Récits transsexuelles

Dimanche 3 septembre 7 03 /09 /Sep 19:54

Je rencontre des travestis ou trans aimant partager mes activités féminines.

Quel bonheur de passer du temps à se faire belle entre filles lors de séances d'essayages.

- Se maquiller, apprêter nos perruques, essayer les robes, jupes, bas, talons aiguilles.

- Porter les symboles de l'éternel féminin : des guêpières mettant nos seins siliconés en valeur, des porte jarretelles, nuisettes, strings et culottes rétro.

- Se caresser longuement en explorant nos dessous avant d'aller faire des câlins sous la couette.

- Utiliser les jouets qu'utilisent les filles entre elles : vibro, gode ceinture, plugs, spéculum, vacuum, fémidom.

- Vivre les jeux de rôles que l'on aura décidés ensemble.

- Je suis une femme phallique active ou passive qui aime aussi dominer son sujet lors de jeux sado maso soft.

- Avec mon 1,87m sans talon et mes 85kg, je suis une dominatrice crédible.

- Je n'aime pas la vulgarité ou les personnes brut de décoffrage.

Une journée n'est pas de trop pour vivre en partie ces intenses moments de plaisir.

J'ai mis de nombreuses photos sur ce blog ainsi que les jeux de rôles que j'aimerai vivre avec celle qui partarge mes désirs.

Par sandratvtg - Publié dans : Récits transsexuelles - Communauté : Homme aimant se travestir
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Vendredi 4 août 5 04 /08 /Août 16:10

 

 

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Mon amie Barbara,

 

 

 

J'accueille Barbara avec impatience.

C'est une ravissante brune aux yeux bleus qui me fait l'amour sans tabou.

Elle aime mettre en scènes nos fantasmes en imaginant d'excitants jeux de rôles.

- Tu vas craquer en découvrant mes dessous, m'assure-t-elle

Je remarque qu'elle porte déjà tous les artifices de l'éternel féminin.

Une jupe rouge ultra courte, gonflée par un jupon vaporeux, dévoile ses jarretelles tendues sur la peau mate de ses cuisses.

Des talons de neuf centimètres allongent ses jambes gaînées de nylon en sublimant le galbe de ses mollets mis en valeur par ses escarpins.

D'un regard provoquant, elle dégrafe son corsage pour me faire admirer ses seins jaillissant de son balconnet.

 

Je meurs d'envie de la violer lorsqu'elle fait semblant d'ajuster ses bas en m'exhibant ses fesses moulées dans sa culotte en satin.

Puis, elle m'observe du coin de l’œil.

Je porte une lingerie glamour et une perruque blonde mi courte encadre mon visage.

Mes nombreuses années passées à me travestir m'ont permis de devenir une fille crédible tant sur un plan physique que psychique.

 

Barbara semble satisfaite de son examen car elle me dit:

- Ne perdons pas de temps ma chérie.

Elle me tend un verre d'eau en me glissant une pilule bleue dans la bouche.

- Avale ça ma belle, c'est du viagra.

- C'est indispensable si tu veux tenir toute l'après midi avec moi.

- Son regard se trouble en me voyant prendre des poses suggestives devant la glace.

- Regarde, j'ai déjà envie de toi, me dit-t-elle.

Je craque lorsqu'elle soulève sa jupe en me dévoilant sa queue plaquée contre son corset.

J'admire son gland épais et sa hampe qui va en s'élargissant jusqu'à sa racine.

Je pense alors à tous ce que je vais pouvoir vivre avec cette femme phallique.

- Tu ne peux pas me laisser dans cet état, rajoute-t-elle en me montrant sa queue en érection.

Encouragée par ses paroles, je tombe à ses genoux en remontant mes mains jusqu'à la lisière de ses bas.

Puis, plongeant ma tête sous sa jupe, je caresse ses cuisses fuselées sur lesquelles sont tendues quatre paires de jarretelles.

Elle gémit doucement lorsque je mordille sa queue à travers sa culotte satinée.

Tout en la masturbant, je lui enfonce mon rosebud dans les fesses.

 

J'adore faire l'amour avec des transsexuelles car elles sont souvent plus féminines que leurs sœurs biologiques.

Malheureusement, celles-ci ont préféré adopter le style androgyne des stylistes qui leurs imposent de porter des vestes, des pantalons et des baskets ce qui leur enlèvent toute féminité.

Ce n'est pas non plus en voyant défiler des mannequins enfants anorexiques que nos femmes auront envie de ressembler aux pin up des années soixante.

Cela explique pourquoi les hommes sont de plus en plus attirés par des transsexuelles hyper sexuées qui savent également mieux leur donner du plaisir.

 

En admirant le bijou anal que je viens d'enfoncer dans les fesses de Barbara, je me rappelle mes dernières vacances estivales dans un camp de nudistes en Ardèche.

Je suis allongée sur la plage, jambes écartées quand un groupe de jeunes éphèbes et de filles s'arrête devant moi.

Je les entends commenter avec excitation le bijou anal qui est enfoncé dans mes fesses.

Son socle en cuivre incrusté d'un saphir bleu en verre taillé brille de mille feux au soleil.

Une jeune femme visiblement excitée par mon jouet me demande de la raccompagner chez elle.

 

A peine arrivée dans sa chambre, elle me déshabille en m'allongeant sur son lit.

Elle commence par me masturber en jouant avec mon rosebud.

Puis, elle le retire de mes fesses pour le plonger dans sa chatte.

- Il va me permettre de mieux te serrer la queue, me dit-t-elle en m'offrant sa croupe.

Fou de désir, je lui écarte les fesses à deux mains en m'enfonçant dans ses reins.

Je suis fascinée de voir son cul s'ouvrir comme un fruit mûr sous la poussée continue de ma verge.

Comme prévu, le bijou anal enfoncé dans son vagin rend son anus plus étroit.

Mon plaisir est tel que je jouis rapidement en elle et c'est avec regret que je la quitte un moment plus tard.

 

Revenant à la réalité, je regarde Barbara qui a décidé de me faire craquer.

Elle se trémousse devant moi en roulant des hanches comme une hétaïre avant de s’asseoir dans son fauteuil.

Puis, elle frotte lentement ses cuisses l'une contre l'autre pour que j'entende le crissement de ses bas.

Je m'agenouille entre ses jambes avec l'envie d'explorer ses dessous.

Mes mains remontent jusqu'à ses jarretières et se glissent dans sa culotte en satin pour saisir son sexe qui me fait découvrir ses attentes.

Barbara frissonne de plaisir lorsque je lui embrasse l'intérieur des cuisses en laissant échapper des gémissements quand je tiraille du bout des lèvres le plug plongé dans son ventre.

 

Les sens en ébullition, elle finit par se lever en m'offrant un excitant spectacle.

Sa queue massive soulève sa minijupe et ses seins volumineux et lourds menacent de faire exploser son corsage.

La vision de sa verge dressée qui contraste avec son éclatante féminité me fait fondre de désir.

 

A son tour, elle contemple ma guêpière rouge sur laquelle sont accrochés mes bas à coutures.

- J'ai une forte envie de te baiser, me dit-t-elle en me lançant un regard torride.

Même si je rêve de l'enfiler, je suis encore plus excitée à l'idée d'être prise par ma brûlante amie.

Sournoisement, elle profite de mon équilibre instable pour me culbuter sur le lit.

Allongée sur le dos, je fais semblant de lui résister pour attiser son désir.

Elle finit par prendre le dessus en repliant mes jambes sur ma poitrine tout en brandissant dans sa main un gode démesuré.

- Laisse moi faire, tu vas aimer, me susurre-t-elle à l'oreille.

Pour me mettre en confiance, elle le fait glisser doucement dans le sillon de mes fesses.

Puis, sans me quitter des yeux, elle passe à l'action.

Une douleur me traverse le ventre lorsque mes chairs s'écartent sous la pression continue du pieu qui m'empale.

Barbara regarde d'un air amusé mes jambes brasser l'air pour tenter d'échapper à son étreinte.

Elle explore les moindres recoins de ma grotte en m'amenant peu à peu au bord de l'orgasme.

-Ton clito va bientôt exploser, me dit-t-elle.

A peine a-t-elle finit sa phrase, qu'un flot épais de sperme lui éclabousse la main.

 

Un moment plus tard, elle s'assoit devant ma coiffeuse pour faire quelques retouches à son maquillage et changer ses dessous.

Avec des gestes gracieux, comme le font la plupart des femmes, elle agrafe son soutien gorge par devant en le faisant tourner sur sa poitrine pour enfiler les bretelles.

Elle accroche de la même manière son porte jarretelles à sa taille.

Ensuite, elle remonte bien haut son string sur ses hanches en rentrant son clito entre ses cuisses.

Puis, elle attache avec sensualité ses jarretelles à ses bas avant d'enfiler sa jupe.

 

Après avoir fait une pause, elle se plante devant moi en laissant tomber sa jupe à ses pieds.

Les huit jarretelles tendues sur ses cuisses qui maintiennent les coutures de ses bas bien droites la rendent encore plus désirable.

Campée sur ses bottes à talons aiguilles, Barbara se pend à mon cou prête à céder à mes désirs.

En saisissant ma queue, elle prend conscience de mon trouble et m'entraîne avec un sourire carnassier dans son lit

- Viens, j'ai envie de toi, me dit-t-elle en s'allongeant sur le dos et en retirant le rosebud de ses fesses.

 

Ignorant son invitation, je lui bande les yeux avec une écharpe en soie pour qu'elle n'anticipe pas sur ce que je lui réserve.

Puis, je l'attache aux quatre pieds du lit en la laissant seule un moment pour qu'elle fantasme sur ce qui l'attend.

Quand je reviens, elle se tourne vers moi en entendant le crissement de mes bas.

Ayant les yeux bandés, elle compense son handicap par l'exacerbation de ses autres sens.

Sa respiration s'accélère et sa superbe poitrine se soulève en cadence lorsque je pose mon vibro sur son frein.

J'attends que sa queue soit bien raide pour enfiler un gant lubrifié au silicone et glisser un, deux, puis trois doigts dans sa grotte.

Ayant trouvé son point G, je recourbe mon index vers le haut pour le masser avec la pulpe de mon doigt.

Submergée par le plaisir, elle se cambre pour mieux s'offrir à mes caresses.

 

Ne résistant pas à l'envie de m'embrocher sur sa queue, je me mets à califourchon sur son ventre en pressant son gland contre ma rosette.

Puis, je ferme les yeux en m'empalant lentement et voluptueusement jusqu'à la garde.

J'adore sentir mes chairs s'ouvrir sous la pression de sa queue épaisse.

Une fois de plus, je réalise que c'est surtout sa largeur qui me donne du plaisir.

Je fais tourner lentement mes fesses sur sa colonne de chair en associant de puissantes bascules du bassin d'avant en arrière.

Le souffle court, Barbara m'implore d'une voix suppliante:

- Ne me fais pas jouir trop vite.

Je m'arrête un instant pour lubrifier un énorme gode équipé d'un manche.

- Oh non, pas celui là, je suis trop étroite, proteste-t-elle d'une voix inquiète.

Elle se raidit quand je le presse à l'entrée de sa grotte en tentant désespérément de lui échapper.

 

Je contemple une fraction de seconde son visage qui exprime tour à tour la surprise, l'angoisse et le plaisir.

La bouche ouverte et la poitrine palpitante, elle me fixe intensément du regard.

Je l'entends gémir quand je la pénètre doucement jusqu'à la garde.

Nous partageons alors un long moment d'intense jouissance totalement comblées par ces queues qui nous possèdent.

Ayant le manche du gode bien en main, j'explore avec précision les moindres recoins de ses entrailles.

Puis, je masse son Périnée avec ma main en serrant son Pénis avec mes sphincters tout en continuant à lui pilonner la Prostate.

Cette triple stimulation (les 3P) lui procure un plaisir maximum.

Quand je la vois s'agiter frénétiquement, je sais qu'elle a atteint le point de non retour.

- Laisse toi aller ma belle, lui dis-je en amplifiant mes va et vient.

Maintenant totalement en confiance, elle écarte les cuisses pour mieux s'offrir au pal qui la défonce.

Je sens sa queue tressaillir en moi lorsqu'une vague déferlante de plaisir l'emporte.

Le corps secoué de spasmes, elle explose dans mes reins.

Je sors sa queue de mes fesses pour la voir perdre dans d'ultimes soubresauts ses dernières gouttes de sève.

Un flot de sperme m'oblige à resserrer les cuisses pour stopper l'écoulement et éviter de tâcher les draps.

 

Nous passons un long moment à nous caresser et à nous embrasser jusqu'à ce que le désir nous taraude à nouveau.

Je me lève pour prendre un plug gonflable dans ma table de nuit.

- Ce jouet va te faire grimper au rideau, lui dis-je.

Sans attendre, je le plonge dans son anus en le gonflant rapidement.

La forte pression du ballonnet sur sa prostate provoque l'écoulement d'un mince filet de sève de son gland.

- Ton clito coule trop tôt ma belle, lui dis-je en souriant.

Je m'arrête un instant lorsque la tension devient insupportable avant de le gonfler à nouveau.

 

Barbara mobilise ses muscles internes pour résister à cette dilatation.

Elle râle de plaisir en sentant les vibrations du plug se propager dans son ventre.

 

Voyant son anus se contracter de plus en plus souvent, je sais qu'elle ne va pas tarder à jouir.

Allongée entre ses jambes, je pose un vibro sur son frein.

Dés qu'une goutte de sève perle à la surface de son gland, je le soulève quelques secondes avant de l'appliquer à nouveau dessus pour faire apparaître la suivante.

Lorsque Barbara arrive au point de non retour, je gonfle fortement le plug.

- Achève moi, je n'en peux plus d'attendre, me supplie-t-elle en cambrant les reins.

A bout de résistance, elle relâche ses muscles internes en laissant le ballonnet envahir son ventre.

Je continue à dilater ses chairs jusqu'à ce qu'elle soit au paroxysme de la douleur et du plaisir.

Puis, je fais glisser ma langue sur son frein, jusqu'à ce que sa sève s'écoule en continue le long de sa hampe.

- Tu jouis du cul ma chérie, lui dis-je en prenant sa queue dans ma bouche.

Barbara ferme les yeux en se vidant lentement dans ma gorge.

 

Je décide de faire un pause pour lui laisser le temps de se changer.

Elle réapparaît un instant plus tard dans une lingerie craquante qui m'enflamme les sens.

Je ne résiste pas à l'envie de l'allonger sur le lit pour la câliner longuement et explorer ses dessous.

J'adore frotter mes cuisses contre les siennes en sentant le nylon de ses bas me stimuler les sens.

Puis, me mettant à genoux face à elle, je place ses bottes à talons aiguilles sur mes épaules en pressant ma verge contre son anneau qui s'ouvre comme un fruit mur.

Cette position est idéale pour les sodomies car elle permet une pénétration plus profonde tout en stimulant la prostate.

Lors de mes va et vient, je vois sa rosette s'étirer sur ma hampe quand je me retire et s'enrouler dessus lorsque je m'enfonce à nouveau en elle.

Je la baise longuement tout en la masturbant.

Quelques instants plus tard, son corps se met à trembler et elle explose en jets puissants sur sa guêpière.

Après avoir épongé de son mieux ses dessous, elle me dit:

- Reste dans mes fesses et laisse moi faire.

Sans me laisser le temps de réagir, elle serre ma taille entre ses cuisses pour m'immobiliser.

Ondulant du bassin, elle aspire mon sexe en cadence tout en me pétrissant la croupe.

Au moment crucial, elle me porte le coup de grâce en m'enfonçant sournoisement ses doigts dans l'anus.

Tétanisée, le corps en arc de cercle, j'explose à mon tour en râlant de plaisir.

Nous restons un moment enlacées et emboîtées l'une dans l'autre.

Épuisée de fatigue, je finis par m'endormir à ses côtés.

 

Lorsque je me réveille, Barbara est debout devant moi en tenant une barre d'écartement dans ses mains.

Elle la verrouille à mes chevilles en attachant mes poignets aux barreaux du lit.

Allongée sur le dos et écartelée, je suis totalement soumise à sa perversité.

Elle vient se placer entre mes jambes en agitant sous mes yeux un gode hérissé d'aspérités saillantes.

- Je vais me venger, me souffle-t-elle à l'oreille.

D'une main assurée, elle l'enfonce lentement dans mes fesses en le tournant avec son poignet pour qu'il rentre plus facilement.

Quelques minutes plus tard, elle doit presser la racine de mon sexe pour m'empêcher de jouir.

- Non pas maintenant, c'est bien trop tôt ma belle, me dit-t-elle dans un rire de gorge évocateur.

Allongée entre mes cuisses, elle m'empale sur son gode en le poussant avec son genou jusqu'au fond de mes entrailles. Puis elle colle ses lèvres contre les miennes pour étouffer mes plaintes.

 

Lorsqu'elle voit le pal tressauter sous l'effet de mes contractions anales, elle s'accroupit sur moi en s'embrochant sur ma queue.

Saisissant le gode à deux mains, elle me fouille les reins de plus belle.

Je me mets à trembler de désir en essayant de retenir la coulée de lave qui monte en moi.

Barbara s'arrête juste à temps en retirant le gode qui sort dans un bruit de succion.

En me retournant sur le ventre, elle s'assure que la barre qui m'entrave les chevilles en me laissant l'œillet grand ouvert est bien verrouillée.

Puis, s'allongeant sur moi, elle frotte ses jambes gainées de nylon contre les miennes en remontant son genou jusqu'à la fourche de mes cuisses.

La tête dans l'oreiller, encore toute chavirée de plaisir, je fais ressortir ma croupe dans l'attente de son assaut.

D'un coup de rein, elle me transperce avec une facilité qui la déconcerte en oubliant qu'elle vient de me dilater avec son pal.

Puis, elle écarte mes fesses avec ses pouces pour s'enfoncer plus à fond.

 

Mon excitation s’accroît en sentant ses bourses me fouetter la croupe lorsqu'elle me baise avec fougue.

Dans le silence de la chambre, j'entends claquer son ventre contre mes fesses en étant comblée par sa queue qui me lime si bien.

- J'adore sentir ta verge grossir dans ma main quand je t'encule, me souffle-t-elle à l'oreille.

Elle finit par m’achever en me masturbant jusqu'à ce que ma sève jaillisse sur ma guêpière.

 

Quelques minutes plus tard, libérée de la barre, je me mets à califourchon sur son ventre en guidant sa colonne de chair dans ma grotte.

Puis, je commence un massage fessier dont j'ai le secret en ne pensant plus qu'à terrasser sa queue brûlante de désir.

 

Lorsque je sens sa semence fuser dans mon ventre, je pense à toutes ces femmes qui ont le bonheur de pomper par tous leurs orifices plusieurs dizaines de litres de sperme à leurs amants au cours d'une vie.

Enfin calmée, je sens une épaisse coulée de sève chaude s'échapper de mes fesses et s'infiltrer dans mes jarretières.

- C'était divin, lui dis-je en souriant.

- Moi, j'adore quand tu fais la fille, s'exclame-t-elle.

Épuisée, nous nous endormons rapidement dans les bras l'une de l'autre.

 

Merci de me laisser vos commentaires sur ce récit.

 

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Par sandratvtg - Publié dans : Récits transsexuelles - Communauté : melany_travesti_soumise
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Vendredi 4 août 5 04 /08 /Août 12:24

L’initiatrice,

 

Je viens à peine de sonner à la porte qu'une jolie brune m'ouvre en souriant.

- Je t'attendais, rentre vite.

Elle porte une guêpière, un adorable string assorti et des bas à couture tendus par quatre paires de jarretelles.

Malgré son abondante chevelure et ses traits fins qui la rendent très féminine, je devine sous son déshabillé arachnéen un renflement équivoque à la naissance de ses cuisses.

J'ai devant moi la créature de rêve.

Une très jolie femme avec des seins magnifiques avec une queue qui se devine sous son string.

Troublé par cette ambivalence, je la laisse m'entraîner dans sa chambre.

 

Après quelques banalités échangées, elle s'assoit près de moi en me posant des questions plus intimes.

- Pourquoi m'as-tu choisie?

- Parce que tu sais mieux qu'une fille comment me donner du plaisir.

- Avant que je m'occupe de toi, il faudra que tu me laisses t'initier à certains jeux, me dit-t-elle en me décochant un regard brûlant.

Sur ces mots, elle me déshabille rapidement.

Je suis entièrement nu quand sa main remonte lentement à l'intérieur de mes cuisses et se referme sur mes bourses.

Elle sourit en voyant ma queue dressée se plaquer contre mon ventre.

- J'adore les sexes épais comme le tien car je les sens mieux en moi, me dit-t-elle ravie.

Puis, elle me fait découvrir son armoire remplie de jupons, corsets, guêpières, porte-jarretelles...

- Fais ton choix me dit-t-elle

Sous son regard amusé, je passe de longues minutes à choisir mes dessous.

J'enfile plusieurs jupons devant la glace en sentant les irrésistibles frottements de la crinoline sur ma queue.

Avec fébrilité, je finis par poser sur le lit le corset, la culotte fendue et la robe de nuit qui m'ont fait craquer.

- Je vais enfin pouvoir te coiffer et te maquiller, me dit-t-elle en soupirant d'impatience.

Devant son boudoir, elle me pose des faux cils et souligne mes yeux au «eye-liner»

Puis, elle peint mes lèvres d'un rouge vermillon pour les rendre pulpeuses.

Achevant ma métamorphose, elle me coiffe d'une perruque mi courte très glamour.

- Je vais maintenant t'aider à enfiler cette ravissante lingerie, ma chérie.

Je suis heureuse de l'entendre s'adresser à moi au féminin.

 

Natacha m'enfonce sans ménagement son genou dans le creux des reins pour serrer les lacets de mon corset en satin d'un blanc nacré rehaussé de dentelle marron.

Elle garnit ensuite mes bonnets 105/D de somptueuses prothèses en silicone de 600 gr chacune.

- Je suis jalouse ma belle, car ils sont plus lourds et plus gros que les miens, m'assure-t-elle en les palpant.

A mon tour, je contemple cette fille superbe qui me fait bander.

Sa longue chevelure auburn retombe en cascade sur ses épaules encadrant son visage sensuel.

Sa poitrine généreuse menace à tous moments de faire exploser les fines bretelles de sa guêpière.

Contrastant avec son éclatante féminité, mon regard est attiré par sa queue pleine de désir qui gonfle maintenant son string brésilien.

- Encore un peu de patience, j'ai bientôt fini, me dit-t-elle en me voyant troublée par la taille de son sexe.

Comme envoûtée, je la laisse me glisser une adorable culotte fendue sur les hanches.

- Tu es craquante avec cette lingerie qui me laisse un accès à tes fesses, s'exclame-t-elle.

- Désormais, je t’appellerai Sandra.

Poursuivant sa tâche, elle accroche mes bas de couleur crème aux huit jarretelles de mon corset.

Me voyant peu assurée sur mes talons aiguilles, elle m'aide à me glisser dans une ravissante robe de nuit fendue sur le côté.

 

Je ressens un plaisir indéfinissable à me contempler dans le miroir.

J'aime me voir dans mon corset qui comprime mes seins en faisant ressortir ma croupe.

J'adore sentir la tension de mes bas quand je marche perchée sur mes escarpins.

Je ne résiste pas à prendre des poses suggestives devant la glace afin de mettre en valeur ma féminité.

 

Ma maîtresse me laisse admirer mes courbes car elle sait que cela m'excite et m'aide à me sentir vraiment femme.

 

Prise soudain d'une envie pressante, je me rends aux toilettes pour soulager ma vessie en laissant la porte ouverte...

Natacha qui m'a suivie se caresse le sexe en me voyant assise sur la lunette des wc.

Me rendant compte de sa présence, je détache mes jarretelles une à une afin d'abaisser ma culotte.

Puis, je me lève en lui tournant délibérément le dos.

Natacha craque quand elle me voit offerte les bras tendus contre le mur, les reins cambrés, les jambes écartées et ma culotte descendue à mi cuisses.

 

S'approchant de moi, je sens son souffle sur ma nuque lorsqu'elle m' enfonce ses doigts recouverts de salive dans l'anus.

 

Puis, posant ses mains sur mes hanches, elle fléchit les genoux en me pénétrant lentement.

Les yeux mi clos, je donne un habile coup de rein pour finir de m'empaler sur son sexe turgescent.

Voulant la faire jouir rapidement, je reste soudée à elle en tortillant mes fesses contre son ventre.

- Tu es une belle salope! me souffle-t-elle à l'oreille en me pilonnant de plus belle.

Lorsque je sens ses valseuses battre contre mes cuisses, je deviens folle d'excitation.

Submergée par l'orgasme qui l'emporte, Natacha décharge sa sève en jets puissants dans ma grotte.

Dans le même temps, je glisse ma main entre mes cuisses en la refermant sur ses bourses pour l'empêcher de se retirer et recueillir ses dernières gouttes de sève.

 

Un moment plus tard, elle m'allonge sur une table médicale face à une glace murale.

Une lueur d'excitation brille dans ses yeux quand elle bloque mes talons aiguilles dans les étriers.

C'est tremblante de désir mais avec une certaine inquiétude que je la laisse me lier les mains et me passer une lanière sous les seins.

Puis, Natacha recouvre ma verge avec l'un de ses bas qu'elle utilise comme manchon pour mieux me masturber.

Les frottements du nylon sur mon gland ne manquent pas de faire grandir mon désir.

Me voyant sur le point de jouir, elle me prend dans sa bouche en m'enfonçant son majeur dans l'anus.

Très expérimentée, elle le recourbe vers le haut pour masser mon point G avec la pulpe de son doigt.

Un orgasme fulgurant me fait éclater la tête lorsque je me vide dans sa gorge.

Terrassée par le plaisir, je regarde ma Maîtresse me pomper avidement la queue.

 

Profitant de mon émoi, elle poursuit la séance.

Elle accroche une poche remplie d'eau à une patère placée au dessus de ma tête en m'enfonçant une sonde dans l'anus.

Pendant que mes intestins se remplissent d'eau, elle me caresse la verge en la faisant vivre et grandir entre ses doigts.

 

Ayant mon visage au niveau de ses hanches, je vois soudain sa queue jaillir de son string.

Plaquée contre son ventre, elle dépasse la hauteur de son nombril.

Au moindre geste de Natacha, elle se balance sous mes yeux avec la régularité d'un métronome.

Après un bref échange complice du regard, elle la plonge en souriant dans ma bouche.

Trop heureuse de son initiative, je la pompe avidement jusqu'à ce qu'un flot de sperme fuse dans ma gorge en m'éclaboussant les lèvres.

 

Un moment plus tard, elle s'assoit à califourchon sur moi en pressant ses mains sur mon ventre pour que j'évacue l'eau du lavement.

Sa tâche achevée, nous nous mettons tête bêche.

Je ne résiste pas à l'envie de titiller sa rosette qui s'ouvre sous la pression de ma langue.

En ayant mon visage enfoui dans ses dessous parfumés, je m'enivre des senteurs de jasmin et de patchouli qui se mélangent à l'odeur de sa peau.

 

Puis, Natacha se lève pour enfiler une paire de gants en latex qu'elle lubrifie soigneusement.

Bien campée sur ses talons aiguilles, elle se plante entre mes jambes en contemplant mon cul offert et sans défense.

- Tu es déjà bien ouverte, me dit-elle en fourrageant avec ses doigts ma grotte humide de désir.

Elle ignore que j'ai porté toute la nuit une culotte en latex munie d'un gode interne de 7cm de diamètre pour me préparer aux sévices qu'elle allait m'infliger.

 

Poursuivant son examen, elle découvre les renflements de ma rosette qui témoignent de mes nombreuses expériences anales.

- Je vois que tu aimes être prise par de gros calibres, m'affirme-t-elle.

Gênée, je baisse la tête en évitant de lui répondre.

- J'espère que celui-ci te comblera, s'exclame-t-elle en agitant sous mes yeux un imposant gode noir muni d'un manche.

Le tenant à deux mains, elle l'appuie contre ma rosette.

Face au miroir de la chambre, je la vois forcer mon passage.

Agacée par plusieurs tentatives infructueuses, elle s'accroche à ma taille pour mieux m'empaler.

Cette fois, mon anneau blanchit sous la forte pression qu'elle exerce.

Je l'aide en poussant de toutes mes forces pour m'embrocher rapidement et abréger mes souffrances.

Mon œillet finit par céder en laissant l'énorme masse s'engouffrer dans mes fesses.

Natacha fait tourner le gode pour que je sente mieux ses reliefs me limer la chatte.

Prise d'une pulsion masochiste, j'écarte en grand les cuisses pour m'offrir totalement à ma maîtresse.

Cette acte de soumission lui excite fortement les sens.

Ses yeux rivées dans les miens, elle en profite pour m'empaler jusqu'au manche.

-Te voilà bien prise ma chérie.

 

Avec un plaisir non dissimulé, elle me fouille longuement les entrailles. Natacha me défonce maintenant sur un rythme effréné en sentant le gode tressauter dans sa main à chacune de mes contractions anales.

Avec une lueur de perversité dans les yeux, elle me regarde jouir en jets puissants sur ma guêpière.

Un instant plus tard, j'entends le bruit de succion que fait ma Maîtresse en le sortant de mes fesses.

 

- Nous arrivons à la dernière étape, me dit-t-elle en me lubrifiant la chatte à l'aide d'une grosse seringue sans aiguille.

Prise d'un pressentiment, je tire en vain sur mes liens pour me détacher.

Agitée et déstabilisée, je l'aide sans le vouloir en cambrant les reins lorsqu'elle enfonce sa main dans ma grotte.

L'instant d'après, Natacha dresse son bras à la verticale en calant son coude contre la table d'examen.

Puis, elle me regarde m'empaler par le poids de mon corps.

- Serre bien les fesses pour t'embrocher lentement et faire durer ton plaisir, me dit-t-elle.

 

Poursuivant son fist, elle me masturbe avec son autre main en faisant glisser sa langue sur mon frein.

Ayant passé la première courbure de mon intestin, elle peut maintenant m'enfoncer son bras jusqu'au coude.

Je sens sa main ganté de latex me fouiller les chairs avec insistance.

C'est avec fascination que je vois ses doigts soulever la peau de mon ventre à la hauteur de mon nombril.

- Je sens ton pouls battre contre mon bras, s'exclame-t-elle.

- Tu me fais mouiller ma chérie! rajoute-t-elle d'une voix rauque en le poussant plus à fond.

Puis, elle se concentre sur ma prostate en la massant jusqu'à ce qu'un orgasme intense me submerge.

Ma sulfureuse Maîtresse attend quelques minutes que mes sphincters se relâchent avant de retirer son bras.

 

Elle contemple en souriant ma chatte restée béante tout en me libérant de mes liens.

Puis, elle m'invite à prendre un cocktail pour me remettre de mes émotions.

 

Un moment plus tard, assise sur un tabouret de bar, elle me fixe de ses yeux de braise.

Elle croise et décroise ses jambes avec une lenteur calculée pour me laisser entrevoir ses jarretelles.

Puis, elle frotte ses cuisses l'une contre l'autre pour que j'entende le crissement de ses bas.

Enfin, elle soulève sa nuisette en me dévoilant son string.

Il est extensible et transparent comme un bas en moulant à la perfection sa queue en érection et ses bourses bien pleines.

Brûlante de désir, Natacha m'entraîne dans son lit.

Après avoir enfoncé des boules anales dans ses fesses, elle se met sur le dos en me disant :

-Viens, j'ai envie de toi.

A la vue de son œillet frémissant de désir, je me rue en elle en l'embrochant jusqu'à la racine de mon sexe.

Natacha ferme les yeux en savourant son plaisir.

Puis, elle tire sur le fil qui pend entre ses cuisses pour plaquer les boules anales contre ma queue tout en activant la télécommande qui les fait vibrer.

Je ressens aussitôt d'intenses stimulations sur mon gland.

Néanmoins, je continue à la pilonner sans trêve jusqu'à ce que sa liqueur fuse sur son corset.

Je me retire alors rapidement de ses fesses pour éviter de jouir.

 

Nous nous accordons un moment de repos avant de poursuivre nos ébats.

Puis, Natacha me culbute sur son lit en s'empalant à califourchon sur ma queue.

Elle tourne lentement sa croupe sur mon sexe qui lui sert de pivot.

Puis, elle initie de puissantes bascules du bassin d'avant en arrière en mobilisant ses muscles intimes qui me pompent fortement la queue. Très vite, j'explose dans ses reins en gémissant de plaisir.

- A mon tour de te baiser, me dit-t-elle en me plaquant violemment sur le lit.

Allongée sur le ventre, j'essaye de lui résister, mais elle m'immobilise par le poids de son corps en me forçant à écarter les cuisses avec son genou.

Tentant d'échapper à ce viol, je serre les fesses en contractant mes sphincters.

Hélas! cela ne fait qu'exacerber sa libido.

Elle écarte mes fesses avec ses pouces et force mon passage en me vrillant les chairs avec sa queue gonflée désir.

Prenant conscience que ma résistance devient inutile je la laisse s'engouffrer d'un coup dans mes reins.

Me sentant totalement soumise à ses désirs, elle me baise alors sous tous les angles en me faisant subir les derniers outrages.

Par moment, elle sort de mes fesses en attendant patiemment que ma chatte se referme avant de se laisser retomber sur moi de tout son poids.

Je ne pense bientôt plus qu'à cette colonne de chair qui me lime et me possède sans fin.

 

Dans le silence de la chambre, j'entends les claquements de son ventre contre mes fesses.

Lorsqu'elle s'arrête de me labourer les chairs, je perçois les tressautements de sa queue qui m'annonce l'imminence de son orgasme.

Soudée à elle, je m'active sur sa colonne de chair qui ne résiste pas longtemps à mon massage fessier.

Natacha finit par décharger dans mes reins en râlant de plaisir.

 

Le soir venu, épuisées par nos jeux nous décidons de nous coucher

Au cours de la nuit, Natacha allume sa lampe de chevet.

Me croyant endormie, ses mains effleurent ma guêpière et mes bas en me prodiguant de troublantes et insistantes caresses.

Puis, elle s'allonge derrière moi en frottant sa queue entre mes cuisses gainées de nylon.

Quelques instants plus tard, elle se masturbe dans la raie de mes fesses avant de me violer sans scrupule.

 

Bercée par ses va et vient, je retiens difficilement mes râles de plaisir.

 

Ayant l'anus mieux innervé qu'un vagin, je sens ses jets de sperme fuser en moi lorsqu'elle jouit au plus profond de mes entrailles.

Emportée par ses pulsions sexuelles, elle me baise ainsi plusieurs fois jusqu'à l'aube en abusant de mon corps endormi et sans défense.

Au petit matin, je la vois s'étirer et cambrer sa magnifique poitrine.

- Cette nuit, j'ai réalisé mon fantasme en te baisant plusieurs fois pendant que tu dormais, me dit-t-elle ravie.

- J'ai tellement déchargée dans tes reins que j'ai du mettre ton rosebud pour arrêter le flot de sperme qui coulait sur les draps.

A ces mots, je découvre de larges auréoles blanchâtres qui ont amidonnées ma nuisette à l'endroit de mes fesses.

 

 

 

 

 

Merci de me laisser vos commentaires.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par sandratvtg - Publié dans : Récits transsexuelles - Communauté : Ceux qui aiment la sodomie
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Mardi 1 août 2 01 /08 /Août 10:06

 

 

 

 

 

Rencontres libertines,



Par une belle journée d'été, mon téléphone sonne.
C'est Steve, le patron d'une boîte de travestis qui m'appelle.
- Allô Sandra, j'ai quatre nouvelles amies qui t'attendent au club.
- Merci d'avoir pensé à moi, j'arrive le plus vite possible, lui dis-je en raccrochant.
Je suis heureuse de son appel car je fais toujours de belles rencontres chez lui.
Dans ces étreintes sans lendemain, je peux vivre mes fantasmes les plus intimes avec comme seul motif de prendre et de donner du plaisir.
C'est donc avec impatience que je m'assois devant mon boudoir pour me maquiller et mettre mes faux cils.

Puis, je me coiffe d'une perruque blonde coupée au carré.

C'est avec fébrilité que j'enfile ma lingerie devant la glace en éprouvant toujours le même émoi.
Quel plaisir! Ce temps consacré au seul bonheur de se faire belle en devenant femme.

Je ne peux plus me passer de ces moments de volupté que je vis plusieurs fois par semaine chez moi ou lors de mes déplacements dans les hôtels.

J'agrafe ma guêpière avant de garnir mes balconnets de généreuses prothèses en silicone 105/D.
Je glisse sur mes hanches une adorable culotte ouverte qui me rend prête à faire l'amour en toute circonstance.
Je ne me lasse pas de contempler cet ensemble de satin et de dentelle si glamour qui met en valeur mon corps entièrement épilé par des séances au laser.

Puis, je déroule mes bas cervin sur mes jambes.

Je les accroche à mes jarretelles recouvrant ma culotte fendue.

Je suis consternée par toutes ces femmes qui font l'inverse en portant leurs culottes par dessus leurs jarretelles pour ne pas avoir à les détacher aux toilettes.

Elles perdent ainsi tout le raffinement et l'élégance de leur lingerie.

 

L'envie me prend de faire quelques pas dans ma chambre en frottant mes cuisses l'une contre l'autre pour entendre le crissement de mes bas.


Puis, je sors d'un tiroir mon fémidom qui est un préservatif féminin en retirant le petit anneau se trouvant à l'intérieur pour pouvoir l'utiliser en anal.

Allongée sur mon lit, je l'enfonce dans ma grotte en plaquant l'anneau le plus large contre mon périnée.
Cette protection est magique car je peux la garder toute la journée.

 

Lorsqu'une pulsion irrésistible m'emporte mon ami et moi, je n'ai qu'à relever ma jupe pour être prise discrètement sous une porte cochère, dans un parc, une cage d'escalier, une cabine d'essayage...

De plus, il n'a pas le temps de débander comme cela arrivait parfois le temps que je retire ma culotte et lui mette son préservatif.


Achevant de me préparer, je rentre ma queue entre mes cuisses en la fixant avec un adhésif.

Dans le miroir de ma chambre, je ne vois plus que mon triangle de vénus fendu d'un pli vertical qui évoque la naissance de ma chatte.

Puis, j'accroche à ma taille une jupe portefeuille très courte qui laisse entrevoir ma culotte.

J'adore la porter car son tissu souple épouse mes fesses en amplifiant leurs balancements quand je marche.

J'ajuste mon corsage en passant mes mains sous ma jupe pour le tendre et faire ressortir mes seins comme le font habituellement les femmes.
Pendant quelques minutes, je m'exerce devant la glace à prendre les poses et attitudes féminines.
Pressentant une journée mouvementée, j'avale un comprimé de viagra dans un verre d'eau avant de partir.

Enfin prête, je quitte mon appartement.
En descendant l'escalier, je sens l'excitante tension de mes jarretelles sur mes cuisses.

 

Par une belle journée ensoleillée, je marche dans la rue.

Mon corsage échancré découvre mes seins lourds et fermes qui se balancent au rythme cadencé de mes talons aiguilles sur l'asphalte.

 

J'éprouve du plaisir à provoquer du regard les hommes que je croise.
J'accentue le balancement de mes fesses engendré par mes escarpins en faisant virevolter ma jupe qui laisse entrevoir mes jarretelles à chacun de mes pas.

Le vent chaud qui s'engouffre entre mes cuisses me donne de sensuelles caresses que les femmes connaissent bien...

 

Je poursuis mon chemin en cambrant les reins pour attirer l'attention sur mes fesses.
Puis, je m'arrête devant une boutique de mode en relevant ma jupe pour ajuster mes bas.
Lorsque je tends mes jarretelles sur mes cuisses gainées de nylon, je ne peux m'empêcher de sourire en voyant le visage plein de désirs d'un de mes admirateurs se refléter dans la vitrine.
Une femme m'observant quelques mètres plus loin ayant découvert ma vraie sexualité me considère d'emblée comme une rivale.

Je lui souris en montrant que je ne suis pas indifférente à son charme.
Déstabilisée et troublée, elle ne sait plus quelle attitude adopter.

J'arrive enfin chez Steve qui m'attend à la porte de son club.
- Tu me fais bander dans cette tenue, s'exclame-t-il en glissant sournoisement sa main sous ma jupe.
- Sois sage, je m'occuperai de toi plus tard, lui dis-je d'un regard prometteur.
Mais mon corps trahit mes paroles en s'offrant à ses irrésistibles caresses.
- Viens, tu en as autant envie que moi, me dit-t-il en m'entraînant de force dans son salon.
A peine a-t-il refermé la porte qu'il fait jaillir son sexe de son pantalon.
- J'ai une folle envie de te sauter, me dit-il rouge d'excitation.
- Je veux bien te donner ce plaisir si tu me laisses faire, lui dis-je en m'approchant de lui dans une attitude provocante les seins dressés et le bassin en avant.

Sans attendre, je le pousse sur le divan en m'asseyant à califourchon sur son ventre.

Je retrousse ma jupe pour lui dévoiler ma guêpière et mes bas ornés de jarretières.


Les yeux brillants de désir, il plonge sa main dans mes dessous pour m'enlever mon fémidom.

- Je ne veux pas que tu mettes de préservatif avec moi.

Très impatiente de rencontrer mes nouvelles amies, je lui accorde ce privilège.

Je commence par le masturber en caressant la zone sensible de son périnée tout en lui malaxant les bourses.
Sans le quitter du regard, j'écarte la fente de ma culotte en m'empalant lentement sur sa verge.

La respiration coupée, il regarde sa queue disparaître dans mon ventre.

Puis, je presse son sexe avec mes muscles intimes pour faire monter son désir.
Il gémit de plaisir lorsque j'entame de lentes et puissantes bascules du bassin d'avant en arrière en provoquant de fortes tensions sur son frein.

J'aime cette position qui me permet d'imposer le rythme et de m'enfoncer sa queue jusqu'au ras des fesses.
Pour qu'elle devienne plus dure, je l'entoure avec l'un de mes bas en guise d'anneau pénien.
Dominant mon sujet, je poursuis mon travail de sape.

Le souffle de Steve s’accélère quand je le chevauche sur un rythme soutenu en lui caressant les bourses.

Lorsque je sens sa verge tressauter en moi, je l'achève en tournant lentement mes fesses sur son bâton de chair qui me sert de pivot.
Il jouit longuement dans une succession de spasmes qui me désarçonne à moitié.

A mon tour, je gémis de plaisir en sentant ses puissants jets de sperme fuser contre ma paroi anale.
En me levant, je suis surprise de voir d'épaisses coulées de sève ruisseler à l'intérieur de mes cuisses.

- Tu m'as mis la dose, lui dis-je en m'épongeant l'entrejambe.


Toujours tenaillée par le désir, j'ai une envie folle de le violer en le voyant allongé à moitié nu sur son divan.

Prise par le temps, je me fais une raison en me disant que d'ici peu, je pourrai m'en occuper.

Mes bas ayant filés lors de nos jeux, je sors une nouvelle paire de mon sac à main en les accrochant à mes jarretelles sous le regard brûlant de Steve.
Je le quitte rapidement en lui demandant de m'envoyer sa première protégée dans la chambre «chevalier d’éon»

En montant l'escalier quatre à quatre, j'ai à peine le temps de m'allonger sur le lit que Christelle apparaît dans l'embrasure de la porte.
C'est une charmante blonde aux traits fins.
Elle porte une nuisette transparente ainsi qu'un collant qui fait ressortir sa queue dans les moindres détails.

Les frottements du nylon sur son gland décalotté la fait se dresser devant mes yeux.


Son maquillage excessif et son rouge à lèvres outrancier témoignent à l'évidence de son manque d'expérience en la rendant provocante malgré elle...
Je prends conscience qu'il va me falloir jouer le rôle d'initiatrice dans cette rencontre.
- Approche, lui dis-je en me déshabillant rapidement.
Pendant qu'elle s'avance d'un pas hésitant, j'enlève mon corsage en dévoilant mes seins comprimés dans ma guêpière.
J'ai tout juste le temps de dégrafer ma jupe avant qu'elle n'atteigne mon lit.
Voulant me sentir vraiment femme, je garde ma culotte fendue pour dissimuler ma queue.


Christelle est maintenant immobile devant moi.
C'est une jeune transsexuelle hormonée dont les seins commencent à pointer dans son soutien gorge.
Abaissant son collant, je la masturbe en sentant sa queue parfaitement épilée et lisse se raidir entre mes mains.

Je la mordille doucement en m'arrêtant lorsque quelques gouttes translucides perlent à la surface de son gland.

Dans le même temps, je presse entre mes doigts la peau douce et satinée de ses bourses.

Puis, je m'allonge sur le dos en écartant les cuisses pour lui offrir mon œillet humide de désir.
Christelle reste un moment indécise en tentant de résister à ses pulsions.
- Baise moi ma belle, lui dis-je d'une voix pressante en écartant la fente de ma culotte.
Aiguillonnée par mes paroles, elle se jette sur moi comme un chien fou en me laissant à peine le temps de saisir son sexe pour le guider dans ma grotte.


Pendant qu'elle s'active avec fougue dans mes reins, une pensée surréaliste me vient à l'esprit.
Je repense aux milliers de va et vient qui m'ont labouré le ventre ces dernières décennies.
Mis bout à bout cela doit représenter des kilomètres de queues.


Les gémissements de plus en plus rapprochés de Christelle balayent cette image.

Les tressautements de sa queue dans ma chatte m'annoncent l'imminence de son orgasme.

- Oh non pas si vite, a-t-elle le temps de me dire en m'inondant le ventre de toute la sève de ses vingt ans.
Lorsque je la sens se vider dans mes entrailles, je serre sa taille dans l'étau de mes cuisses en contractant mes sphincters sur sa verge.

Ma main se referme sur ses valseuses pour l'empêcher de se retirer avant qu'elle ne finisse de se vider au plus profond de mes reins.
Ce n'est qu'après avoir pompé ses dernières gouttes de sève que je desserre mon étreinte.
Terrassée par l'orgasme, elle s'effondre sur moi en m'écrasant les seins.
Nous restons un long moment enlacées et soudées l'une à l'autre.

Quelques instants plus tard, Christelle m'enlève ma culotte.

Elle sourit en découvrant ma queue serrée entre mes cuisses.

- Laisse moi faire, me dit-t-elle.

Elle décalotte mon gland en tirant sur mes testicules pour provoquer une tension sur mon frein.

Elle me déclenche une érection spectaculaire en pressant la racine de mon sexe entre son pouce et son index.
Puis, ses lèvres remontent le long de ma hampe avant de se refermer sur mon gland.
Ses joues se creusent lorsqu'elle me pompe avec un savoir faire étonnant pour son âge.
Comme toutes les transsexuelles, elle s'acquitte de sa tâche avec un talent bien supérieur aux femmes.

Dans le même temps, sa main remonte le long de mes jarretelles en me caressant l'intérieur des cuisses.
- J'ai envie que tu me prennes, me dit-t-elle fascinée par ma queue qui se dresse maintenant devant ses yeux.
Allongée sur le dos, elle lève les jambes en écartant les cuisses pour s'offrir à moi sans pudeur.

Le contraste de son visage candide associé à son attitude dissolue me met dans tous mes états.
Ne pouvant résister plus longtemps à son appel, je la pénètre lentement pour qu'elle s'habitue au diamètre de ma verge.

Puis, je la masturbe en même temps sur des rythmes lents et rapides.
Quelques minutes plus tard, je sens son anus se contracter sur ma verge et sa sève fuser entre mes doigts.
Sans me quitter du regard, elle se trémousse avec une rare perversité sur ma queue jusqu'à ce que je décharge à mon tour dans ses fesses.
Je sors à regret de ses reins en m'exclamant:
- Tu as un tempérament de feu Christelle!
- J'aimerai te revoir pour te faire découvrir d'autres jeux.
Elle accepte ma proposition avec joie en venant se blottir dans mes bras.
Je la câline un moment avant de lui demander de partir.

A peine rhabillée, une superbe rousse fait irruption dans ma chambre.
Elle porte un corset rouge et noir et des cuissardes assorties qui affichent clairement ses penchants de dominatrice.
Claudia s'approche de mon lit d'un pas assuré.
Je rentre dans son jeu en rabattant craintivement ma jupe sur mes cuisses.
- N'aie pas peur, me dit-t-elle d'une voix moqueuse en soulevant ma jupe et en me troussant sans scrupule.
Surprise par la taille de mon clito, elle le sort de son écrin de lingerie.
- On dirait que je te fais de l'effet, s'exclame-t-elle ravie.
Profitant de son emprise sur moi, elle m'entraîne sur le lit en m'allongeant sur le ventre.
Sortant une queue massive de son slip brésilien, elle vient se glisser entre mes cuisses.
D'un doigt inquisiteur, elle explore l'entrée de ma grotte en s'immobilisant sur l'anneau en latex de mon fémidom.
- Retire cela immédiatement, me dit-t-elle d'un ton sans réplique.
- Je l'ai mis pour que ses reliefs internes te donnent davantage de plaisir.
La voyant hésiter, je la masturbe pour la faire fléchir.
- Tu peux le garder, finit-t-elle par me dire.
Sans perdre de temps, elle s'allonge entre mes cuisses en appuyant son gland turgescent contre mon anneau.
- Pousse dès que je commence à t'enfiler, me dit-t-elle avec une pointe d'excitation dans la voix.
Mes sphincters finissent par céder et je sens son sexe s'enfoncer d'un coup jusqu'à la garde.
Après une brève douleur, mon désir monte crescendo lorsqu'elle pilonne mon point G avec une précision diabolique.

J'ai la respiration coupée lorsqu'elle me baise à grands coups de reins.


Dans le silence de la chambre, j'entends les claquements réguliers de son ventre contre ma croupe et les frottements de sa queue dans mon préservatif féminin.
Quand je la sens sur le point d'exploser, je glisse ma main entre ses cuisses pour lui malaxer les bourses.
Je l'entends râler de plaisir quand je fais tourner ma croupe sur sa queue jusqu'à ce qu'elle jouisse en moi.
Puis, elle se rhabille sans dire un mot et sort de ma chambre en me laissant dans un état d'excitation intense.

Heureusement, deux jolies brunettes lui succèdent dans l'encadrement de la porte.
Natacha et Sabrina portent la même adorable guêpière gris perle ornée de dentelle rose.
Je les regarde s'approcher de moi en étant toujours tenaillée par le désir.
Elles sont craquantes avec leurs jambes interminables et leurs cuisses fuselées.
Ne parvenant pas à détacher leurs regards de mon sexe en érection, elles me demandent de réaliser un de leur fantasme.
Les sens mis en ébullition par Claudia, j'accepte leur proposition en commençant à les masturber toutes les deux en même temps.
Natacha est la première à me montrer ses attentes.
- Viens sur le lit ma belle, je vais commencer avec toi.

En lui tournant le dos, je m'empale à califourchon sur sa verge.
Puis, j'interpelle Sabrina.
- C'est le moment de vivre ton fantasme ma chérie.
Fascinée par le sexe de Natacha qui va et vient en moi, elle reste un moment immobile avant de venir entre mes cuisses.
Puis, elle me prend dans sa bouche tout en m'embrochant à son tour.
Avec une synchronisation parfaite, elle plonge sa queue dans mon fourreau anal quand celle de Natacha en sort.
Doublement sodomisée et pompée, je ne tarde pas à jouir en jets puissants dans la gorge de Sabrina.


Enfin calmée, je me concentre sur Natacha.
- A ton tour, lui dis-je en lui lançant un regard torride.
Ondulant de la croupe, j'entreprends un irrésistible massage fessier dont j'ai le secret.
Attentive à la montée de son orgasme, je me trémousse de plus belle sur sa queue.
Le moment venu, je l’achève par de lentes et puissantes bascules du bassin.
Tremblante de la tête au pied, elle gémit de plaisir en se vidant en moi.


Le souffle court devant ce spectacle, Sabrina continue à s'activer dans mes fesses en voyant le sperme de son amie couler le long de sa hampe.
Je lève alors mes jambes gaînées de nylon en écartant les cuisses pour qu'elle puisse s'enfoncer plus à fond dans ma chatte.
Calant ses épaules dans le creux de mes genoux, elle m'embroche jusqu'à la racine de son sexe.
- J'adore te baiser de cette manière, s'exclame-t-elle!


Reprenant l'initiative, je la bascule sur moi en éperonnant sa croupe avec mes talons aiguilles.
Telle une mante religieuse qui immobilise sa proie, je serre sa taille entre mes cuisses en contractant mes sphincters pour mieux sentir les va et vient de sa queue qui m'embroche.


Lorsque Sabrina est sur le point de jouir, je sors sournoisement mon gode de dessous l'oreiller pour l'enfoncer dans ses fesses.
Surprise, elle se cabre pour tenter d'échapper à ce pal qui la fouille avec insistance.
- Non pas maintenant, c'est trop tôt, a-t-elle le temps de me dire avant d'exploser en moi dans une série de spasmes.

Restée seule, je m'empresse de remettre de l'ordre dans ma lingerie.
J'ajuste ma perruque en me donnant un coup de peigne sans oublier de retoucher le contour de mes lèvres.
Enfin, je sors une ravissante culotte en satin de mon sac à main car mes jeunes amies ont bien amidonné celle que je porte lors de leurs assauts et j'enfile rapidement ma jupe pour rattraper mon retard.
J'ai en effet rendez-vous avec Mirella qui est une amie de longue date.

En redescendant dans le hall d'entrée, je croise une jolie blonde assise dans un fauteuil.
Mon regard est attiré par le renflement qui déforme le devant de sa jupe.
Je m'arrête à sa hauteur en l'interpellant:
- J'aimerai bien voir ce que tu caches entre tes cuisses.
Nullement gênée par ma demande, elle soulève sa jupe en me montrant enfoui dans ses dessous un gode solidement attaché à sa taille.
Elle l'agite sous mes yeux en me fixant d'un regard plein de promesses.
Il est relativement court mais c'est surtout son diamètre de neuf centimètres qui m'impressionne.
Voyant ma surprise devant un tel calibre, elle me dit en souriant:
- Je le porte ostensiblement sous ma jupe pour attirer les hommes qui aiment se faire prendre par une femme.


Je contemple avec envie cette queue épaisse que ma jolie Domina serre entre ses cuisses car je sais que j'aurai beaucoup de plaisir à être sodomisée par cette talentueuse professionnelle.

Avec son gros diamètre, il donne des sensations fortes, m'assure-t-elle d'une voix chaude en me voyant fixer le gode avec envie.
- Viens dans mon donjon, tu ne le regretteras pas, rajoute-t-elle en glissant sournoisement sa main sous ma jupe.
- C'est dommage que la place soit déjà prise! S'exclame-t-elle en sentant la présence de mon rosebud.
Étant en retard, je la quitte à regret en me promettant de revenir la voir dés que possible.

Chemin faisant, je me félicite de porter une culotte ouverte qui laisse vivre mon bijou anal dans ma chatte.
C'est un Niki XXL de chez Julian Snelling mesurant six centimètres de diamètre.
En le lubrifiant avec un gel silicone, je peux le garder toute la journée sans problème.
C'est très différent d'un plug de même diamètre qui a une base plus large.

En laissant l'anus ouvert en permanence, il provoque des envies fréquentes d'aller aux toilettes quand on le garde plus d'une heure.

En poursuivant mon chemin, le poids de mon rosebud me donne d'excitantes tensions dans le bas ventre pendant que sa tige en laiton vient presser mon périnée et la racine de ma queue.
A la recherche de davantage de plaisir, je m'arrête devant une vitrine en écartant les jambes.
Entraîné par son poids de 600gr, je sens mon bijou anal glisser de ma grotte.

La peur de le voir tomber sur le trottoir à la vue des piétons majore mon excitation.
Au dernier moment, je contracte fortement mes fesses pour éviter qu'il ne m'échappe.
Je frissonne de plaisir lorsqu'il remonte d'un coup en se plaquant contre mon point G.
Je recommence plusieurs fois cet agréable massage sous le regard indifférent des passants.
Ce petit jeu a également l'avantage de fortifier mes sphincters en me permettant de serrer plus fortement la queue de mon ami.

Cela me fait repenser à notre dernière soirée.
A peine arrivé chez moi, il glisse sa main sous ma jupe pour s'assurer que mon bijou anal garde bien l'entrée de ma grotte.
Il exige que je le porte quelques heures avant son passage pour que ma chatte soit déjà ouverte et humide de désir.
M'ayant allongée sur le lit, il utilise l'un de mes nombreux jouets que je laisse traîner sur ma commode pour finir de me dilater la chatte.
On y trouve pèle mêle: vibro, gode, gode ceinture, plug gonflable et vibrant, plug urétral, spéculum, anuros, vacuum, fleshlight, boules anales et quelques accessoires sado maso.


Après lui avoir fait l'amour dans toutes les positions, je m'apprête à m'endormir en conservant ma lingerie coquine pour raviver ses pulsions fétichistes durant la nuit.

Avec rouerie, je lui tourne le dos en plaquant sa queue dans la raie de mes fesses pour lui donner l'envie de me violer pendant mon sommeil.
Quelques heures plus tard, comme prévu, je sens sa main caresser la lisière de mes bas et se glisser entre mes cuisses...
Heureuse de le voir tomber dans mon piège, je reste immobile pour lui faire croire que je suis endormie.
Puis, il allume la lampe de chevet en me retournant sur le ventre.
Me voyant abandonnée et sans défense, il me trousse sans scrupule en jouant avec moi comme avec une poupée.
Il plonge sa tête sous ma nuisette en explorant mon œillet avec sa langue.
Ses attouchements deviennent de plus en plus précis et je me mords les lèvres pour retenir mes gémissements.

Je sens maintenant sa queue coulisser dans le sillon de mes fesses et son gland frapper à l'entrée de ma grotte.
Faisant semblant d'avoir un sommeil agité, je l'aide en écartant les cuisses et en cambrant le dos pour qu'il me pénètre plus facilement.
Il s'enfonce alors en moi de tout son poids en me basculant sur le côté pour pouvoir aller et venir dans mes reins sans fatigue.

 

Le lendemain matin, je sais qu'il m'a violée plusieurs fois dans la nuit car lorsque je me lève d'abondantes coulées de sève s'échappent de ma chatte et ruissellent à l'intérieur de mes cuisses en dessinant des arabesques blanchâtres sur mes bas.

En passant devant la glace, je ne peux m'empêcher de sourire en voyant ma nuisette satinée imprégnée de larges auréoles à l'endroit de mes fesses qui témoignent de ses assauts durant la nuit.

Perdue dans mes sulfureuses pensées, j'arrive enfin chez Mirella.
C'est une cubaine qui habite Paris depuis cinq ans.
Elle m'ouvre la porte habillée d'un superbe déshabillé ivoire qui met sa peau bronzée en valeur.
Ses traits fins et son corps de liane ne laisse planer aucun doute sur sa féminité.
Seule, sa lingerie transparente trahit la présence de sa queue d'ébène.
Elle est massive et épaisse comme je les aime.
- Tu es en retard, me dit-t-elle sur un ton comminatoire.
Je l'embrasse longuement en caressant ses seins splendides pour me faire pardonner.
Elle esquisse un sourire forcé et me fait asseoir dans son divan en m'offrant une tasse de thé.
Au cours de notre conversation, je croise et décroise lentement mes jambes pour lui laisser entrevoir mes jarretelles.
Quelques instants plus tard, je prends sa main en la glissant sous ma jupe pour qu'elle explore ma culotte en satin qui moule ma queue dans ses moindres détails.

Lorsque Mirella écarte la fente de ma lingerie, je serre son bras entre mes cuisses pour stopper sa progression et faire monter son désir.
Excitée par mon attitude, elle me caresse avec sa main restée libre.
Poursuivant son exploration, elle aperçoit le bijou anal qui garde l'entrée de ma grotte.
Ses yeux sont attirés par le saphir en cristal incrusté dans son socle qui brille de tous ses feux.
- Il est splendide, me dit-t-elle admirative.
- Il est aussi très efficace, rajoute-t-elle en passant son doigt sur mon gland humide.
Soudain, son attention est attiré par des tâches blanchâtres qui maculent le haut de mes bas.
- Mais, c'est du sperme, me dit-t-elle d'un air outré.
- Viens que je t'examine, rajoute-t-elle d'une voix autoritaire en m'enlevant mon corsage et ma jupe.
Ses mains s'attardent avec sensualité sur mes seins avant d'explorer l'intérieur de mes cuisses.

Elle contemple un instant mon triangle de vénus, ma chatte et ma queue épilée.
- Tu es craquante ma chérie, me dit-t-elle avec un rire de gorge qui me laisse présager quelques surprises.
Elle m'allonge sur sa table d'examen en bloquant mes pieds dans les étriers.
Puis, se plaçant entre mes jambes, elle joue avec mon rosebud en le tiraillant avec ses dents.
Peu après, elle l'enlève ainsi que mon fémidom.
- Combien de queues as tu prises dans les fesses aujourd'hui? me dit-t-elle en l'agitant d'un air outré devant mes yeux.
- Il contient au moins 10 cl de sperme, rajoute-t-elle scandalisée.
Je souris intérieurement en pensant que certaines fois, je rentre chez moi avec ma protection complètement pleine.
- Puisque tu es si bien disposée, je vais en profiter, me dit-t-elle en me lançant un regard ambigu.
Elle me plonge son spéculum XO dans la chatte en le laissant en place de longues minutes pour m'assouplir l'anus.

Peu après, ayant enfilé des gants en latex, elle glisse ses doigts un à un dans mes fesses.
Elle les fait coulisser lentement dans mon fourreau tout en me masturbant.
Puis, forçant mon passage, elle plonge sa main dans mon ventre en m'arrachant un cri de douleur.
- Te voilà prête pour la suite ma chérie, me dit-t-elle en m'entraînant dans la pièce voisine.

Je découvre alors un étrange objet équipé d'une selle qui me fait penser à un cheval d'arçon.
- Enfourche le, me dit-t-elle avec autorité.
A l'aide de vérins, elle règle minutieusement la hauteur de la selle pour que mes jambes restent bien tendues tout en bloquant mes pieds au sol dans des attaches spéciales.
Puis, elle me bâillonne avec l'un de ses bas en me liant les mains dans le dos.
Je suis totalement en son pouvoir lorsqu'elle actionne sa télécommande en déclenchant l'ouverture d'une trappe sous moi.
- Il y a un cône en métal de trente centimètres pointé sous tes fesses qui va t'empaler dans un instant, me dit-t-elle en écartant la fente de ma culotte pour l'appuyer contre mon œillet.
Lorsqu'elle pianote à nouveau sur son clavier, je sens le pieu s'enfoncer imperceptiblement mais inexorablement dans ma grotte.
Mon œillet se contracte au contact froid de l'inox.
- Détends toi ma chérie, me dit Mirella en me masturbant d'une main experte.
Ses caresses lèvent mes dernières craintes.
Au départ, j'éprouve plutôt des sensations agréables.
Le fait d'être complètement soumise à cette machine sans pouvoir l'arrêter m'excite les sens.
Les pieds cloués au sol, je ne peux échapper à la poussée du pieu qui devient de plus en plus forte.
Un quart d'heure plus tard, je ressens un plaisir mêlé de douleur.
Vient le moment où j'ai vraiment l'impression d'être ouverte en deux.
Puis, j'ai la respiration coupée quand cette énorme masse s'enfonce toujours plus loin en me dilatant implacablement les chairs.
J'éprouve alors des sensations à la limite du supportable.
Voulant abréger cette pénétration devenue éprouvante, je pousse pour m'ouvrir l'anus et m'embrocher plus rapidement.
Malgré mon regard suppliant, Mirella laisse le cylindre poursuivre sa lente progression dans mes entrailles.
Quelques minutes plus tard, je suis empalée jusqu'à la garde en voyant ma queue dressée prête à exploser.
- J'ai orienté le pal pour qu'il stimule ton point G, m'explique-t-elle.
- C'est pour cela que tu bandes si fort, rajoute-t-elle en riant.
- Ton anneau est maintenant bien ouvert, me dit-t-elle d'une voix suave.
Puis, tout en me masturbant, elle fait vibrer le cône en inox dans mes reins.
Je craque lorsqu'elle fait glisser son ongle le long de mon frein.
- Tu jouis du cul, s'exclame-t-elle en voyant quelques gouttes incolores perler à la surface de mon gland.
Elle le prend en bouche pour recueillir ma sève qui sort lentement et en continu de ma verge.
Complètement sonnée par cet orgasme anal, je regarde le mince filet de sève qui coule sans fin de ma queue.
Peu après, elle me détache en me faisant enfiler une ravissante nuisette en satin rouge.
- Va m'attendre dans ma chambre pendant que je me prépare.

Elle me rejoint revêtue d'un corset qui moule ses formes à la perfection.
Sur son ventre est plaqué un énorme gode ceinture creux dans lequel elle a glissé son sexe.
- Comme tu aimes les gros calibres, j'ai mis cette prothèse pénienne pour ne pas te décevoir.
Elle m'embrasse à pleine bouche en pressant ses seins splendides contre moi.
L'instant d'après, elle m'allonge sur le dos en s'agenouillant entre mes jambes.
- Remonte ta nuisette, ma chérie.
Elle contemple un instant ma chatte restée largement ouverte par les pénétrations précédentes.
Puis, elle enfonce d'emblée trois doigts dans ma grotte en les recourbant vers le haut pour stimuler ma glande d'amour.
Poursuivant son fist, Mirella sourit en sentant mes sphincters se contracter sur son poignet.
Contrôlant mal mon émotion, ma queue jaillit d'un coup par la fente de ma culotte ouverte.
- Tu aimes ça, n'est ce pas ma chérie, s'exclame-t-elle en retirant sa main de mon fourreau pour me caresser la verge.
- Je suis impatiente de te baiser, rajoute-t-elle en m'écartant les cuisses et en appuyant son gode contre mon œillet.
Pointant le mandrin à l'entrée de ma grotte, elle l'engage par petites pressions successives.
Sans me quitter du regard, elle s'agrippe à mes hanches pour l'enfoncer jusqu'à la garde.
Puis, elle glisse sur ma queue l'un de ses luxueux bas cervin aux mailles brillantes.
Tout en s'activant dans mes reins, elle me masturbe avec son fabuleux manchon.

Les frottements répétés des mailles satinées sur mon gland me provoquent une forte érection.
- J'aime sentir ta queue se durcir dans ma main quand je te baise, me dit Mirella en souriant.
Je ne suis plus qu'une machine à jouir dont elle use et abuse.
Quelques instants plus tard, je vois ma sève se répandre en coulées blanchâtres sur ma nuisette.
Mirella prolonge mon orgasme en pilonnant mon point G.

Peu après, elle se retire de mes reins en m'interpellant:
- A ton tour de me donner du plaisir!
Décidée à la surprendre, je l'allonge sur le dos en enfilant un mini bas en latex sur mon pied.
Puis, je le plonge dans son œillet brûlant de désir.
Grâce à mes lentes rotations, je le fais rentrer peu à peu jusqu'au talon.
Très excitée, Mirella saisit mon pied entre ses mains en le faisant coulisser en elle.
Lorsque je la vois trembler de désir, je le retire de ses fesses pour m’asseoir à califourchon sur sa queue dressée.
Sa respiration s’accélère quand je m'empale dessus de tout mon poids.
Sans la quitter des yeux, je décuple son plaisir en enfonçant une à une des boules anales dans ses fesses.
Quand elle explose en moi, je tire sur le fil en sortant d'un coup les boules de sa grotte.
Elle pousse alors un grand cri suivi de nombreux spasmes avant de s'immobiliser.
Lorsque je vois sa queue ruisselante de sperme sortir de mes reins, je ne peux m'empêcher d'envier les femmes qui pompent par tous leurs orifices des dizaines de litres de sève à leurs amants durant leurs vies.
Épuisées et comblées nous ne tardons pas à nous endormir dans les bras l'une de l'autre.

Merci de me laisser vos commentaires sur ce récit.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 




Par sandratvtg - Publié dans : Récits transsexuelles - Communauté : Homme aimant se travestir
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Sublime troisiéme sexe

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  • : Sublime 3eme sexe! Je remercie mes 100000 lecteurs qui ont vus plus de 400000 pages de ce blog en 3 ans. Découvrez sur ce blog mes récits érotiques s'inspirant de la réalité et de la fiction. J'aimerais également avoir votre avis sur ces textes. Merci
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