Vendredi 4 août 5 04 /08 /Août 12:32

 

Le pal: Supplice qui commence si bien et finit si mal.

Ce récit est réservé aux amateurs avertis.

Je précise que la technique d'empalement décrite dans ce récit est historique et donc bien réelle dans ses moindres détails.

 

 

L'empalement,

 

Le condamné est amené sur les lieux de son supplice.

A son arrivée, il voit d'innombrables pieux plantés dans le sol sur lesquelles sont empalées de nombreuses victimes dont certaines sont toujours vivantes.

Les pointes sortent par tous les endroits de leurs corps: le dos, la poitrine, l'aisselle, l'épaule, la bouche

Plusieurs soldats vidés de leur sang sont embrochés sur leurs lances de guerre.

Ils ont eu la chance de mourir en quelques heures.

L'un deux, toujours en vie, regarde de ses yeux vitreux la pointe acérée ressortir par sa poitrine.

 

Une peur panique gagne le jeune homme lorsqu'il comprend qu'il va lui aussi mourir par le pal dans d'atroces souffrances.

Ces tortionnaires l'obligent à boire de l'eau pour qu'il survive plus longtemps à son supplice.

 

Pendant ce temps, le chef du groupe va rejoindre une jeune femme encadrée par deux de ses hommes.

Les pieds nus, elle porte la longue robe blanche des condamnés.

Le bourreau a reçu l'ordre de l'exécuter sans la torturer.

Il va accomplir sa besogne en s'inspirant d'une méthode romaine qui devrait plaire à son public.

Il fait un signe à ses assistants qui la tiennent par les bras et qui la mette à genoux face aux spectateurs.

 

Le bourreau lui arrachent sa robe en dénudant ses épaules et ses seins.

Sortant son glaive du fourreau, il vient se placer derrière elle.

Il écarte ses cheveux blond en posant la pointe de sa lame dans le creux de l'épaule qui se situe entre le cou et la clavicule.

Il sait qu'à cet endroit précis, elle rencontrera peu de résistance lorsqu'il la plongera dans son corps.

 

Résignée, la fille regarde la lame d'acier qui va la transpercer de haut en bas.

Pour garder son public en haleine, le bourreau maintient un moment l'arme au dessus d'elle

Soudain, à deux mains et de toutes ses forces, il l'embroche sur son glaive.

Le public pétrifié voit la lame s'enfoncer à mi course dans ses chairs.

Prenant un nouvel élan, l'homme la rentre cette fois ci jusqu'à la garde en lui transperçant le bas ventre.

 

Un cri d'effroi s'échappe de la foule...

La fille se débat faiblement en regardant fixement son bourreau qui lui fouille les entrailles avec son glaive en cherchant à lui trancher l'aorte.

Puis, son corps est pris de convulsions avant de s'immobiliser définitivement.

 

Satisfait, l'exécuteur retire son glaive dans un chuintement sinistre en découvrant une large plaie à la base du cou.

Il se penche sur sa victime allongée face contre terre et glisse sa lame sous sa gorge en lui sectionnant d'un coup la trachée et les carotides.

Un flot de sang jaillit par saccades de ses artères sectionnées.

Puis, il abat de toute ses forces son arme sur sa nuque pour lui briser les cervicales.

Il ne lui reste plus qu'à sectionner quelques tendons pour finir de lui décoller la tête et la présenter à son public horrifié.

 

Un peu plus tard, il désigne à la foule le jeune homme qu'il va mettre à mort.

Ce dernier, choqué par le spectacle regarde ses bourreaux qui s'activent autour de lui dans un ballet bien réglé.

 

C'est un véritable travail d'équipe qui commence car chacun exécute sans geste inutile et avec une synchronisation parfaite la tâche qui lui est assignée.

Le malheureux n'a pas le temps de réagir que déjà deux exécutants lui enlèvent ses vêtements et l'allongent sur le ventre en lui liant les mains dans le dos.

 

A quelques mètres de lui, il regarde le bourreau s'affairer sur une jeune femme agonisante.

Elle est allongée sur le sol avec un long pieu plongé entre ses cuisses.

Une vision d'horreur lui glace le sang lorsqu'il voit son tortionnaire poser son pied sur son ventre pour extirper de son vagin le pal ensanglanté sur lequel elle est embrochée.

Le jeune homme reste tétanisé en entendant les horribles bruits de succions qu'il produit en sortant de son corps.

L'exécuteur le fixe du regard en lui montrant son trophée recouvert de lambeaux de chair et de sang.

Il comprend alors qu'il va l'utiliser pour son supplice.

Pour prolonger son agonie, il a choisi volontairement un pieu de gros diamètre afin qu'il s'enfonce lentement dans ses chairs.

Ayant déjà empalé plusieurs centaines de condamnés, il est au sommet de son art en connaissant toutes les techniques pour faire durer et amplifier les souffrances de ses victimes.

 

Il émousse la pointe avec son couteau pour qu'elle écarte ses chairs sans léser ses organes afin d'éviter une hémorragie fatale.

Puis, il badigeonne d''huile l'extrémité du pal pour qu'il glisse plus facilement dans son anus.

Enfin, il termine ses préparatifs en l'enduisant de piments extrêmement puissants qui vont lui provoquer une douleur insoutenable.

Il se dit que le pauvre bougre n'a pas eu de chance en tombant entre ses mains.

 

Deux bourreaux nouent les chevilles du supplicié avec une corde en la tirant chacun de leur côté pour lui écarter les jambes.

Des larmes coulent sur le visage résigné du jeune homme lorsque le bourreau s'agenouille entre ses cuisses.

Ce dernier se félicite de le voir accepter son destin en pensant qu'il pourra d'autant mieux se consacrer à sa tâche.

 

Comme souvent, il constate que le diamètre du pal est trop gros pour le rentrer dans ses fesses.

Il s'apprête à résoudre ce problème en espérant que sa victime ne perde pas trop de sang car il a parié avec ses assistants qu'il ferait survivre le jeune homme au moins trois jours.

 

Ignorant son regard affolé, il sort son couteau à lame tranchante et courte pour accomplir un geste qu'il maîtrise bien.

D'une main assurée, il pratique une large et profonde incision du périnée pour lui élargir l'anus.

Comme prévu, le sang gicle en abondance en lui éclaboussant les mains.

Les assistants peinent à maîtriser le jeune homme qui se cambre en criant de douleur.

Pendant ce temps, le bourreau plonge le pal bien huilé dans l'ouverture béante de ses entrailles.

 

Il l'enfonce en le tournant doucement pour ne pas lui transpercer l'intestin.

Par l'orientation qu'il lui donne, il détermine l'endroit précis d'où il ressortira de son corps.

 

Une fois qu'il l'a bien engagé, il fait un signe de tête au quatrième bourreau pour que ce dernier l'empale lentement centimètre par centimètre à petits coups de maillet.

Lors de sa progression la pointe émoussée du pal repousse les organes et les viscères en périphérie sans les endommager en faisant gonfler le ventre du malheureux.

 

La victime se tordant de douleur fait parfois dévier le pal de sa trajectoire.

Très expérimenté, l'exécuteur le remet dans l'axe secondé par ses assistants qui tirent davantage sur une jambe ou sur l'autre pour le réaligner sur sa gorge.

 

Pendant ce temps, un cinquième bourreau bloque le cou du supplicié entre les pics de sa fourche pour l'empêcher de bouger.

Cette précaution n'est pas superflue car la victime se débat avec l'énergie du désespoir.

En vain, puisque ses mains sont attachées, sa tête immobilisée et ses jambes solidement maintenues.

Soudain, les cris stridents du condamné redoublent d'intensité en devenant insupportables.

C'est le piment qui produit son effet en lui brûlant les entrailles aussi sûrement qu'un tisonnier sortant du feu.

L'homme à la fourche est obligé de venir le bâillonner.

 

Le pal étant maintenant enfoncé de cinquante centimètres dans son ventre, le bourreau sait par expérience que sa trajectoire ne changera plus.

Il ordonne alors à l'homme au maillet de s'arrêter.

S'il ne craignait pas de perdre son pari en précipitant la mort du jeune homme, il l'aurait laissé l'embrocher d'un bout à l'autre comme il le fait habituellement.

Il sait qu'il est toujours plus spectaculaire d'exposer au public un condamné avec le pal sortant de sa bouche.

 

A l'aide de ses assistants, il arrive sans peine à soulever sa victime à deux mètres du sol en fixant le pilori dans un trou aménagé dans la terre.

 

La vision du pieu plongé entre les cuisses ensanglantées du jeune homme est horrible.

Le malheureux épinglé comme un insecte s'agite en ne faisant que s'empaler davantage.

Le bourreau observe la scène en silence.

 

Ayant son visage à la hauteur de ses cuisses, il voit le pal s'enfoncer d'un coup de plusieurs centimètres dans ses entrailles par le poids de son corps.

Ses fesses l'aspirent littéralement en se refermant dessus dans une étreinte mortelle.

Des lambeaux de chair lacérés par son couteau pendent entre ses cuisses.

L'exécuteur reste attentif car il sait que ses premières heures sont importantes.

Il remarque que sa victime perd peu de sang.

C'est avec surprise cependant qu'il voit un jet d'urine s'écouler de ses fesses.

Il comprend alors que le pal lui a éclaté la vessie.

 

A la nuit tombante et avant de partir, il attache les pieds de sa victime au pilori en la regardant une dernière fois.

Elle est empalée comme un agneau sur l'horrible broche qui remonte maintenant entre ses omoplates en lui paralysant le dos.

Rassuré par le puissant instinct de conservation du jeune homme, le bourreau s'en va en sachant qu'il va gagner son pari.

Il rentre chez lui en traversant cette forêt dantesque de corps suppliciés suspendus dans la pénombre.

 

Au deuxième jour, l'exécuteur constate que le condamné est toujours vivant.

A l'aube du troisième jour, on l'informe que le pal risque de lui percer le cou.

Le moment est crucial car en rencontrant moins de résistance sa progression est plus rapide.

Bien qu'ayant déjà gagné son pari, il décide d'assister sa victime dans ses derniers instants.

 

Arrivé sur les lieux, il se fraye un passage dans la foule venue assister nombreuse au spectacle.

Il monte sur un échafaudage de fortune pour saisir la tête du supplicié entre ses mains.

Ses yeux sont vitreux et son souffle imperceptible.

 

Le pieu a légèrement dévié, mais il parvient à le remettre dans sa trajectoire en quelques manipulations.

Un moment plus tard, il voit le jeune homme s'étouffer lorsque la masse volumineuse du pal pointe au fond de sa gorge.

Le bourreau lui ouvre les mâchoires en inclinant doucement sa tête vers l’arrière pour l'aider à sortir.

Il entend le bruit désagréable que font ses dents en rabotant le pieu en bois qui sort lentement par sa bouche.

Ne pouvant plus supporter son regard éteint qui le fixe, il va rejoindre la foule silencieuse entourant l'agonisant.

Le pal ne rencontrant plus de résistance progresse maintenant a vue d’œil en lui rejetant la nuque en arrière.

 

Lorsque les pieds du condamné sont sur le point de toucher le sol, du sang se met à couler abondamment entre ses cuisses et le bourreau remarque aux imperceptibles soubresauts de son corps qu'il est en train de mourir sous ses yeux.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Par sandratvtg - Publié dans : le supplice du pal - Communauté : melany_travesti_soumise
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