Utilisation de mes jouets intimes

Lundi 4 septembre 1 04 /09 /Sep 12:25

Natacha achève de me travestir en apportant les dernières retouches à mon maquillage.

Elle me contemple un instant dans ma lingerie glamour.

Ayant l'habitude de prendre l'initiative, elle m'entraîne vers son lit en me disant :

- Aujourd’hui, c'est toi qui fait la fille.

- Allonge toi, je vais te faire essayer mon nouveau jouet, rajoute-t-elle en me bandant les yeux pour que je me concentre mieux sur le plaisir qui m'attend.

Puis, elle pose sur mon ventre une masse volumineuse et lourde qui va de la racine de mes cuisses jusqu'aux bonnets 105/D de ma guêpière.

 

- Tu as quelques instants pour découvrir ton nouveau jouet, me dit-t-elle.

Je réalise avec inquiétude que ce gode est hors norme et que je n'ai jamais été prise par un tel calibre.

- Il est monstrueux, lui dis-je d'une voix troublée en l'entourant de mes mains pour estimer sa grosseur.

- C'est vrai ma chérie, ce phallus est doté d'un gland impressionnant et mesure dix centimètres de diamètre à sa base.

- De plus, sa longueur va me permettre de t'empaler jusqu'au nombril...

En le palpant, je remarque avec satisfaction que son gland épais et bien formé va me donner du plaisir.

Je fais glisser mes doigts le long de sa hampe sur laquelle courent de grosses veines saillantes en pensant que ce sexe va me déclencher d'intenses et fortes sensations.

 

J'ai soudain l'envie physique d'être prise par ce sexe qui me fait fantasmer en répondant si bien à mes attentes.

Je tente de me rassurer en me disant que j'utilise depuis de nombreuses années des jouets de gros calibres.

 

Me voyant maintenant plus détendue, Natacha s'empare du gode pour le lubrifier.

Elle m'allonge sur le dos en plaçant un épais coussin sous mes fesses.

Puis, elle écarte la fente de ma culotte ouverte en tapotant doucement le gland contre mon œillet qui frémit de désir.

 

En le sentant frapper à ma porte, j'ai la gorge nouée par l'émotion.

Recherchant son contact, je le presse entre mes cuisses gainées de nylon.

 

Mon souffle devient court et mon cœur s’accélère lorsque ma maîtresse accentue la pression.

Ayant une envie irrésistible d'être prise, je tends mon ventre vers l'avant en poussant pour mieux m'ouvrir à ce pal qui s'apprête à me fouiller les entrailles.

 

Lorsque le gland s'enfonce dans mes reins, j'ai l'impression d'être encore vierge et de subir un véritable viol.

J'écarte en grand les cuisses pour mieux absorber ce pal qui m'embroche.

 

Natacha empoigne ma colonne de chair en la sentant tressauter de désir dans sa main.

Elle me masturbe pour diminuer la souffrance qu'elle m'impose en forçant mon passage.

Avec perversité, elle flatte mon instinct masochiste en associant la douleur au plaisir.

 

Je ressens un net soulagement lorsque le gland finit par rentrer.

Ma domina fait alors une pause pour me laisser souffler.

- Le plus dur est passé, m'assure-t-elle en lubrifiant copieusement les vingt centimètres restant.

Quand elle commence à aller et venir dans mon ventre, j'ai l'impression d'être ouverte en deux.

Je cambre les reins pour faire ressortir ma croupe en roulant des hanches pour qu'elle me pénètre plus à fond.

Je sais qu'elle est parvenue à ses fins lorsque je sens les bourses du gode se plaquer contre mes fesses.

Quel bonheur de me sentir remplie par cette queue massive et dense!

 

Pendant qu'elle me fouille sans trêve les entrailles, je sens une vague de désir m'irradier le ventre.

J'éprouve une forte jouissance en étant prise car l'anus est une zone érogène mieux vascularisée et innervée qu'un vagin.

 

Le fait d'avoir les yeux bandés amplifie mon émoi.

Comme une femme qui caresse son bouton d'amour en serrant ses cuisses pour jouir, je titille mon frein en contractant mes sphincters pour mieux sentir les reliefs du pieu qui m'empale.

 

En me voyant me servir de mon cul comme d'un vagin, Natacha amplifie son action pour me porter le coup de grâce.

Elle stimule d'une main experte mon point G et la racine de mon sexe.

Soudain, une vague déferlante de plaisir m'emporte accompagnée d'une épaisse coulée blanchâtre qui sort lentement de ma verge en inondant ma guêpière.



J'éprouve un sentiment de frustration et de vacuité lorsque Natacha sort son gode de ma rosette en la laissant totalement béante.

J'explore avec volupté les replis de ma chatte enduite de silicone qui reste dans l'attente d'une nouvelle proie à dévorer.

Ma maîtresse me retire mon bandeau et je découvre avec fascination ce gode impressionnant qui m'a donné tant de plaisir.



M'apprêtant à passer la nuit avec Natacha, c'est avec surprise que je la regarde plaquer un gode ceinture contre sa guêpière.

Il est formé d'un gros gode XXL en externe et d'un plus petit en interne.

Après avoir enfoncé ce dernier dans sa chatte, elle attache solidement à sa taille celui qu'elle me destine.

En me fixant de son regard de braise, elle me montre ce sexe épais et long de trente centimètres sous tous les angles.

Il se balance menaçant entre ses cuisses avant de retomber lourdement sur ses genoux.

Elle se couche à mes côtés en me disant :

- Cette nuit, je vais pouvoir réaliser un de mes fantasmes en te violant pendant ton sommeil.

L'idée n'est pas pour me déplaire et je m'allonge sur le côté en lui tournant le dos tout en pressant le gode contre mon œillet.

Quelques heures plus tard, je me réveille en sentant le souffle de Natacha sur ma nuque.

Je suis étendue sur le ventre et plaquée contre le matelas par le poids de son corps.

Je réalise en sentant mon anus largement ouvert qu'elle m'a déjà empalée jusqu'à la garde.

Elle m'écarte les fesses avec ses pouces en espérant s'enfoncer encore plus à fond dans mes reins.

Puis, elle presse son pubis contre ma croupe en décrivant de larges et puissants cercles avec son bassin pour faire vivre en moi cette énorme queue qui me fouille méthodiquement les entrailles.

Excitée par la sensation de dominer son sujet et sentant le gode interne coulisser dans sa chatte et stimuler son clito, Natacha est la première à jouir.

Peu après, bien que ne bandant pas comme c'est souvent le cas dans l'orgasme anal, j'éprouve un plaisir intense et prolongé lorsque ma queue coule longuement et en continu entre mes cuisses.

Sandratvtg



Faites moi part de vos expériences dans l'utilisation de vos jouets intimes.

Par sandratvtg - Publié dans : Utilisation de mes jouets intimes - Communauté : melany_travesti_soumise
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Samedi 2 septembre 6 02 /09 /Sep 17:53

Comme cela doit se faire, je porte toujours mon porte jarretelles par dessus ma culotte fendue.

C'est beaucoup plus seyant et cela met ma lingerie et ma taille en valeur.

La plupart des filles font l'inverse pour pouvoir abaisser plus facilement leur culotte en allant aux toilettes.

Elles perdent ainsi toute l'élégance de leur lingerie.

 

Quant à moi, je prends beaucoup de plaisir à m'asseoir sur la lunette des toilettes comme une fille pour vider ma vessie.

Dans ce cas, je laisse la porte ouverte pour que mon ami puisse m'observer dans ce moment d'intimité féminine.

Perchée sur mes escarpins, je retrousse ma jupe sur ma taille avant de m’asseoir en équilibre instable sur la lunette des WC.

Puis, je fais glisser sensuellement ma culotte sur mes cuisses gainées de nylon dans l'espace laissé libre sous mes jarretelles.

Dans le même temps, l'échancrure de mon corsage s'ouvre en dévoilant mes seins siliconés blottis dans mon soutien gorge.

Une fois soulagée, je me relève en tournant le dos à la porte, les jambes écartées.

Puis, je m'appuie contre le mur, les bras tendus en creusant les reins pour faire ressortir ma croupe et en gardant ma culotte abaissée à mi cuisses.

Pendant ce temps, je sais que le regard de mon ami remonte lentement de mes talons aiguilles vers mes bas à couture avant de se fixer sur mes fesses.

Lorsque je sens ses mains s'accrocher à mes hanches et son gland frapper à ma porte, je m'empale lentement sur sa queue en pressant mes fesses contre son ventre.

Par sandratvtg - Publié dans : Utilisation de mes jouets intimes - Communauté : Homme aimant se travestir
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Samedi 2 septembre 6 02 /09 /Sep 12:59

Comment je prends mon plaisir quand j'ai peu de temps.

 

Je me déshabille dans ma chambre en enfilant avec volupté mes bas à coutures et une nuisette très glamour pour me sentir plus femme.

Le contact des mailles en nylon sur ma queue et mes cuisses m'excite fortement les sens.

 

Puis, je choisis un plug de gros calibre que je lubrifie amplement avant de m'empaler dessus.

Dans un premier temps, son fort diamètre ne lui permet pas de s'enfoncer plus de quelques centimètres dans mes fesses.

 

Devant la glace qui me fait face, je vois ma chatte humide de désir s'ouvrir peu à peu sous la pression du pal qui stimule fortement ma prostate en rendant ma queue de plus en plus dure.

 

Puis, mes chairs s'assouplissent en s'écartant lentement lors de son passage.

Voulant faire durer la séance, je reste immobile en m'empalant uniquement par le poids de mon corps.

Je regarde mon plug s'enfoncer inexorablement en moi en gémissant de plaisir.

Grâce à sa forme ovale et lisse, il me pénètre en douceur.

L'excitation me gagne et je m'active maintenant en poussant pour pouvoir absorber son plus gros diamètre.

D'un coup de rein, je finis de m'empaler en entendant le claquement sec du socle se plaquer d'un coup contre mes fesses.

J'ai alors le sentiment d'être comblée.

Pendant quelques minutes, je reste immobile en savourant intensément cette sensation de me sentir bien prise.

Puis, je me masturbe en utilisant ma nuisette comme un manchon.

Les frottements du nylon sur mon frein me font jouir rapidement.

 

Ma sève jaillit alors en épaisses coulées blanchâtres et transperce ma nuisette en ruisselant entre mes cuisses gainées de nylon.

Le souffle court et le regard trouble, je me vide longuement en sentant mes contractions anales amplifier mon plaisir.

 

Dites moi comment vous vous donnez du plaisir rapidement ?

Par sandratvtg - Publié dans : Utilisation de mes jouets intimes - Communauté : Se travestir
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Vendredi 4 août 5 04 /08 /Août 16:43

 

Un des mes jouets intimes,

 

Après m'être épilée, maquillée et coiffée d'une perruque, j'enfile ma plus belle lingerie pour passer ma journée en fille à la maison.

- Quel bonheur ce temps passé à se faire belle devant ma coiffeuse

- J'aime me voir devant le miroir de ma chambre perchée sur mes talons aiguilles en ayant la taille prise dans ma ravissante guêpière.

- Sentir la tension de mes jarretelles sur mes cuisses et le balancement de mes seins à chacun de mes pas...

 

Assise dans un fauteuil, je croise et décroise mes cuisses afin d'entrevoir sous ma nuisette ma culotte fendue en satin rose.

Après avoir passé un long moment à poser devant la glace, je suis maintenant impatiente de prendre mon plaisir.

Je m'allonge sur mon lit en fléchissant les genoux et en plaçant deux coussins sous mes fesses.

Puis, j'écarte les cuisses en plongeant mon plug gonflable dans ma grotte.

En pressant la poire, je sens mes chairs s'ouvrir lentement sous la pression du ballonnet.

 

Je poursuis mon action jusqu'à ce que la tension devienne difficilement supportable et m'oblige à faire une pause.

Dilatée à l'extrême, je savoure ce moment de plaisir et de douleur mêlés.

Puis, pour fortifier mes sphincters, je les entraîne à résister à ces pressions afin de serrer plus fortement la queue de mon ami.

 

Je me sens vraiment dans la peau d'une fille en ayant le plug enfoncé dans ma chatte.

Comme elle, je contracte mon bas ventre en frottant mes cuisses l'une contre l'autre pour faire monter mon désir.

Ayant déjà pressée une vingtaine de fois la poire de mon jouet, j'ai maintenant la sensation d'être prise par une queue monstrueuse qui grossit sans fin en moi...

Quelques instants plus tard, mes muscles intimes s'étant assouplis, je peux satisfaire mes pulsions sado masochistes en me dilatant cette fois au maximum.

 

J'imagine fort bien les onze centimètres de diamètre que mon plug occupe maintenant dans mon ventre pour l'avoir déjà gonflé à l'air libre.

A bout de résistance, je relâche d'un coup mes sphincters en laissant le ballonnet m'écraser les entrailles.

La sensation est telle que je retiens mon souffle...

Les fortes pressions exercées sur ma prostate font jaillir quelques gouttes de sperme de mon gland.

Totalement comblée, je finis par jouir du cul en voyant une épaisse coulée de sève sortir lentement de ma queue.

 

Reprenant mes esprits, je caresse avec mes doigts ma chatte béante enduite de silicone.

J'aime explorer ses replis soyeux qui sont agréables au toucher.

 

Étant toujours largement ouverte, j'en profite pour m'empaler sur mon B52 qui me demande d'habitude une longue préparation pour l'enfoncer dans mes fesses.

Cette fois-ci, étant bien ouverte, j'arrive à m'empaler plus rapidement sur cet énorme plug qui m'arrache des gémissements de plaisir.

Face à la glace, allongée sur mon lit, les cuisses écartées, je reste un long moment immobile en savourant le plaisir de me sentir dilatée à l'extrême.

Au quotidien, je me sers plutôt de mes plugs de 6 à 7 cm de diamètres car ils me demandent moins de temps pour arriver à mes fins.

Parfois ma maîtresse majore mon plaisir en m'enfonçant en plus un plug urétral dans la verge pour exercer une stimulation à la fois anale et vésicale sur ma prostate.

Il ne lui faut pas longtemps pour me vider les bourses jusqu'à la dernière goutte de sève.

En retirant le plug de mes reins, son regard se pose sur ma chatte béante de désir qui semble attendre une nouvelle proie à dévorer.

Voulant remédier à cette frustration, elle me fiste à deux mains sans me quitter des yeux.

 

 

Donnez moi votre expérience concernant le plug anal gonflable.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par sandratvtg - Publié dans : Utilisation de mes jouets intimes - Communauté : Ceux qui aiment la sodomie
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Vendredi 4 août 5 04 /08 /Août 16:13

 

 

 

 

 

       Pourquoi préférer un plug anal plutôt qu'un gode ?

 

- Pour ma part, je me sens mieux prise et remplie par des plugs.

- Ses formes et ses diamètres multiples m'apportent davantage de sensations en me dilatant progressivement les chairs.

- L'anus a l'avantage d'être fortement vascularisé mais ce n'est pas le cas de l'intestin qui est peu innervé.

- C'est pourquoi la longueur d'un gode n'a pas d'intérêt.

- L'anus étant plus sensible qu'un vagin, je sens le sperme jaillir en moi alors que de nombreuses femmes ignorent souvent quand leurs amants jouissent en elles.

 

- L'autre intérêt d'un plug massif et court c'est qu'il me permet de faire l'amour dans toutes les positions sans être gênée.

- J'utilise plus souvent un gros calibre qui me provoque une forte érection en me donnant davantage de plaisir.

- Son volume me fait ressentir une exquise pesanteur dans le bas ventre et sa base épaisse me laisse l’œillet dilaté en permanence.

 

- Une fois la tête passée, cette masse douce et ferme se propulse d'un coup dans mes reins.

- J'entends alors le claquement sec du socle buter contre mes fesses qui me confirme que je suis bien prise.

- Ma jouissance est telle que je dois résister à l'envie d'utiliser des calibres toujours plus gros.

- Je ne peux plus me passer de ces dilatations qui m'ont rendue dépendante de l'orgasme anal.

 

 

Aujourd'hui, j'ai décidé de passer la journée en fille pour essayer mon nouveau jouet car j'aime sentir le contact de ma voluptueuse lingerie sur ma peau dans ces moments de plaisirs.

- Épilée et coiffée d'une perruque blonde coupée au carré, j'apporte les dernières touches à mon maquillage.

Je poursuis ma métamorphose en me glissant dans une guêpière ornée de dentelles tout en plaçant mes seins en silicone dans mes bonnets 105/D.

J'enfile ensuite une ravissante culotte ouverte en accrochant mes jarretelles à mes bas.

Cette lingerie en satin et les frottements de mes bas nylon sur mes cuisses m'excitent fortement les sens.

Perchée sur mes escarpins, j'adore prendre des poses suggestives devant la glace en sentant le désir monter dans le creux de mes reins.

 

- Puis, je m'allonge sur mon lit en sortant du tiroir le mythique plug B51.

Je presse voluptueusement cette masse arrondie entre mes cuisses en pensant au plaisir qui m'attend.

En le lubrifiant, je suis toujours impressionnée par ce gros calibre qui me fait craindre de ne pas arriver à mes fins.

 

J'ai soudain l'idée d'utiliser mon banc de fitness pour me faciliter la tâche.

M'asseyant dessus à califourchon, j'écarte la fente de ma culotte en posant mon jouet contre mon anneau.

Penchée en avant et en appui sur mes bras, j'ai les jambes fléchies.

Dans cette position confortable, je peux m'empaler longuement sans fatigue.

Je m'embroche peu à peu par d'imperceptibles bascules du bassin en amortissant le poids de mon corps avec mes cuisses.

 

Quel plaisir de sentir mon œillet se dilater sous l'implacable pression du pal.

Je pousse pour m'ouvrir l'anus et le faire rentrer en moi.

Le plus gros étant passé, sa base plus étroite est littéralement aspiré par mes sphincters qui le propulsent dans mon ventre.

Une fois bien encastré dans mes fesses, je reste un moment immobile en savourant cette excitante sensation de me sentir bien remplie.

Mon jouet me dilate maintenant à l'extrême en pressant ma prostate et la racine de mon sexe.

Cela me provoque une spectaculaire érection qui fait perler quelques gouttes de sève à la surface de mon gland.

 

Un peu plus tard, mes sphincters s'étant assouplis, je peux en alternance facilement expulser ce pal et m'embrocher à nouveau dessus.

Puis, j'initie d'amples mouvements circulaires du bassin pour majorer mes sensations.

Comme une femme qui caresse son clito et contracte son vagin pour jouir, je titille mon frein en serrant mes sphincters sur ce plug qui m'empale pour mieux le sentir vivre en moi.

Avant que la vague déferlante ne m'emporte, je m'allonge sur mon banc et j'écarte les cuisses pour me voir jouir devant la glace.

Lorsque ma queue jaillit de ma culotte fendue, mon attention est attirée par l'énorme socle du plug qui tressaute sous l'effet de mes contractions anales.

Je retarde le plus possible mon orgasme jusqu'à ce que ma source de vie se répande lentement en une coulée blanchâtre sur ma guêpière et mes cuisses gainées de nylon.

 

Je savoure pleinement ce moment en constatant une fois de plus que l'orgasme anal est beaucoup plus intense et prolongée qu'un orgasme pénien.

 

Dites moi comment vous utilisez vos jouets.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par sandratvtg - Publié dans : Utilisation de mes jouets intimes - Communauté : Homme aimant se travestir
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Vendredi 4 août 5 04 /08 /Août 16:12

 

 

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      Le plug Prowler est bien connu des amateurs.

En le lubrifiant, je suis toujours impressionnée par ses 7 cm de diamètre qui est la taille idéale pour me préparer au fist...

Allongée sur mon lit, je serre voluptueusement cette masse douce et ferme entre mes cuisses gainées de nylon en pensant au plaisir qui m'attend.

 

Avec fébrilité, j'écarte les dentelles de ma culotte fendue en pressant cette masse oblong contre mon œillet.

Puis, je pousse pour m'ouvrir l'anus en m'aidant du poids de mon corps pour m'empaler plus facilement.

 

Par petites pressions circulaires, je l'enfonce lentement jusqu'à son plus gros diamètre en ayant l'impression d'être ouverte en deux.

Lorsque mes sphincters aspirent d'un coup sa tête en forme d'ogive, un sentiment de plénitude m'envahit lorsque je me sens bien prise et remplie.

Sa base de 5 cm maintient mon œillet dilaté en permanence en me procurant un plaisir extrême.

Les fortes pressions qu'il exerce sur ma prostate et la racine de mon sexe ne tardent pas à imprégner ma culotte satinée d'auréoles blanchâtres.

 

Lorsque je le fais aller et venir en moi, je ressens une exquise pesanteur dans mon bas ventre.

Puis, je contracte mes sphincters sur cette masse ovale douce et ferme en sentant le plaisir monter dans mes reins.

 

Quelques instants plus tard, je retire mon jouet en gardant mes jambes fléchies et les cuisses bien ouvertes devant la glace pour contempler mon œillet béant de désir.

Je comprends maintenant pourquoi mon amie utilise toujours ce gros calibre avant de me fister.

A l'aide de mes doigts, j'explore longuement ma chatte douce et soyeuse recouverte de silicone.

Puis, je cambre les reins pour m'embrocher avec volupté sur mon plug.

 

Grâce à mes puissantes bascules du bassin d'avant en arrière, mes fesses s'ouvrent comme un fruit mur et je ne tarde pas à entendre le claquement sec du socle qui s'encastre dans mes fesses.

 

Je m'empale sans relâche en regardant mon œillet aspirer maintenant facilement cette énorme masse.

Les frottements répétés de ma culotte en satin sur mon gland ne tardent pas à me faire atteindre le point de non retour.

Ma sève se met à couler lentement en inondant ma guêpière car l'orgasme anal me provoque toujours d'abondantes et longues éjaculations.

Cela est du au fait que l'anus est mieux innervé qu'un vagin et que la stimulation de la prostate donne un plaisir plus intense et prolongé.

 

J'ai déjà essayé une bonne dizaine de plugs mais c'est le premier dont je ne peux plus me passer.

Je me sers moins de mes autres gros calibres car après quelques jours d'abstinence, il me faut toujours une longue préparation pour m'ouvrir aux diamètres de 8 à 10 cm.

 

 

Faites moi part de vos expériences.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par sandratvtg - Publié dans : Utilisation de mes jouets intimes - Communauté : travesti salope
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Vendredi 4 août 5 04 /08 /Août 12:26

Ma troublante expérience de l'élastrator,

 

Beaucoup d'hommes se font castrer clandestinement en France chaque année.

Ce sont généralement ceux qui ne veulent plus être esclave de leurs hormones ou des transsexuelles qui souhaitent devenir femmes.

Pour cette raison, ils recourent souvent à l'élastrator.

Cet instrument s'utilise normalement pour stériliser les animaux.

C'est une pince très efficace qui permet de placer un puissant anneau élastique à la base du testicule pour le comprimer fortement.

Ce dernier, privé de sang meurt en 6 à 7 heures en étant éliminé par l'organisme dans les deux mois.

C'est habituellement indolore mais il arrive parfois que certains doivent prendre des antalgiques.

 

La deuxième méthode consiste à inciser avec un scalpel la peau du scrotum sur cinq centimètres en pressant les bourses avec les doigts pour les faire sortir de leur logement.

Ensuite, on noue les vaisseaux qui les irriguent avec du fil chirurgical pour éviter que le sang coule.

Enfin, on tranche les testicules et on recoud la plaie une fois la castration terminée.

 

J'attends mon ami qui a acheté cette pince sur internet pour s'en servir sur moi.

Il m'a assuré que je ne souffrirai pas.

Depuis quelques mois, je me suis peu à peu faite à l'idée d'aller plus loin dans ma féminisation en souhaitant vivre cette épreuve.

 

La jouissance anale étant devenue pour moi plus forte et intense que l'orgasme pénien, je peux désormais me passer de mon sexe.

Je sais qu'en étant prise par mon ami je ne banderai plus.

Ma queue restera flasque en perdant encore un peu de liquide séminal mais plus de sperme.

J'espère cependant qu'en restant ma seule source de plaisir mon orgasme anal sera amplifié.

La nécessité de devoir utiliser un gode ceinture pour pénétrer mon ami n'est pas pour me déplaire.

 

Je me prépare pour ce grand jour en mettant ma plus belle lingerie afin d'être la plus féminine possible.

Je poursuis par une séance de maquillage et je termine en me coiffant d'une perruque blonde coupée au carré qui s'harmonise parfaitement avec la forme de mon visage.

 

Quand, je lui ouvre la porte perchée sur mes escarpins, je porte une guêpière dont les bonnets 105/D menacent de craquer sous la pression de mes lourdes prothèses en silicone.

 

Son regard s'attarde sur mon adorable culotte ouverte ornée de dentelle qui laisse entrevoir mon sexe épilé.

Mes cuisses sont gainées de nylon et un long déshabillé transparent recouvre ma voluptueuse lingerie.

 

Je porte également mon rosebud car il aime que mon œillet soit déjà ouvert et humide de désir lorsqu'il arrive.

Il m'embrasse en me malaxant longuement les seins.

Puis, il m'explique avec une pointe d'excitation dans la voix le fonctionnement de l'élastrator.

 

Peu après, Steve m'enlève mon déshabillé et m'entraîne vers le lit en m'allongeant sur le dos.

Il m'attache les poignets et les chevilles avec des cordes en nylon qu'il relie aux quatre pieds du lit.

Dans le miroir qui me fait face, je me vois totalement offerte à sa perversité.

Steve se glisse entre mes jambes et plonge sa main dans la fente de ma culotte pour en sortir mon sexe qu'il masturbe d'une main experte.

Son regard s'attarde sur ma queue en érection qui jaillit de l'écrin en satin de ma culotte fendue.

Une lueur d'excitation passe dans ses yeux lorsqu'il empoigne sa pince castratrice.

Il saisit l'une de mes bourses entre ses doigts en la poussant dans l'ouverture de l'appareil qui maintient la puissante élastique écartée.

J'entends le déclic de l'élastrator qui la libère en comprimant fortement ma glande.

Sans attendre, Steve fait subir le même sort à sa sœur jumelle.

 

Cela me fait un drôle d'effet de ressentir la pression implacable des anneaux qui détruisent lentement mais inexorablement ma virilité.

Je ne me suis jamais sentie autant femme qu'à cet instant.

 

Mes bourses congestionnées me semblent beaucoup plus grosses qu'à l'ordinaire.

Cela fait grimper la libido de Steve qui les palpe pour la dernière fois.

Il me reste quelques heures pour te faire jouir avant que ta source de vie ne se tarisse à jamais, me dit-t-il

 

Il me fait éjaculer une première fois en pilonnant mes reins avec mon gode préféré.

Une seconde fois en enfonçant ma queue jusqu'au fond de sa gorge tout en me fistant jusqu'au coude.

J'aime quand il pompe mon clito en se servant de mon cul comme d'un vagin.

Puis, ses mains explorent avec sensualité ma lingerie.

Elles s'attardent sur mes jarretelles tendues sur mes cuisses gainées de nylon.

Mon cœur bat la chamade lorsque ses doigts s'enfoncent dans ma grotte humide de désir.

Cette fois, Steve m'écarte les cuisses en s'enfonçant en moi jusqu'à la racine de son sexe.

Quelques instants plus tard, j'ai envie de l'achever pour qu'il jouisse en moi.

Désirant lui porter le coup de grâce, je me colle contre lui en caressant ses bourses tout en initiant d'amples bascules du bassin qui accompagnent ses va et vient.

Je ne peux retenir mes gémissements lorsque je sens sa sève fuser en jets puissants dans ma chatte.

Malgré ma castration en cours, je savoure mon bonheur d'être prise en me concentrant sur mon orgasme anal.

 

La pression lancinante des anneaux qui irradient mon ventre me rappelle qu'à chaque minute qui passe, je deviens un peu plus femme.

 

Un moment plus tard, en voyant mes bourses virer au bleu, je suis prise de panique.

Je sais que leur compression ne doit pas durer plus d'une heure car ma castration risque d'être définitive.

 

Je m'affole en m'apercevant que ce temps est largement dépassé.

Je demande à Steve de retirer rapidement les élastiques pour éviter la nécrose.

La panique s'empare de moi quand je vois qu'il essaye sans succès de passer la pointe d'un ciseau entre la peau de mes bourses et les anneaux.

Fort heureusement un internaute m'avait conseillé de les nouer avec un fil en nylon pour pouvoir les retirer plus facilement si je changeais d'avis.

Sans cela , c'était vraiment mission impossible et je mets en garde ceux qui ne prendraient pas cette précaution.

J'ai également des frissons en pensant que j'aurai pu m'endormir après avoir fait l'amour et me réveiller quelques heures plus tard castrée pour toujours.

sandratvtg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par sandratvtg - Publié dans : Utilisation de mes jouets intimes - Communauté : Se travestir
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Vendredi 4 août 5 04 /08 /Août 11:58

Les avantages du Fémidom en portant une culotte ouverte,

 

Je m'allonge sur mon lit pour mettre en place mon Fémidom.

Avant de le glisser dans ma grotte, j'enlève le petit anneau du fond pour l'utiliser en anal.

Puis, je plaque l'anneau le plus large contre mon pubis.

J'utilise souvent cette protection car elle présente de nombreux avantages :

- Je me sens vraiment femme après avoir enfoncé dans ma chatte ce préservatif féminin.

- Je le garde toute la journée en étant prête à faire l'amour avec mon ami dans les lieux publics

- En portant une culotte fendue, je n'ai qu'à soulever ma robe pour être prise sans attirer l'attention des passants.

- L'autre avantage c'est que mon ami ne risque plus de débander comme cela arrivait parfois quand je perdais du temps à retirer ma culotte et à lui mettre son préservatif.

 

Lorsque nous nous promenons en ville, il peut me pénétrer rapidement: dans un jardin public, un escalier d'immeuble, une cabine d'essayages...

Je n'ai qu'à écarter les jambes en me penchant légèrement pour être prise au plus fort de sa pulsion sexuelle.

J'adore quand il me prend debout à la hussarde en s'activant avec fougue dans mes reins.

J'accompagne ses va et vient en agrippant mes mains à ses cuisses.

 

Après s'être vidé en moi, il replace mon rosebud dans mes fesses pour que je conserve en moi sa sève encore chaude afin d'éviter qu'elle ne coule sur mes bas.

A la fin de la journée, je peux lui montrer la quantité de sperme que j'ai recueilli dans mon fémidom.

 

Je le porte également lors de mes sorties dans les clubs libertins.

Je choisis les endroits fréquentés par des cougars qui drainent dans leur sillage de jeunes éphèbes attirés par leur sexualité débridée et sans tabou.

Comme elles, je porte une tenue provocante pour leur ressembler.

 

Bien souvent, un seul échange de regards suffit à établir le contact.

Dans ces endroits peu éclairés rien ne me distingue de ces femmes matures lorsque j'entraîne mon soupirant par la main dans un endroit tranquille.

Ayant repéré une banquette, je m'allonge sur le ventre pour qu'il ne voit pas mon sexe enfoui dans ma lingerie car j'aime qu'il pense qu'il va baiser une fille.

Je retrousse ma jupe pour fixer son attention sur mes cuisses gainées de nylon en exhibant ma culotte fendue en satin rouge qui dévoile mon œillet frémissant de désir.

Il hésite un instant en voyant mon fémidom et mon rosebud enfoncés dans ma grotte.

- Viens, j'ai envie de toi, lui dis-je en retirant mon bijou anal et en écartant mes fesses à deux mains.

 

Dans la pénombre des lieux, il ne se pose guère la question de savoir si je suis une cougar ou un travesti.

Très excité de pouvoir me sodomiser, il ne pense plus qu'à s'enfoncer dans mes reins.

Fou de désir, il me pénètre jusqu'à la racine de son sexe.

 

J'ai alors le plaisir d'être prise en me sentant vraiment femme.

 

Donnez moi votre avis sur ce récit.

Par sandratvtg - Publié dans : Utilisation de mes jouets intimes - Communauté : melany_travesti_soumise
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Vendredi 4 août 5 04 /08 /Août 11:58

 

 

Les nombreux avantages du Rosebud.

 

- Mon julian snelling Niki XL est un magnifique bijou anal dont je ne me lasse pas

- Après l'avoir lubrifié avec un gel en silicone, je peux le garder sans problème toute la journée ou toute la nuit.

- Quand je me promène dans la rue, je porte toujours une jupe et une culotte ouverte pour le laisser bouger librement dans ma chatte afin qu'il me donne du plaisir en permanence.

- Parfois, je m'arrête devant une vitrine et j'écarte les jambes pour me donner des sensations fortes.

- Bien lubrifié et entraîné par son poids de 600gr, je le laisse sortir peu à peu de mes fesses.

- La crainte de le voir tomber sur le trottoir m'excite au plus au point.

- Sous le regard indifférent des passants, j'attends le tout dernier moment pour contracter mes muscles intimes et le faire remonter dans mon fourreau anal.

- Son poids et son diamètre de 5 cm me donnent d'agréables sensations lorsqu'il vient se plaquer contre ma prostate.

Aussi, je recommence plusieurs fois ce scénario en sentant le désir monter dans mes reins.

 

Il présente de nombreux avantages :

- Lorsque je suis assise, sa tige en laiton épouse parfaitement la raie de mes fesses sans me causer la moindre gêne.

 

- En me tortillant sur ma chaise, j'éprouve d'agréables tiraillements dans le bas ventre qui me font mouiller ma culotte.

 

- Je peux le garder en moi toute la nuit sans craindre qu'il se perde dans ma chatte.

 

- A l'inverse des plugs qui ont une base plus large, il a l'avantage de ne pas me laisser l'anus ouvert en permanence ce qui me permet de le conserver en moi sans avoir l'envie fréquente d'aller aux toilettes.

- Ma femme a pris l'habitude de l'utiliser pour m'assouplir l’œillet avant de me fister.

 

- Avant que je lui fasse l'amour, elle l'enfonce dans mes fesses car elle sait que je bande davantage et que ma verge est plus dure.

 

- Il m'arrive aussi de l'enfoncer dans l'anus de ma femme pour que son vagin devienne plus étroit et me serre davantage la queue.

 

- C'est également pour moi un excellent entraînement qui tonifie mes muscles intimes en me permettant de serrer plus fortement la queue de mon ami.

 

- Après qu'il ait jouit et avant de m'endormir, j'enfonce mon bijou anal dans mes fesses pour conserver sa sève encore chaude.

 

- Souvent au cours de la nuit, à nouveau taraudé par le désir, il l'enlève pour pouvoir me reprendre.

 

- Faisant semblant d'avoir un sommeil agité, je l'aide en pressant sa queue dans le sillon de mes fesses et en cambrant les reins pour qu'il m'empale à nouveau.

 

- Puis, je me laisse bercée par ses va et vient en retenant mes gémissements de plaisir jusqu'à ce que je sente sa sève fuser en moi.

 

- En sortant de mes fesses, il replace mon rosebud dans ma grotte pour que je ne tâche pas ma nuisette et les draps.

 

- Cette fois, je m'endors réellement en sachant qu'il ne résistera pas à l'envie de me violer à nouveau au cours de la nuit.

 

- Le matin en retirant mon rosebud, je lui montre les épaisses coulées de sperme qui s'échappent de mon œillet en dessinant d'étranges arabesques blanchâtres sur mes bas.

- Tu as du me baiser de nombreuses fois pendant mon sommeil, lui dis-je en souriant.

 

Dites moi si vous utilisez un rosebud.

Par sandratvtg - Publié dans : Utilisation de mes jouets intimes - Communauté : Se travestir
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Vendredi 4 août 5 04 /08 /Août 11:34

 

 

 

Mon désir de vivre en femme,

 

 

 

Natacha, grande et élancée se tient devant moi.

Ses cheveux noués en queue de cheval affine son visage en soulignant son profil de Dominatrice.

Elle porte une ravissante nuisette et une guêpière met en valeur ses seins magnifiques.

Elle est perchée sur ses cuissardes d'où jaillissent ses cuisses fuselées gaînées de nylon.

Mon regard est attiré par l'impressionnant gode ceinture qu'elle a fixé sur ses hanches et qui retombe lourdement sur ses genoux.

Il est tellement ajusté que la lanière centrale disparaît totalement dans sa chatte.

Sans perdre de temps, Natacha me maquille et me coiffe d'une perruque bouclée blonde avant de m'aider à enfiler une guêpière, un string transparent et des bas cervin.

Elle achève ma transformation en glissant mes pieds dans des escarpins.

 

Quelques heures plus tard, après m'avoir fait jouir lors de nombreux jeux de rôles, elle me laisse récupérer avant de m'installer dans son fauteuil gynécologique.

Elle retire mon string et place mes pieds dans les étriers en m'écartant les jambes.

Puis, ses yeux de braise fixés sur moi, elle fait glisser lentement une de ses nuisettes entre mes cuisses pour me déclencher une nouvelle érection.

Elle effleure ainsi longuement avec sa lingerie mon anus frémissant de désir, mon périnée, mes bourses et mon gland.

Le contact de ces mailles satinées ne tardent pas à produire leur effet.

 

 

Satisfaite du résultat, elle presse alors son gode ceinture contre ma rosette.

Allongée sur le dos, je l'aide de mon mieux en cambrant les reins.

Face au miroir, je regarde fascinée ma chatte engloutir l'énorme pal.

Lorsque le bassin de Natacha vient se souder au mien, je réalise avec stupéfaction qu'elle m'a déjà embrochée jusqu'à la garde.

 

Après m'avoir prise sous tous les angles, ma maîtresse se met sur le dos en m'ordonnant :

-Viens t'empaler sur ma queue face à moi car je veux voir ton visage quand tu jouis.

A califourchon sur elle, je m'embroche lentement sur son gode.

Ses yeux rivés aux miens, elle ondule des hanches de gauche à droite pour m'écarter la chatte et s'enfoncer plus à fond dans mes fesses.

Tout en me masturbant, elle me pilonne la prostate par de vigoureux coups de reins jusqu'à ce que d'épaisses coulées de sève inondent ma guêpière.

L'orgasme qui m'emporte me fait prendre conscience que je ne peux plus me passer du plaisir anal.

Cela tient au fait que l'anus est mieux innervé qu'un vagin et que la stimulation de la prostate donne une jouissance plus intense et prolongée qu'un orgasme pénien.

 

Natacha interrompt le fil de mes pensées :

- Comme tu le souhaites, je vais maintenant te castrer en te laissant un mois de réflexion avant de couper ta queue à sa racine pour que tu te sentes vraiment femme.

 

- J'ai acquis une grande expérience dans ce domaine en réalisant une trentaine d'interventions par an.

- Aux USA, c'est devenu un véritable phénomène de société car certains hommes jeunes ne veulent plus être esclaves de leur sexe. - D'autres comme toi souhaitent vivre pleinement leur féminité.

- Nombreux également sont ceux qui à la quarantaine préfèrent l'orgasme anal et sont prêts à en payer le prix.

- En les émasculant, leur anus devient leur seule source de plaisir et ils jouissent davantage lorsqu'on les sodomise.

 

Sans plus attendre, Natacha s'assoit sur mon ventre en me tournant le dos.

Je suis totalement immobilisée par son poids lorsqu'elle empoigne ma verge et mes bourses d'une main en brandissant dans l'autre un couteau à lame acérée et courte qu'elle appuie fortement sur la veine bleue courant sur ma hampe.

Puis, elle tire mon sexe vers le haut pour pouvoir le couper bien à sa racine.

C'est avec terreur que je sens le contact froid de l'acier glisser sur ma chair.

Au bout de quelques secondes, je finis par comprendre que Natacha me bluffe en utilisant le dos de sa lame de couteau.

- La prochaine fois sera la bonne, me dit-t-elle dans un rire de gorge qui témoigne de sa forte excitation.

- N'ayant plus rien entre les cuisses, tu pourras porter une lingerie transparente pour faire admirer ton triangle de vénus qui deviendra le symbole de ta féminité.

- Maintenant, je vais comme promis t'enlever ta source de vie pour que tu puisses mieux te concentrer sur ton plaisir anal.

- Ton anus devenant plus sensible qu'un vagin, tu sentiras le sperme fuser dans ta grotte alors que la plupart des femmes ignorent souvent quand leurs amants jouissent en elles.

 

- Avant de commencer, je vais te faire une anesthésie locale de xylocaïne, rajoute-t-elle d'une voix douce en se plaçant entre mes cuisses une seringue à la main.

- Tu peux me faire confiance car j'ai déjà castré de nombreux mâles avant toi.

Avec douceur, Natacha multiplie les points d'injections pour que le produit diffuse plus rapidement.

L'aiguille est si fine que je la sens à peine s'enfoncer dans mes chairs.

En attendant que le produit fasse effet, elle ne résiste pas à l'envie de me masturber une dernière fois en caressant la peau satinée et douce de mes bourses totalement épilées.

Lorsqu'elle voit ma queue se dresser devant ses yeux, elle me dit d'une voix chargée d'émotion :

- Je suis troublée en pensant que je suis celle qui te fait bander pour la dernière fois.

Un instant plus tard, une peur panique s'empare de moi quand elle saisit son scalpel.

Elle me fixe intensément du regard en m'avouant:

- J'éprouve maintenant une forte excitation à l'idée de te castrer.

D'une main sure, elle incise mon scrotum sur cinq centimètres en pressant doucement mes testicules avec ses pouces pour les faire sortir.

Très concentrée sur sa tâche, elle tire sur les cordons auxquels ils sont rattachés en les laissant pendre entre mes cuisses.

Elle poursuit en me disant:

- Tu sais que c'est irréversible et que tu ne pourras plus bander ?

Me voyant acquiescer du regard, elle tranche d'une main assurée mes valseuses.

- Bienvenue dans ta nouvelle vie de femme, s'exclame-t-elle en me montrant la coupelle dans laquelle elle les a déposés.

- J'en ferai des brochettes pour mon repas ce soir, rajoute-t-elle en souriant tout en me recousant avec du fil et une aiguille.

- Reviens me voir la semaine prochaine pour que l'on vive notre première séance de gouinage entre filles.

 

 

Donnez moi vos idées pour écrire mes prochains récits.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par sandratvtg - Publié dans : Utilisation de mes jouets intimes - Communauté : Se travestir
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Vendredi 4 août 5 04 /08 /Août 11:32

Avant de commencer la séance, j'aime me mettre dans la peau d'une fille.

Pour cela, je me suis épilée, maquillée et coiffée d'une perruque blonde coupée au carré.

Je porte une ravissante guêpière dont les bonnets 105/D menacent d'exploser sous le poids de mes lourdes prothèses en silicone.

Sous leurs pressions, je sens mes bretelles de soutien gorge s'incruster dans mes épaules

Une culotte ouverte, des jarretières, des bas à coutures et des talons aiguilles complètent ma tenue glamour.

J'adore me voir dans ma superbe lingerie en prenant des poses suggestives devant la glace.

Pour paraître plus femme, j'ai caché ma queue entre mes cuisses en la fixant avec des bandes adhésives.

Puis, je frotte sensuellement mes cuisses gainées de nylon l'une contre l'autre pour entendre l'excitant crissement de mes bas.

Peu après, je libère ma queue en m'allongeant sur mon lit dans ma position favorite.

Pour cela, je glisse un coussin sous mes fesses pour avoir une pénétration plus profonde tout en fléchissant les genoux et en écartant les cuisses.

C'est devant la glace dans cette position offerte et féminine que je lubrifie ma chatte totalement épilée.

J'aime sentir sous mes doigts ses replis doux et satinés par le silicone.



Tout en me caressant sensuellement les seins, je songe au scénario que je vais improviser pour me déclencher un orgasme anal.

 

Puis, j'ouvre le colis envoyé par mon ami en me doutant un peu de son contenu.

Je sors de son emballage un gode massif et lourd qui a tout d'un vrai pénis.

Un petit mot est joint à mon attention : 

« Pour combler tes envies pendant mon absence »

Il m'a généreusement servie car il est impressionnant...

En le regardant sous tous les angles, je me dis qu'il ne va jamais passer car il est vraiment très, très gros.

Il a cependant un gland épais et un frein merveilleusement dessinés comme je les aime.

Sa hampe va en s'élargissant jusqu'à ses bourses énormes qui remplissent mes paumes de mains.

Je ne peux m'empêcher de fantasmer sur ce gode monstrueux en effleurant avec mes doigts ses grosses veines saillantes qui me donneront sans nul doute des sensations fortes.

J'en ai maintenant tellement envie dans ma tête que je me sens prête à le recevoir physiquement.



C'est avec fébrilité que je le pose sur mon ventre en étant

fascinée par cette queue lourde et massive qui va de mon pubis à mes seins.

Mon cœur bat la chamade quand j'écarte la fente de ma culotte en le posant contre mon œillet.

A l'excitation mentale de me voir en fille devant mon miroir s'ajoute maintenant le plaisir physique de la dilatation quand en exerçant une pression forte et continue je le fais rentrer en moi.

Ma rosette s'ouvre lentement sous la poussée implacable de mon gode généreusement lubrifié.

J'ai la sensation d'être ouverte en deux lorsqu'il me pénètre en m'écartant les chairs.

Une fois le gland rentré, je m'arrête un instant pour souffler.

Quel bonheur de se sentir bien prise!

Je stimule avec précision mon point G tout en pressant la racine de mon sexe pour bander davantage.

Lors des va et vient de ce monstrueux phallus, je serre les cuisses en contractant mes muscles intimes pour mieux le sentir en moi.

Mon anus étant mieux innervé qu'un vagin, je ressens maintenant le plaisir intense d'être dilatée.

 

Par de puissantes bascules du bassin d'avant en arrière, je m'embroche jusqu'à la garde en voyant le gode disparaître dans ma culotte fendue.

Lorsque son socle vient se plaquer contre mes fesses, je reste un instant immobile pour savourer ce moment de me sentir « bien remplie. »

Puis, je bloque la ventouse de mon jouet sur mon matelas.

Quand il sort de mes reins, j'utilise le poids de mon corps en écartant les cuisses tout en poussant pour m'empaler à nouveau dessus.

Assise sur mon lit, je creuse les reins en tournant lentement ma croupe sur ce pieu qui me sert de pivot pour mieux sentir les veines qui courent sur sa hampe me limer la chatte.

Les fortes pressions exercées sur ma prostate font s'échapper quelques gouttes de sève de ma queue.

Les frottements de mon gland décalotté sur ma culotte satinée amplifient mon émoi.

Je ne tarde pas à voir des auréoles blanchâtres imprégner ma lingerie.

Quand je sors le gode de mes fesses, je vois dans le miroir ma rosette s'étirer lentement sur sa hampe comme si elle voulait le retenir avant de s'enrouler à nouveau dessus lorsque je m'empale dans des gémissements de plaisir.

Le désir monte crescendo dans mes reins et je sens maintenant le pal tressauter dans ma main sous l'effet de mes contractions anales.



Sachant que je ne pourrai plus tenir très longtemps, je pose mon vibro sur mon frein qui a la sensibilité d'un clitoris tout en massant mon périnée.

Comme une femme qui se masturbe en caressant son bouton d'amour et en contractant son vagin et ses cuisses pour jouir, je titille mon frein en comprimant mes sphincters sur le gode qui m'embroche.

Cette triple stimulation, (Pénis Périnée, Prostate) déclenchent rapidement mon orgasme.



Une vague déferlante de plaisir m'emporte et une épaisse coulée blanchâtre sort lentement de ma verge en inondant ma guêpière. J'ai l'impression de jouir comme une femme qui voit sa cyprine couler de sa chatte et ruisseler entre ses cuisses.

Terrassée par cette jouissance anale beaucoup plus puissante qu'un orgasme pénien, je regarde ma source de vie se tarir peu à peu.

Le souffle court, je reste un moment immobile en me sentant totalement comblée.

Embrochée jusqu'au nombril, je n'arrive pas à détacher mon regard de l'impressionnante ventouse du gode qui me recouvre les fesses.

Lorsque je le retire, j'éprouve un sentiment de frustration en voyant ma chatte béante semblant attendre une nouvelle proie à dévorer.



Je suis devenue addict à mes plaisirs solitaires.

Quand mon ami me sodomise dans ma lingerie glamour, je ressens une forte excitation cérébrale mais sur le plan physique, il faut qu'il me dilate ensuite avec mes gros calibres de 7 et 8 cm pour que j'éprouve une jouissance physique intense.

J'ai besoin des deux pour me sentir comblée.



Je finis par me lever pour changer ma lingerie recouverte de sperme.

Un peu plus tard, toujours taraudée par le désir, je m'allonge sur mon lit en lubrifiant ma queue et mon anus d'un gel conducteur de courant.

Puis, j'enfonce un plug anal en inox de 6 cm de diamètre dans ma grotte en posant un anneau pénien serti d'un fil électrique sur mon frein et deux patchs à électrodes sur mes bourses.

J'achève ma préparation en connectant les fils à mon boîtier erostek tout en sélectionnant un programme pour chaque zone.

Dés que j'active le courant, je sens de puissantes ondes m'irradier l'anus.

Puis, sous l'effet des stimulations électriques, ma queue se soulève en cadence en contractant mes bourses sur le même rythme.

Mon plaisir monte crescendo quand les vibrations deviennent de plus en plus intenses.

Le courant transperce maintenant ma queue et mon anus en se propageant en vagues successives dans mon ventre.

Je me laisse submergée par la vague de plaisir qui m'emporte en contemplant l'épaisse coulée de sève qui se répand lentement en continu sur ma guêpière.

Lors de ces séances d'électro sexe, je remarque que ma source de vie est toujours plus abondante.

L'autre avantage de cette technique c'est que je peux recommencer en ayant des orgasmes secs qui me permettent de garder mon érection.

Sans éjaculer, je peux alors jouir plusieurs fois de suite comme une fille.

Après des mois de pratique, je suis aussi devenue addict à ce plaisir car mon cerveau a transformé les stimulations électriques en sensations érotiques.

Dites moi comment vous vous servez de vos jouets.







Par sandratvtg - Publié dans : Utilisation de mes jouets intimes - Communauté : travesti salope
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Mercredi 2 août 3 02 /08 /Août 15:47

 

 

 

- Je choisis avec soin dans mon armoire les dessous que je vais porter pour t'accueillir.

- J'ai l'embarras du choix, cela va de la lingerie glamour à celle plus provocante de la belle de nuit.

- Je craque pour les voluptueux dessous des années 50:

- Ces gaines rétro, très féminines, fendues à l'entrejambe qui m'offrent à tes désirs.

- Ces corsets et bustiers m'enserrant la taille.

- Ces porte jarretelles à huit attaches ayant pour mission de maintenir les coutures de mes bas bien droites.

- Ces nuisettes et culottes ouvertes en satin provoquant mon émoi par simples frottements sur mon sexe.

- Ces jupons en tulle qui gonflent mes robes en mettant en valeur mes longues jambes sublimées par mes talons aiguilles.

 

Ce jour là, c'est une bourgeoise parée de tous les symboles de la féminité qui t'ouvre la porte.

  • Une perruque blonde coupée au carré encadre mon visage et un savant maquillage achèvent ma métamorphose.(voir mes photos sur mon blog)

  • Dans l'attente de ta visite, je me suis longuement épilée en traquant les derniers poils sur mon clito et ma chatte.

  • Parfumée et lubrifiée, je brûle d'envie d'être prise dans ma lingerie glamour...

  • Je t'accueille perchée sur mes talons aiguilles en faisant crisser mes bas pour attirer ton regard sur les quatre paires de jarretelles tendues sur mes cuisses ornées de jarretières.

  • J'ai la taille serrée dans une guêpière dont les bonnets 105/D menacent de craquer sous la pression de mes seins siliconés. (voir mes photos).

  • Je me suis habillée en blanc avec l'espoir d'être "en...foncée" d'ici ce soir.



  • Tes yeux se posent sur ma culotte fendue qui moule ma queue en te dévoilant mon oeillet frémissant de désir.

  • Comme beaucoup d'hétéro, tu es troublé par cette incarnation de femme phallique.

  • Tu réalises ta chance d'être avec une fille dotée d'un pénis qui peut selon tes envies te prendre ou être prise.

  • L'excitation te gagne en pensant aux nombreux scenarii que je peux te faire vivre.

  • En effet, il m'est possible de répondre à tes nombreux fantasmes en étant cette dominatrice qui te pilonne les reins ou bien cette fille douce et câline qui t'ouvre ses cuisses pour te vider les bourses.

  • Je peux aussi être cette infirmière, secrétaire ou nurse qui te pompe la queue par tous ses orifices.

  • Mais aussi celle que tu trousses et que tu violes debout à la hussarde contre un mur ou encore cette lesbienne qui te bascule sur son lit pour une séance de gouinage sous la couette.

  • J'ai le grand avantage d'être une experte du plaisir anal ayant une parfaite connaissance de tes zones érogènes qui sont aussi les miennes.

  • Mon anus ayant plus de terminaisons nerveuses qu'une chatte, je sens ta sève fuser en moi mieux qu'une femme qui ignore souvent quand son amant jouit en elle.

  • Tu sens les puissantes contractions de mes sphincters te serrer davantage la queue qu'un vagin.

     

  • Soudain mon sexe jaillit de ma culotte fendue.

  • Tu regardes fasciné ma queue se dresser devant tes yeux et battre la mesure comme un métronome.

  • Sans attendre, je remonte mon genou gaîné de nylon entre tes jambes pour te forcer à écarter les cuisses.

  • Profitant de mon emprise sur toi, je te plaque dos au mur en posant mes mains sur tes hanches.

  • Puis, je relève ta jambe contre ma taille pour pouvoir te pénétrer jusqu'à la racine de mon sexe.

     

    - Perchée sur mes talons aiguilles, je m'active en pilonnant tes reins avec ma queue gonflée de désir.

  • Lors de mes va et vient, tu gémis doucement en me pressant les seins.

  • Très vite, une vague déferlante de plaisir m'emporte en me faisant décharger longuement dans tes fesses.

  • En voyant ta queue en érection, je t'entraîne dans mon lit avec un sourire prometteur.

  • Bien décidée à t'achever, je t'allonge sur le dos.

  • Tout en te masturbant, je glisse un, deux, puis trois doigts dans ton oeillet en refermant mes lèvres gourmandes sur ta colonne de chair.

  • Je poursuis en posant mon vibro sur ton frein tout en pressant ton point G avec la pulpe de mes doigts.

  • Puis, je masse ton périnée et tes bourses en tournant lentement mon poignet dans ton ventre.

  • Ayant passé sans difficulté la courbure de ton intestin, je peux t'enfoncer maintenant mon bras jusqu'au coude.

  • Tu regardes sidéré mes doigts soulever la peau de ton ventre à la hauteur de ton nombril.

  • Dans le même temps, je sens tes sphincters se contracter sur mon poignet pendant que ta sève se met à couler lentement et en continu sur mon bras.

     

  • Un moment plus tard, t'ayant laissé récupérer, je presse la racine de ton sexe entre mon pouce et mon index pour te déclencher une nouvelle érection.

  • Par mes gestes et attitudes provocantes, je deviens cette fille insatiable qui te fait craquer.

  • Lorsque je vois le désir briller dans tes yeux, je m'allonge sur mon lit en levant les jambes.

  • Puis, j'écarte mes fesses à deux mains en te fixant d'un regard brûlant.

  • Viens, j'ai envie de toi !

  • Excité par ce spectacle, tu viens te glisser entre mes cuisses largement ouvertes.

  • En voyant ta queue dressée, prête à m'empaler, ma respiration s'accélère et mes seins volumineux et lourds se soulèvent en cadence.

  • En m'empalant jusqu'à la garde, tu as la surprise de sentir ma chatte te serrer fortement la queue.

  • Je t'avoue avoir fortifié mes muscles intimes avec mes jouets pendant de longues années pour te donner davantage de plaisir.

  • Je serre les fesses pour mieux sentir les va et vient de ta queue qui me transperce le ventre, ce qui t'oblige à forcer mon passage en me violant sans vergogne.

  • Emporté par ton désir et stimulé par mes gémissements, tu me pilonnes sans relâche.

    Lorsque que tu es sur le point de craquer, je t'immobilise en serrant ta taille dans l'étau de mes cuisses.

  • J'éprouve une forte excitation à terrasser ton sexe par de puissantes bascules d'avant en arrière jusqu'à ce que je sente ton sperme fuser contre ma paroi anale..

  • Je me sens totalement comblée par ta queue qui m'inonde les entrailles et un sentiment de toute puissance m'envahit en pompant tes dernières gouttes de sève.



  • Peu après, je me lève en voyant un flot de sperme s'échapper de mes fesses et couler à l'intérieur de mes cuisses.

  • En souriant, je te montre du doigt ta sève qui dessine d'étranges arabesques blanchâtres sur mes bas.

  • Je glisse mon rosebud dans mon oeillet pour stopper ces coulées de stupre qui s'accrochent telles des guirlandes à mes cuisses gainées de nylon.

  • Puis, je te fais découvrir les nombreux jouets dont je me sers habituellement: vibro, gode gonflable, rosebud, spéculum, plug anal, vacuum, boules anales.

  • Pour les amateurs de sensations fortes, j'ai en réserve des godes de 8 à 10 cm de diamètres, des plugs urétraux, des parachutes pour les bourses, des cages de chasteté et un erostek.

  • J'ai acquis un grand savoir faire dans leurs maniements en devenant une dominatrice expérimentée.

  • Lors de ta prochaine visite, je les utiliserai pour te faire découvrir mes talents.

  • Je te ferai grimper au rideau en stimulant à la fois ton pénis, tes bourses, ton périnée et ton anus.

    - Je commencerai par te masturber entre mes cuisses gaînées de nylon.

  • Puis, je me mettrai à califourchon sur toi en te tournant le dos pour pilonner ton oeillet avec mon gode pendant que ma chatte brûlante de désir te pompera avidement la queue.

  • Je te porterai le coup de grâce en tournant lentement mes fesses sur ton pivot de chair jusqu'à ce que tu exploses dans mes reins.

  • Après t'avoir vidé les bourses, je garderai ma lingerie pour la nuit.

  • Avant de m'endormir, je plaquerai ta queue dans la raie de mes fesses pour que tu réalises ton fantasme de me violer pendant mon sommeil.



Dites-moi si vous aimeriez vivre ces jeux.





 





 

 



 













 



 





 

 



 

 









 



 









 

Par sandratvtg - Publié dans : Utilisation de mes jouets intimes - Communauté : Se travestir
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Samedi 29 juillet 6 29 /07 /Juil 17:42

 

Avant de commencer la séance, je me mets en condition pour me déclencher une puissante excitation cérébrale.

Pour cela, je me suis épilée, maquillée et coiffée d'une perruque blonde coupée au carré pour vivre ma journée en fille.

Je porte une ravissante guêpière dont les bonnets 105/D menacent d'exploser sous le poids de mes lourdes prothèses en silicone.

Sous leurs pressions, je sens mes bretelles de soutien gorge s'incruster dans mes épaules

Une culotte ouverte, des jarretières, des bas à coutures et des talons aiguilles complètent ma tenue glamour.

J'adore me voir dans ma superbe lingerie en prenant des poses suggestives devant la glace.

Pour paraître plus femme, j'ai caché ma queue entre mes cuisses en la fixant avec des bandes adhésives.

Puis, je frotte sensuellement mes cuisses gainées de nylon l'une contre l'autre pour entendre l'excitant crissement de mes bas.

Peu après, je libère ma queue en m'allongeant sur mon lit dans ma position favorite.

Pour cela, je glisse un coussin sous mes fesses tout en fléchissant les genoux pour obtenir une pénétration plus profonde.

C'est dans cette position offerte et féminine que je lubrifie ma chatte totalement épilée.

J'aime sentir sous mes doigts ses replis doux et satinés par le silicone.



Tout en me caressant sensuellement les seins, je songe au scénario que je vais improviser devant ma glace pour obtenir une jouissance anale plus forte et intense qu'un orgasme pénien.

 

Puis, j'ouvre le colis envoyé par mon ami en me doutant un peu de son contenu.

Je sors de son emballage un gode massif et lourd qui a tout d'un vrai pénis.

Un petit mot est joint à mon attention : 

« Pour combler tes envies pendant mon absence »

Il m'a généreusement servie car il est impressionnant...

En le regardant sous tous les angles, je me dis qu'il ne va jamais passer car il est vraiment très, très gros.

Il a un gland épais et un frein merveilleusement dessinés comme je les aime.

Sa hampe va en s'élargissant jusqu'à ses bourses énormes qui remplissent mes paumes de mains.

Je ne peux m'empêcher de fantasmer en effleurant avec mes doigts ses grosses veines saillantes qui me donneront sans nul doute des sensations fortes.

J'en ai maintenant tellement envie dans ma tête que je me sens prête à le recevoir physiquement.



C'est avec fébrilité que je le pose sur mon ventre en étant

fascinée par cette queue lourde et massive qui va de mon pubis à mes seins.

Mon cœur bat la chamade quand j'écarte la fente de ma culotte en le posant contre mon œillet.

A mon excitation cérébrale s'ajoute maintenant le plaisir physique de la dilatation quand en exerçant une pression forte et continue je le fais rentrer en moi.

Ma rosette s'ouvre lentement sous la poussée du gode généreusement lubrifié.

J'ai la sensation d'être ouverte en deux lorsqu'il me pénètre en m'écartant les chairs.

Une fois le gland rentré, je m'arrête un instant pour souffler.

Quel bonheur de se sentir bien prise!

Je stimule avec précision mon point G tout en pressant la racine de mon sexe pour bander davantage.

J'amplifie les va et vient de cette énorme queue en la serrant entre mes cuisses et en contractant mes muscles intimes pour mieux la retenir.

Je ressens maintenant les plaisirs de la dilatation extrême, l'anus étant mieux vascularisé et innervé qu'un vagin.

 

Par de puissantes bascules du bassin d'avant en arrière, je m'embroche jusqu'à la garde en voyant le gode disparaître dans ma culotte fendue.

Lorsque son socle vient se plaquer contre mes fesses, je reste un instant immobile pour savourer ce moment de me sentir « bien remplie. »

Puis, je bloque la ventouse de mon jouet sur mon matelas.

Quand il sort de mes reins, j'utilise le poids de mon corps en écartant les cuisses et en poussant pour m'empaler à nouveau dessus.

Assise sur mon lit, je creuse les reins en tournant lentement ma croupe sur ce pieu qui me sert de pivot pour mieux sentir ses veines dessinées sur sa hampe me limer la chatte.

Quand il sort de mes fesses, je me laisse retomber dessus dans des gémissements de plaisir.

Les fortes pressions exercées sur ma prostate font s'échapper quelques gouttes de sève de ma queue.

Les frottements de mon gland décalotté sur ma culotte satinée amplifient mon émoi.

Je ne tarde pas à voir des auréoles blanchâtres imprégner ma lingerie.

En m'allongeant sur le dos, je cambre les reins en pressant mon gode entre mes cuisses.

Quand il sort de mes fesses, je vois dans le miroir ma rosette glisser lentement sur sa hampe et s'étirer comme si elle voulait le retenir avant de s'enrouler à nouveau dessus lorsque je m'empale dans des gémissements de plaisir.

Le désir monte crescendo dans mes reins et je sens maintenant le pal tressauter dans ma main sous l'effet de mes contractions anales.



Sachant que je ne pourrai plus tenir très longtemps, je pose mon vibro sur mon frein qui est aussi sensible qu'un clitoris tout en massant mon périnée.

Comme une femme qui se masturbe en caressant son bouton d'amour et en contractant son vagin et ses cuisses pour jouir, je titille mon frein en comprimant mes sphincters sur le pieu qui m'embroche.

Cette triple stimulation, (Pénis Périnée, Prostate) déclenchent rapidement mon orgasme.



Une vague déferlante de plaisir m'emporte et une épaisse coulée blanchâtre sort lentement de ma verge en inondant ma guêpière. J'ai l'impression de jouir comme une femme qui voit sa cyprine couler de sa chatte et ruisseler entre ses cuisses.

Terrassée par ce fabuleux orgasme anal, je serre mon gode entre mes cuisses pour finir de me vider.

Étourdie de plaisir, je reste un moment immobile en me sentant totalement comblée.

Embrochée jusqu'au nombril, je n'arrive pas à détacher mon regard de l'impressionnante ventouse du gode qui recouvre mes fesses.

Lorsque je le retire, j'éprouve un sentiment de frustration en voyant ma chatte béante dans l'attente d'une nouvelle proie à dévorer.



Je suis devenue addict à mes plaisirs solitaires car je sais mieux que personne me donner du plaisir.

Quand mon ami me sodomise dans ma lingerie glamour, cela me procure une forte excitation mentale mais sur le plan physique, il faut qu'il me dilate ensuite avec mes gros calibres de 7 et 8cm pour que j'éprouve une jouissance physique intense.

J'ai besoin des deux pour être comblée.



Je finis par me lever pour changer ma lingerie recouverte de sperme.

Un peu plus tard, toujours taraudée par le désir, je m'allonge sur mon lit en lubrifiant ma queue et mon anus d'un gel conducteur de courant.

Puis, j'enfonce un plug anal en inox de 6 cm de diamètre dans ma grotte en posant un anneau pénien serti d'un fil électrique sur mon frein et deux patchs à électrodes sur mes bourses.

J'achève ma préparation en connectant les fils à mon boîtier erostek tout en sélectionnant un programme pour chaque zone.

Dés que j'active le courant, je sens de puissantes ondes m'irradier l'anus.

A leur tour, sous l'effet des stimulations électriques, ma queue se soulève en cadence en contractant mes bourses sur le même rythme.

Mon plaisir monte crescendo quand les vibrations deviennent de plus en plus intenses.

Le courant transperce maintenant ma queue et mon anus en se propageant en vagues successives dans mon ventre.

Je me laisse submergée par la vague de plaisir qui m'emporte en contemplant l'épaisse coulée de sève qui se répand lentement en continu sur ma guêpière.

Lors de ces séances d'électro sexe, je remarque que ma source de vie est toujours plus abondante.

L'autre avantage de cette technique c'est que je peux recommencer en ayant cette fois des orgasmes secs qui me permettent de garder mon érection.

Sans éjaculation, j'ai alors la possibilité de jouir plusieurs fois de suite comme une fille.

Après des mois de pratique, je suis aussi devenue addict à ce plaisir car mon cerveau a transformé les stimulations électriques en sensations érotiques.

Dites moi comment vous vous servez de vos jouets.













 











 





 









 











 



 



 

 





 



 



 

Par sandratvtg - Publié dans : Utilisation de mes jouets intimes - Communauté : Homme aimant se travestir
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Jeudi 29 juin 4 29 /06 /Juin 18:51

 

L'évolution de ma sexualité au cours des années.





Au fil des jours, je suis devenue plus cérébrale à la recherche de sensations fortes.

De nouveaux désirs se sont imposés à moi au fil des jours.

Ma part de féminité devenant de plus en plus forte, j'ai décidée de consacrer une bonne partie de mes loisirs à ma vie de femme.

Quel bonheur de passer du temps à me maquiller devant mon miroir.

J'ajuste avec soin ma perruque blonde coupée au carré.

Ouvrant mon armoire remplie de lingerie, je choisis avec fébrilité la guêpière, le string, la nuisette et les escarpins que je vais porter...



J'adore vivre ces moments sensuels que seules les femmes connaissent:

Sentir mes bretelles de soutien gorge 105/D s'incruster dans mes épaules sous le poids de mes seins.

Percevoir le lourd balancement de ma poitrine siliconée à chacun de mes gestes.

Sentir l'excitante tension de mes jarretelles sur mes cuisses et la ficelle de mon string qui me rentre dans les fesses.

Apprécier le doux contact de ma nuisette satinée sur ma peau.

Entendre le crissement de mes bas quand je frotte mes cuisses l'une contre l'autre.



Marcher dans la rue en me déhanchant pour accentuer le balancement de mes fesses initié par mes escarpins.

Sentir le vent chaud s'engouffrer sous ma jupe et me caresser sensuellement les cuisses...

Entendre le bruit cadencé de mes talons aiguilles sur asphalte.

C'est pour ces raisons que j'aime sortir dans les rues le soir et m'exhiber en fille sur le web.



Ayant un style BCBG, j'attache beaucoup de soin à mon apparence.

J'admire tellement la beauté des femmes que je veux leur ressembler en copiant leurs gestes et attitudes.

Avec l'expérience, je suis devenue une fille crédible avec un profil agréable à regarder.



Fervente adepte du plaisir anal, j'aime jouer avec mes godes, plugs, speculums, vacuum avant d'être prise.

Comme le font certaines femmes, je me sers d'un vibro pour m'exciter le clito et de mon anus comme d'un vagin.

Je presse mon gode entre mes cuisses gainées de nylon tout en contractant mes muscles intimes pour le sentir vivre en moi.



Je regrette que mon amie ne partage pas mes jeux car elle se prive de tout ce qu'une femme phallique peut lui apporter au lit. (soumission, domination, inversion des rôles, bondage, fétichisme...)

J'ai cependant eu la chance de croiser le chemin d'une domina vénale qui vient me voir de temps en temps pour me faire vivre mes fantasmes.

Quelques semaines avant sa visite, Natacha m'impose le port d'une cage de chasteté pour m'obliger à rester sage.

Elle ignore que j'arrive à jouir sans me masturber en m'empalant sur mon gode.

 

La veille de son passage, je me prépare aux dilatations extrêmes qu'elle va m'imposer en portant la nuit comme le font certaines actrices porno, une culotte garnie d'un gode interne de 5 cm de diamètre pour dilater mon oeillet pendant mon sommeil.

Le matin, j'ai la chatte humide avec pleins de désirs dans la tête .



C'est avec impatience que j'attends ma perverse maîtresse en pensant aux tourments qu'elle va m'infliger.

Pour l'occasion, je me suis soigneusement maquillée, parfumée et épilée.

Satisfaite de mon apparence, je pose longuement devant la glace en me sentant vraiment femme dans ma lingerie glamour.

J'adore porter ces dessous sublimant ma féminité qui accroissent mon envie d'être prise.



A peine arrivée, Natacha voulant affirmer sa domination me renverse sur le lit.

Impatiente de montrer ses talents, elle commence par se servir des nombreux jouets que je laisse traîner délibérément sur ma commode.

Me sachant une fervente adepte de la sodomie, elle sait qu'elle doit utiliser de gros calibres pour provoquer mon érection.

Puis, elle me glisse un spéculum XO dans les fesses pour finir de me dilater.

C'est un cylindre creux qui permet d'obtenir un parfait cerclage de l'anus bien plus efficace que ceux à deux ou trois branches.

Je sens mes chairs s'écarter lentement sous l'action de ma Maîtresse.

- Actuellement, tu es dilatée à 7 cm, m'assure Natacha.

- C'est le diamètre d'une bouteille de bordeaux qui me permet déjà

de te fister, me précise-t-elle.

Quelques instants plus tard, elle s'arrête en voyant mon visage marqué par cette séance de dilatation devenue éprouvante.

- C'est maintenant l'équivalent d'une bouteille de champagne qui est plongée dans tes fesses, s'exclame-t-elle en plaçant un miroir entre mes cuisses pour que je vois ma chatte dilatée à l'extrême.



Elle poursuit en me plongeant un plug urétral dans la verge et un autre dans l'anus pour stimuler ma prostate à la fois par voie interne et externe.

Avec précision, elle guide entre ses doigts la tige en inox de trente centimètres qui s'enfonce lentement par son propre poids dans mon urètre avant de la faire aller et venir dans ma queue.

Puis, elle me retire le plug et vient se placer entre mes cuisses en ajustant sur ses hanches un impressionnant gode ceinture.

Sous l'emprise d'un forte excitation, elle me viole à grands coups de reins en s'enfonçant en moi jusqu'à la garde.

A l'instar des femmes qui caressent leur clito et contractent leur vagin pour jouir, je titille mon frein en serrant mes sphincters sur ce sexe qui me transperce les entrailles pour mieux le sentir aller et venir dans mes reins.

Natacha finit par se retirer de mes fesses pour enfiler sur ses bras de longs gants en latex qu'elle lubrifie avec du crisco.

Elle s'approche de moi en levant les mains comme un chirurgien qui s'apprête à officier.

Je suis allongée sur le dos, les poignets attachés aux barreaux du lit.

Elle m'écarte les cuisses en plaçant deux coussins sous mes fesses pour pouvoir s'enfoncer plus à fond dans mes reins.

Enfin, elle me pose un bandeau sur les yeux pour que je me concentre sur mon plaisir.

Je sens sa main gantée me fouiller lentement et profondément le ventre.

Je prends conscience que ma jouissance anale est devenue au fil du temps de plus en plus forte au point de ne plus pouvoir m'en passer.

Mon addiction est devenue autant physique que psychique.

Quand je pense qu'il y a encore quelques années, je croyais qu'on ne pouvait pas jouir du cul.



Ma maîtresse s'active maintenant de plus belle entre mes cuisses.

J'ai la respiration coupée en ayant l'impression d'être ouverte en deux lorsque sa main franchit la première courbure de mon intestin.

Ayant passé cet obstacle, elle peut maintenant m'enfoncer son bras plus à fond.

Lorsque les contractions de mon anus deviennent plus fréquentes, elle m'enlève ma cage de chasteté en plongeant ma queue jusqu'au fond de sa gorge.

Elle me pompe avec une telle ardeur que je vois ses joues se creuser sous les puissantes aspirations de sa bouche.

Dans le même temps, elle masse par de lents mouvements circulaires mon point G avec la pulpe de ses doigts qu'elle alterne avec de savantes pressions sur ma glande.

Ne pensant plus qu'à jouir, j'écarte les cuisses en l'implorant du regard pour qu'elle m'achève.

Ses yeux rivés dans les miens, elle me porte le coup de grâce en faisant tourner vicieusement son poignet dans ma grotte.

Ne pouvant résister plus longtemps à cette Domina expérimentée, je jouis du cul en me vidant lentement et en continu dans sa gorge en râlant de plaisir.

Puis, Natacha me détache et m'enlève mon bandeau pour que je vois le fascinant spectacle de ses doigts plongés dans mon ventre qui me soulèvent la peau à hauteur du nombril.

Stimulée par cette vision, je saisis son bras à deux mains en m'empalant jusqu'au coude.

- Tu es vraiment insatiable, me dit-t-elle en riant.

Certaines fois, le scénario est différent car Natacha préfère utiliser mon gode caterpilar.

C'est un beau jouet annelé pesant 1,2 kg qui s'élargit progressivement pour atteindre 8 cm à sa racine.

Lorsque ma chatte est béante de désir, elle peut ensuite m'empaler avec son plug sphérique B52 réservé aux initiés et qui mesure 10 cm de diamètre.

C'est ma limite, car mes os du bassin étant plus étroits que ceux d'une femme, je ne peux pas prendre plus gros.



Peu après, ayant envie à mon tour de lui donner du plaisir, je l'allonge sur le lit en lui prodiguant d'irrésistibles caresses qui la font craquer.

Je l'entends gémir de plaisir quand je fais coulisser lentement un gode de gros calibre dans son vagin tout en posant un vibro sur son clito.

La voyant très excitée, je la tourne sur le côté pour m'enfoncer dans ses reins tout en continuant à stimuler son bouton d'amour et à pilonner sa chatte.

A la fois, gouinée, sodomisée et le clito en feu, elle ne tarde pas à jouir.

Elle finit par me quitter quelques instants plus tard non sans m'avoir délestée de quelques billets en récompense de son excellente prestation.

 

Dites moi si au cours des années vos désirs sexuels ont également changés.

 

 

Par sandratvtg - Publié dans : Utilisation de mes jouets intimes - Communauté : Se travestir
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Mardi 11 octobre 2 11 /10 /Oct 19:41

Pour me préparer au fist et m'assouplir l'oeillet, j'utilise mon gode gonflable en augmentant peu à peu le diamètre à 4,5,6 et7cm.

Au fil du temps, comblée par ce gros calibre, je suis devenue addict à la sodomie

En effet, plus que sa longueur c'est surtout la grosseur d'un sexe qui me fait jouir.

 

La veille d'un fist, j'ai pris l'habitude de me coucher avec une culotte garnie d'un gode interne de 5cm de diamètre qui me laisse ouverte pendant mon sommeil.

J'aime cette sensation de me sentir bien remplie durant la nuit.

 

Le matin, lorsque mon amie débarque dans ma chambre, j'ai la chatte humide de désir et je brûle d'envie d'être prise.

M'attendant à sa visite, j'ai mis ma plus belle lingerie.

Je me suis également maquillée, épilée et coiffée d'une perruque bouclée blonde.

En marchant, je sens le poids de mes seins siliconés 105/D qui menacent de faire exploser les bretelles de ma guêpière.

Mes bas sont accrochés à quatre paires de jarretelles et je porte un culotte fendue qui découvre entièrement mon anneau aux yeux de mon amie.

 

Elle me fait mettre sur le dos, les genoux fléchis en m'écartant les cuisses.

- C'est la meilleure position pour te sodomiser, me dit-t-elle en souriant.

A l'aide de son spéculum cylindrique XO, elle m'ouvre la chatte en un cercle parfait.

Mon oeillet étant devenu souple, elle tourne rapidement la molette pour atteindre d'emblée les 5cm de diamètre.

Je ressens un plaisir intense lorsqu'elle continue à m'ouvrir les chairs millimètre par millimètre.

- Actuellement, tu es ouverte à 7cm, c'est la dimension d'une bouteille de bordeaux, me dit-t-elle en me masturbant efficacement.

Quelques instants plus tard, lorsqu'elle voit mon visage marqué par la douleur, elle s'arrête en s'exclamant:

- Maintenant, c'est une bouteille de champagne que tu peux prendre dans les fesses, me dit-t-elle en plaçant un miroir entre mes cuisses pour que je puisse contempler ma chatte dilatée à l'extrême par son spéculum.

 

Elle le laisse en place le temps de finir de se préparer.

Avec une lueur perverse dans le regard, elle enfile ses gants en latex sur ses bras qu'elle lubrifie soigneusement avec du crisco.

C'est une graisse végétale efficace et bon marché à l'inverse du j jube plus onéreux que l'on trouve difficilement dans le commerce.

 

Elle s'approche de moi en levant les mains en l'air comme un chirurgien qui s'apprête à officier.

Elle m'allonge sur le dos et place deux cousins sous mes fesses en m'écartant les cuisses pour pouvoir me prendre sous tous les angles.

 

Elle m'a aussi bandé les yeux pour que je me concentre mieux sur sa main qui me fouille les entrailles.

 

J'ai l'étrange impression d'être ouverte en deux quand elle m'empale sur son bras.

Je prends conscience que mon plaisir anal est devenu au fil des ans tant sur un plan physique que psychologique de plus en plus fort au point de ne plus pouvoir m'en passer.

Quand je pense qu'il y a encore quelques années, je me demandais comment on pouvait éprouver du plaisir et jouir de cette manière...

Dés que la main de mon amie a franchi la courbure de mon intestin, j'ai la respiration coupée en sentant son bras s'enfoncer lentement jusqu'au coude.

 

Quelques minutes plus tard, lorsqu'elle voit mon anus se contracter, elle comprend que je suis sur le point de jouir.

Elle s'arrête aussitôt de me masturber pour me prendre dans sa bouche en tournant lentement son poing fermé dans mon ventre jusqu'à ce que je me vide dans des râles de plaisir dans sa gorge.

 

Comme c'est le cas dans l'orgasme anal, ma queue reste immobile et flasque pendant que ma sève s'écoule longuement et en continu dans sa bouche.

Mon plaisir est cependant bien plus fort qu'une éjaculation ordinaire qui fuse en jets rapides et saccadés.

 

Mon amie laisse un long moment son bras enfoncé dans mon fourreau anal en me fixant d'un regard complice car elle sait que j'éprouve un sentiment de plénitude à être embrochée de la sorte.

 

J'enlève mon bandeau pour contempler avec fascination son membre enfoncé dans la fourche de mes cuisses.

Excitée par ce spectacle, je le saisis à deux mains en le poussant jusqu'aux tréfonds de mes entrailles.

 

Parfois le scénario est différent car mon amie préfère utiliser son gode caterpilar avant de me fister.

C'est une belle bête de 28cm pesant 1,8 kg qui s'élargit progressivement pour atteindre 8 cm à sa racine.

Ce qui lui permet de me rentrer ensuite dans les fesses son fameux plug sphérique B52 bien connu des initiés et qui donne des sensations fortes.

 

Dite-moi ce que vous ressentez en vous faisant fister à: sandratvtg@yahoo.fr

Par sandratvtg - Publié dans : Utilisation de mes jouets intimes - Communauté : travesti salope
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