, je donne un habile coup de rein pour finir de m'empaler sur son sexe turgescent.

Voulant la faire jouir rapidement, je reste soudée à elle en tortillant mes fesses contre son ventre.

- Tu es une belle salope! me souffle-t-elle à l'oreille en me pilonnant de plus belle.

Lorsque je sens ses valseuses battre contre mes cuisses, je deviens folle d'excitation.

Submergée par l'orgasme qui l'emporte, Natacha décharge sa sève en jets puissants dans ma grotte.

Dans le même temps, je glisse ma main entre mes cuisses en la refermant sur ses bourses pour l'empêcher de se retirer et recueillir ses dernières gouttes de sève.

 

Un moment plus tard, elle m'allonge sur une table médicale face à une glace murale.

Une lueur d'excitation brille dans ses yeux quand elle bloque mes talons aiguilles dans les étriers.

C'est tremblante de désir mais avec une certaine inquiétude que je la laisse me lier les mains et me passer une lanière sous les seins.

Puis, Natacha recouvre ma verge avec l'un de ses bas qu'elle utilise comme manchon pour mieux me masturber.

Les frottements du nylon sur mon gland ne manquent pas de faire grandir mon désir.

Me voyant sur le point de jouir, elle me prend dans sa bouche en m'enfonçant son majeur dans l'anus.

Très expérimentée, elle le recourbe vers le haut pour masser mon point G avec la pulpe de son doigt.

Un orgasme fulgurant me fait éclater la tête lorsque je me vide dans sa gorge.

Terrassée par le plaisir, je regarde ma Maîtresse me pomper avidement la queue.

 

Profitant de mon émoi, elle poursuit la séance.

Elle accroche une poche remplie d'eau à une patère placée au dessus de ma tête en m'enfonçant une sonde dans l'anus.

Pendant que mes intestins se remplissent d'eau, elle me caresse la verge en la faisant vivre et grandir entre ses doigts.

 

Ayant mon visage au niveau de ses hanches, je vois soudain sa queue jaillir de son string.

Plaquée contre son ventre, elle dépasse la hauteur de son nombril.

Au moindre geste de Natacha, elle se balance sous mes yeux avec la régularité d'un métronome.

Après un bref échange complice du regard, elle la plonge en souriant dans ma bouche.

Trop heureuse de son initiative, je la pompe avidement jusqu'à ce qu'un flot de sperme fuse dans ma gorge en m'éclaboussant les lèvres.

 

Un moment plus tard, elle s'assoit à califourchon sur moi en pressant ses mains sur mon ventre pour que j'évacue l'eau du lavement.

Sa tâche achevée, nous nous mettons tête bêche.

Je ne résiste pas à l'envie de titiller sa rosette qui s'ouvre sous la pression de ma langue.

En ayant mon visage enfoui dans ses dessous parfumés, je m'enivre des senteurs de jasmin et de patchouli qui se mélangent à l'odeur de sa peau.

 

Puis, Natacha se lève pour enfiler une paire de gants en latex qu'elle lubrifie soigneusement.

Bien campée sur ses talons aiguilles, elle se plante entre mes jambes en contemplant mon cul offert et sans défense.

- Tu es déjà bien ouverte, me dit-elle en fourrageant avec ses doigts ma grotte humide de désir.

Elle ignore que j'ai porté toute la nuit une culotte en latex munie d'un gode interne de 7cm de diamètre pour me préparer aux sévices qu'elle allait m'infliger.

 

Poursuivant son examen, elle découvre les renflements de ma rosette qui témoignent de mes nombreuses expériences anales.

- Je vois que tu aimes être prise par de gros calibres, m'affirme-t-elle.

Gênée, je baisse la tête en évitant de lui répondre.

- J'espère que celui-ci te comblera, s'exclame-t-elle en agitant sous mes yeux un imposant gode noir muni d'un manche.

Le tenant à deux mains, elle l'appuie contre ma rosette.

Face au miroir de la chambre, je la vois forcer mon passage.

Agacée par plusieurs tentatives infructueuses, elle s'accroche à ma taille pour mieux m'empaler.

Cette fois, mon anneau blanchit sous la forte pression qu'elle exerce.

Je l'aide en poussant de toutes mes forces pour m'embrocher rapidement et abréger mes souffrances.

Mon œillet finit par céder en laissant l'énorme masse s'engouffrer dans mes fesses.

Natacha fait tourner le gode pour que je sente mieux ses reliefs me limer la chatte.

Prise d'une pulsion masochiste, j'écarte en grand les cuisses pour m'offrir totalement à ma maîtresse.

Cette acte de soumission lui excite fortement les sens.

Ses yeux rivées dans les miens, elle en profite pour m'empaler jusqu'au manche.

-Te voilà bien prise ma chérie.

 

Avec un plaisir non dissimulé, elle me fouille longuement les entrailles. Natacha me défonce maintenant sur un rythme effréné en sentant le gode tressauter dans sa main à chacune de mes contractions anales.

Avec une lueur de perversité dans les yeux, elle me regarde jouir en jets puissants sur ma guêpière.

Un instant plus tard, j'entends le bruit de succion que fait ma Maîtresse en le sortant de mes fesses.

 

- Nous arrivons à la dernière étape, me dit-t-elle en me lubrifiant la chatte à l'aide d'une grosse seringue sans aiguille.

Prise d'un pressentiment, je tire en vain sur mes liens pour me détacher.

Agitée et déstabilisée, je l'aide sans le vouloir en cambrant les reins lorsqu'elle enfonce sa main dans ma grotte.

L'instant d'après, Natacha dresse son bras à la verticale en calant son coude contre la table d'examen.

Puis, elle me regarde m'empaler par le poids de mon corps.

- Serre bien les fesses pour t'embrocher lentement et faire durer ton plaisir, me dit-t-elle.

 

Poursuivant son fist, elle me masturbe avec son autre main en faisant glisser sa langue sur mon frein.

Ayant passé la première courbure de mon intestin, elle peut maintenant m'enfoncer son bras jusqu'au coude.

Je sens sa main ganté de latex me fouiller les chairs avec insistance.

C'est avec fascination que je vois ses doigts soulever la peau de mon ventre à la hauteur de mon nombril.

- Je sens ton pouls battre contre mon bras, s'exclame-t-elle.

- Tu me fais mouiller ma chérie! rajoute-t-elle d'une voix rauque en le poussant plus à fond.

Puis, elle se concentre sur ma prostate en la massant jusqu'à ce qu'un orgasme intense me submerge.

Ma sulfureuse Maîtresse attend quelques minutes que mes sphincters se relâchent avant de retirer son bras.

 

Elle contemple en souriant ma chatte restée béante tout en me libérant de mes liens.

Puis, elle m'invite à prendre un cocktail pour me remettre de mes émotions.

 

Un moment plus tard, assise sur un tabouret de bar, elle me fixe de ses yeux de braise.

Elle croise et décroise ses jambes avec une lenteur calculée pour me laisser entrevoir ses jarretelles.

Puis, elle frotte ses cuisses l'une contre l'autre pour que j'entende le crissement de ses bas.

Enfin, elle soulève sa nuisette en me dévoilant son string.

Il est extensible et transparent comme un bas en moulant à la perfection sa queue en érection et ses bourses bien pleines.

Brûlante de désir, Natacha m'entraîne dans son lit.

Après avoir enfoncé des boules anales dans ses fesses, elle se met sur le dos en me disant :

-Viens, j'ai envie de toi.

A la vue de son œillet frémissant de désir, je me rue en elle en l'embrochant jusqu'à la racine de mon sexe.

Natacha ferme les yeux en savourant son plaisir.

Puis, elle tire sur le fil qui pend entre ses cuisses pour plaquer les boules anales contre ma queue tout en activant la télécommande qui les fait vibrer.

Je ressens aussitôt d'intenses stimulations sur mon gland.

Néanmoins, je continue à la pilonner sans trêve jusqu'à ce que sa liqueur fuse sur son corset.

Je me retire alors rapidement de ses fesses pour éviter de jouir.

 

Nous nous accordons un moment de repos avant de poursuivre nos ébats.

Puis, Natacha me culbute sur son lit en s'empalant à califourchon sur ma queue.

Elle tourne lentement sa croupe sur mon sexe qui lui sert de pivot.

Puis, elle initie de puissantes bascules du bassin d'avant en arrière en mobilisant ses muscles intimes qui me pompent fortement la queue. Très vite, j'explose dans ses reins en gémissant de plaisir.

- A mon tour de te baiser, me dit-t-elle en me plaquant violemment sur le lit.

Allongée sur le ventre, j'essaye de lui résister, mais elle m'immobilise par le poids de son corps en me forçant à écarter les cuisses avec son genou.

Tentant d'échapper à ce viol, je serre les fesses en contractant mes sphincters.

Hélas! cela ne fait qu'exacerber sa libido.

Elle écarte mes fesses avec ses pouces et force mon passage en me vrillant les chairs avec sa queue gonflée désir.

Prenant conscience que ma résistance devient inutile je la laisse s'engouffrer d'un coup dans mes reins.

Me sentant totalement soumise à ses désirs, elle me baise alors sous tous les angles en me faisant subir les derniers outrages.

Par moment, elle sort de mes fesses en attendant patiemment que ma chatte se referme avant de se laisser retomber sur moi de tout son poids.

Je ne pense bientôt plus qu'à cette colonne de chair qui me lime et me possède sans fin.

 

Dans le silence de la chambre, j'entends les claquements de son ventre contre mes fesses.

Lorsqu'elle s'arrête de me labourer les chairs, je perçois les tressautements de sa queue qui m'annonce l'imminence de son orgasme.

Soudée à elle, je m'active sur sa colonne de chair qui ne résiste pas longtemps à mon massage fessier.

Natacha finit par décharger dans mes reins en râlant de plaisir.

 

Le soir venu, épuisées par nos jeux nous décidons de nous coucher

Au cours de la nuit, Natacha allume sa lampe de chevet.

Me croyant endormie, ses mains effleurent ma guêpière et mes bas en me prodiguant de troublantes et insistantes caresses.

Puis, elle s'allonge derrière moi en frottant sa queue entre mes cuisses gainées de nylon.

Quelques instants plus tard, elle se masturbe dans la raie de mes fesses avant de me violer sans scrupule.

 

Bercée par ses va et vient, je retiens difficilement mes râles de plaisir.

 

Ayant l'anus mieux innervé qu'un vagin, je sens ses jets de sperme fuser en moi lorsqu'elle jouit au plus profond de mes entrailles.

Emportée par ses pulsions sexuelles, elle me baise ainsi plusieurs fois jusqu'à l'aube en abusant de mon corps endormi et sans défense.

Au petit matin, je la vois s'étirer et cambrer sa magnifique poitrine.

- Cette nuit, j'ai réalisé mon fantasme en te baisant plusieurs fois pendant que tu dormais, me dit-t-elle ravie.

- J'ai tellement déchargée dans tes reins que j'ai du mettre ton rosebud pour arrêter le flot de sperme qui coulait sur les draps.

A ces mots, je découvre de larges auréoles blanchâtres qui ont amidonnées ma nuisette à l'endroit de mes fesses.

 

 

 

 

 

Merci de me laisser vos commentaires.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Vendredi 4 août 5 04 /08 /Août 11:58

Les avantages du Fémidom en portant une culotte ouverte,

 

Je m'allonge sur mon lit pour mettre en place mon Fémidom.

Avant de le glisser dans ma grotte, j'enlève le petit anneau du fond pour l'utiliser en anal.

Puis, je plaque l'anneau le plus large contre mon pubis.

J'utilise souvent cette protection car elle présente de nombreux avantages :

- Je me sens vraiment femme après avoir enfoncé dans ma chatte ce préservatif féminin.

- Je le garde toute la journée en étant prête à faire l'amour avec mon ami dans les lieux publics

- En portant une culotte fendue, je n'ai qu'à soulever ma robe pour être prise sans attirer l'attention des passants.

- L'autre avantage c'est que mon ami ne risque plus de débander comme cela arrivait parfois quand je perdais du temps à retirer ma culotte et à lui mettre son préservatif.

 

Lorsque nous nous promenons en ville, il peut me pénétrer rapidement: dans un jardin public, un escalier d'immeuble, une cabine d'essayages...

Je n'ai qu'à écarter les jambes en me penchant légèrement pour être prise au plus fort de sa pulsion sexuelle.

J'adore quand il me prend debout à la hussarde en s'activant avec fougue dans mes reins.

J'accompagne ses va et vient en agrippant mes mains à ses cuisses.

 

Après s'être vidé en moi, il replace mon rosebud dans mes fesses pour que je conserve en moi sa sève encore chaude afin d'éviter qu'elle ne coule sur mes bas.

A la fin de la journée, je peux lui montrer la quantité de sperme que j'ai recueilli dans mon fémidom.

 

Je le porte également lors de mes sorties dans les clubs libertins.

Je choisis les endroits fréquentés par des cougars qui drainent dans leur sillage de jeunes éphèbes attirés par leur sexualité débridée et sans tabou.

Comme elles, je porte une tenue provocante pour leur ressembler.

 

Bien souvent, un seul échange de regards suffit à établir le contact.

Dans ces endroits peu éclairés rien ne me distingue de ces femmes matures lorsque j'entraîne mon soupirant par la main dans un endroit tranquille.

Ayant repéré une banquette, je m'allonge sur le ventre pour qu'il ne voit pas mon sexe enfoui dans ma lingerie car j'aime qu'il pense qu'il va baiser une fille.

Je retrousse ma jupe pour fixer son attention sur mes cuisses gainées de nylon en exhibant ma culotte fendue en satin rouge qui dévoile mon œillet frémissant de désir.

Il hésite un instant en voyant mon fémidom et mon rosebud enfoncés dans ma grotte.

- Viens, j'ai envie de toi, lui dis-je en retirant mon bijou anal et en écartant mes fesses à deux mains.

 

Dans la pénombre des lieux, il ne se pose guère la question de savoir si je suis une cougar ou un travesti.

Très excité de pouvoir me sodomiser, il ne pense plus qu'à s'enfoncer dans mes reins.

Fou de désir, il me pénètre jusqu'à la racine de son sexe.

 

J'ai alors le plaisir d'être prise en me sentant vraiment femme.

 

Donnez moi votre avis sur ce récit.

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Vendredi 4 août 5 04 /08 /Août 11:58

 

 

Les nombreux avantages du Rosebud.

 

- Mon julian snelling Niki XL est un magnifique bijou anal dont je ne me lasse pas

- Après l'avoir lubrifié avec un gel en silicone, je peux le garder sans problème toute la journée ou toute la nuit.

- Quand je me promène dans la rue, je porte toujours une jupe et une culotte ouverte pour le laisser bouger librement dans ma chatte afin qu'il me donne du plaisir en permanence.

- Parfois, je m'arrête devant une vitrine et j'écarte les jambes pour me donner des sensations fortes.

- Bien lubrifié et entraîné par son poids de 600gr, je le laisse sortir peu à peu de mes fesses.

- La crainte de le voir tomber sur le trottoir m'excite au plus au point.

- Sous le regard indifférent des passants, j'attends le tout dernier moment pour contracter mes muscles intimes et le faire remonter dans mon fourreau anal.

- Son poids et son diamètre de 5 cm me donnent d'agréables sensations lorsqu'il vient se plaquer contre ma prostate.

Aussi, je recommence plusieurs fois ce scénario en sentant le désir monter dans mes reins.

 

Il présente de nombreux avantages :

- Lorsque je suis assise, sa tige en laiton épouse parfaitement la raie de mes fesses sans me causer la moindre gêne.

 

- En me tortillant sur ma chaise, j'éprouve d'agréables tiraillements dans le bas ventre qui me font mouiller ma culotte.

 

- Je peux le garder en moi toute la nuit sans craindre qu'il se perde dans ma chatte.

 

- A l'inverse des plugs qui ont une base plus large, il a l'avantage de ne pas me laisser l'anus ouvert en permanence ce qui me permet de le conserver en moi sans avoir l'envie fréquente d'aller aux toilettes.

- Ma femme a pris l'habitude de l'utiliser pour m'assouplir l’œillet avant de me fister.

 

- Avant que je lui fasse l'amour, elle l'enfonce dans mes fesses car elle sait que je bande davantage et que ma verge est plus dure.

 

- Il m'arrive aussi de l'enfoncer dans l'anus de ma femme pour que son vagin devienne plus étroit et me serre davantage la queue.

 

- C'est également pour moi un excellent entraînement qui tonifie mes muscles intimes en me permettant de serrer plus fortement la queue de mon ami.

 

- Après qu'il ait jouit et avant de m'endormir, j'enfonce mon bijou anal dans mes fesses pour conserver sa sève encore chaude.

 

- Souvent au cours de la nuit, à nouveau taraudé par le désir, il l'enlève pour pouvoir me reprendre.

 

- Faisant semblant d'avoir un sommeil agité, je l'aide en pressant sa queue dans le sillon de mes fesses et en cambrant les reins pour qu'il m'empale à nouveau.

 

- Puis, je me laisse bercée par ses va et vient en retenant mes gémissements de plaisir jusqu'à ce que je sente sa sève fuser en moi.

 

- En sortant de mes fesses, il replace mon rosebud dans ma grotte pour que je ne tâche pas ma nuisette et les draps.

 

- Cette fois, je m'endors réellement en sachant qu'il ne résistera pas à l'envie de me violer à nouveau au cours de la nuit.

 

- Le matin en retirant mon rosebud, je lui montre les épaisses coulées de sperme qui s'échappent de mon œillet en dessinant d'étranges arabesques blanchâtres sur mes bas.

- Tu as du me baiser de nombreuses fois pendant mon sommeil, lui dis-je en souriant.

 

Dites moi si vous utilisez un rosebud.

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Vendredi 4 août 5 04 /08 /Août 11:34

 

 

 

Mon désir de vivre en femme,

 

 

 

Natacha, grande et élancée se tient devant moi.

Ses cheveux noués en queue de cheval affine son visage en soulignant son profil de Dominatrice.

Elle porte une ravissante nuisette et une guêpière met en valeur ses seins magnifiques.

Elle est perchée sur ses cuissardes d'où jaillissent ses cuisses fuselées gaînées de nylon.

Mon regard est attiré par l'impressionnant gode ceinture qu'elle a fixé sur ses hanches et qui retombe lourdement sur ses genoux.

Il est tellement ajusté que la lanière centrale disparaît totalement dans sa chatte.

Sans perdre de temps, Natacha me maquille et me coiffe d'une perruque bouclée blonde avant de m'aider à enfiler une guêpière, un string transparent et des bas cervin.

Elle achève ma transformation en glissant mes pieds dans des escarpins.

 

Quelques heures plus tard, après m'avoir fait jouir lors de nombreux jeux de rôles, elle me laisse récupérer avant de m'installer dans son fauteuil gynécologique.

Elle retire mon string et place mes pieds dans les étriers en m'écartant les jambes.

Puis, ses yeux de braise fixés sur moi, elle fait glisser lentement une de ses nuisettes entre mes cuisses pour me déclencher une nouvelle érection.

Elle effleure ainsi longuement avec sa lingerie mon anus frémissant de désir, mon périnée, mes bourses et mon gland.

Le contact de ces mailles satinées ne tardent pas à produire leur effet.

 

 

Satisfaite du résultat, elle presse alors son gode ceinture contre ma rosette.

Allongée sur le dos, je l'aide de mon mieux en cambrant les reins.

Face au miroir, je regarde fascinée ma chatte engloutir l'énorme pal.

Lorsque le bassin de Natacha vient se souder au mien, je réalise avec stupéfaction qu'elle m'a déjà embrochée jusqu'à la garde.

 

Après m'avoir prise sous tous les angles, ma maîtresse se met sur le dos en m'ordonnant :

-Viens t'empaler sur ma queue face à moi car je veux voir ton visage quand tu jouis.

A califourchon sur elle, je m'embroche lentement sur son gode.

Ses yeux rivés aux miens, elle ondule des hanches de gauche à droite pour m'écarter la chatte et s'enfoncer plus à fond dans mes fesses.

Tout en me masturbant, elle me pilonne la prostate par de vigoureux coups de reins jusqu'à ce que d'épaisses coulées de sève inondent ma guêpière.

L'orgasme qui m'emporte me fait prendre conscience que je ne peux plus me passer du plaisir anal.

Cela tient au fait que l'anus est mieux innervé qu'un vagin et que la stimulation de la prostate donne une jouissance plus intense et prolongée qu'un orgasme pénien.

 

Natacha interrompt le fil de mes pensées :

- Comme tu le souhaites, je vais maintenant te castrer en te laissant un mois de réflexion avant de couper ta queue à sa racine pour que tu te sentes vraiment femme.

 

- J'ai acquis une grande expérience dans ce domaine en réalisant une trentaine d'interventions par an.

- Aux USA, c'est devenu un véritable phénomène de société car certains hommes jeunes ne veulent plus être esclaves de leur sexe. - D'autres comme toi souhaitent vivre pleinement leur féminité.

- Nombreux également sont ceux qui à la quarantaine préfèrent l'orgasme anal et sont prêts à en payer le prix.

- En les émasculant, leur anus devient leur seule source de plaisir et ils jouissent davantage lorsqu'on les sodomise.

 

Sans plus attendre, Natacha s'assoit sur mon ventre en me tournant le dos.

Je suis totalement immobilisée par son poids lorsqu'elle empoigne ma verge et mes bourses d'une main en brandissant dans l'autre un couteau à lame acérée et courte qu'elle appuie fortement sur la veine bleue courant sur ma hampe.

Puis, elle tire mon sexe vers le haut pour pouvoir le couper bien à sa racine.

C'est avec terreur que je sens le contact froid de l'acier glisser sur ma chair.

Au bout de quelques secondes, je finis par comprendre que Natacha me bluffe en utilisant le dos de sa lame de couteau.

- La prochaine fois sera la bonne, me dit-t-elle dans un rire de gorge qui témoigne de sa forte excitation.

- N'ayant plus rien entre les cuisses, tu pourras porter une lingerie transparente pour faire admirer ton triangle de vénus qui deviendra le symbole de ta féminité.

- Maintenant, je vais comme promis t'enlever ta source de vie pour que tu puisses mieux te concentrer sur ton plaisir anal.

- Ton anus devenant plus sensible qu'un vagin, tu sentiras le sperme fuser dans ta grotte alors que la plupart des femmes ignorent souvent quand leurs amants jouissent en elles.

 

- Avant de commencer, je vais te faire une anesthésie locale de xylocaïne, rajoute-t-elle d'une voix douce en se plaçant entre mes cuisses une seringue à la main.

- Tu peux me faire confiance car j'ai déjà castré de nombreux mâles avant toi.

Avec douceur, Natacha multiplie les points d'injections pour que le produit diffuse plus rapidement.

L'aiguille est si fine que je la sens à peine s'enfoncer dans mes chairs.

En attendant que le produit fasse effet, elle ne résiste pas à l'envie de me masturber une dernière fois en caressant la peau satinée et douce de mes bourses totalement épilées.

Lorsqu'elle voit ma queue se dresser devant ses yeux, elle me dit d'une voix chargée d'émotion :

- Je suis troublée en pensant que je suis celle qui te fait bander pour la dernière fois.

Un instant plus tard, une peur panique s'empare de moi quand elle saisit son scalpel.

Elle me fixe intensément du regard en m'avouant:

- J'éprouve maintenant une forte excitation à l'idée de te castrer.

D'une main sure, elle incise mon scrotum sur cinq centimètres en pressant doucement mes testicules avec ses pouces pour les faire sortir.

Très concentrée sur sa tâche, elle tire sur les cordons auxquels ils sont rattachés en les laissant pendre entre mes cuisses.

Elle poursuit en me disant:

- Tu sais que c'est irréversible et que tu ne pourras plus bander ?

Me voyant acquiescer du regard, elle tranche d'une main assurée mes valseuses.

- Bienvenue dans ta nouvelle vie de femme, s'exclame-t-elle en me montrant la coupelle dans laquelle elle les a déposés.

- J'en ferai des brochettes pour mon repas ce soir, rajoute-t-elle en souriant tout en me recousant avec du fil et une aiguille.

- Reviens me voir la semaine prochaine pour que l'on vive notre première séance de gouinage entre filles.

 

 

Donnez moi vos idées pour écrire mes prochains récits.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Sublime troisiéme sexe

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  • : Sublime 3eme sexe! Je remercie mes 100000 lecteurs qui ont vus plus de 400000 pages de ce blog en 3 ans. Découvrez sur ce blog mes récits érotiques s'inspirant de la réalité et de la fiction. J'aimerais également avoir votre avis sur ces textes. Merci
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