Vendredi 4 août 5 04 /08 /Août 11:32

Avant de commencer la séance, j'aime me mettre dans la peau d'une fille.

Pour cela, je me suis épilée, maquillée et coiffée d'une perruque blonde coupée au carré.

Je porte une ravissante guêpière dont les bonnets 105/D menacent d'exploser sous le poids de mes lourdes prothèses en silicone.

Sous leurs pressions, je sens mes bretelles de soutien gorge s'incruster dans mes épaules

Une culotte ouverte, des jarretières, des bas à coutures et des talons aiguilles complètent ma tenue glamour.

J'adore me voir dans ma superbe lingerie en prenant des poses suggestives devant la glace.

Pour paraître plus femme, j'ai caché ma queue entre mes cuisses en la fixant avec des bandes adhésives.

Puis, je frotte sensuellement mes cuisses gainées de nylon l'une contre l'autre pour entendre l'excitant crissement de mes bas.

Peu après, je libère ma queue en m'allongeant sur mon lit dans ma position favorite.

Pour cela, je glisse un coussin sous mes fesses pour avoir une pénétration plus profonde tout en fléchissant les genoux et en écartant les cuisses.

C'est devant la glace dans cette position offerte et féminine que je lubrifie ma chatte totalement épilée.

J'aime sentir sous mes doigts ses replis doux et satinés par le silicone.



Tout en me caressant sensuellement les seins, je songe au scénario que je vais improviser pour me déclencher un orgasme anal.

 

Puis, j'ouvre le colis envoyé par mon ami en me doutant un peu de son contenu.

Je sors de son emballage un gode massif et lourd qui a tout d'un vrai pénis.

Un petit mot est joint à mon attention : 

« Pour combler tes envies pendant mon absence »

Il m'a généreusement servie car il est impressionnant...

En le regardant sous tous les angles, je me dis qu'il ne va jamais passer car il est vraiment très, très gros.

Il a cependant un gland épais et un frein merveilleusement dessinés comme je les aime.

Sa hampe va en s'élargissant jusqu'à ses bourses énormes qui remplissent mes paumes de mains.

Je ne peux m'empêcher de fantasmer sur ce gode monstrueux en effleurant avec mes doigts ses grosses veines saillantes qui me donneront sans nul doute des sensations fortes.

J'en ai maintenant tellement envie dans ma tête que je me sens prête à le recevoir physiquement.



C'est avec fébrilité que je le pose sur mon ventre en étant

fascinée par cette queue lourde et massive qui va de mon pubis à mes seins.

Mon cœur bat la chamade quand j'écarte la fente de ma culotte en le posant contre mon œillet.

A l'excitation mentale de me voir en fille devant mon miroir s'ajoute maintenant le plaisir physique de la dilatation quand en exerçant une pression forte et continue je le fais rentrer en moi.

Ma rosette s'ouvre lentement sous la poussée implacable de mon gode généreusement lubrifié.

J'ai la sensation d'être ouverte en deux lorsqu'il me pénètre en m'écartant les chairs.

Une fois le gland rentré, je m'arrête un instant pour souffler.

Quel bonheur de se sentir bien prise!

Je stimule avec précision mon point G tout en pressant la racine de mon sexe pour bander davantage.

Lors des va et vient de ce monstrueux phallus, je serre les cuisses en contractant mes muscles intimes pour mieux le sentir en moi.

Mon anus étant mieux innervé qu'un vagin, je ressens maintenant le plaisir intense d'être dilatée.

 

Par de puissantes bascules du bassin d'avant en arrière, je m'embroche jusqu'à la garde en voyant le gode disparaître dans ma culotte fendue.

Lorsque son socle vient se plaquer contre mes fesses, je reste un instant immobile pour savourer ce moment de me sentir « bien remplie. »

Puis, je bloque la ventouse de mon jouet sur mon matelas.

Quand il sort de mes reins, j'utilise le poids de mon corps en écartant les cuisses tout en poussant pour m'empaler à nouveau dessus.

Assise sur mon lit, je creuse les reins en tournant lentement ma croupe sur ce pieu qui me sert de pivot pour mieux sentir les veines qui courent sur sa hampe me limer la chatte.

Les fortes pressions exercées sur ma prostate font s'échapper quelques gouttes de sève de ma queue.

Les frottements de mon gland décalotté sur ma culotte satinée amplifient mon émoi.

Je ne tarde pas à voir des auréoles blanchâtres imprégner ma lingerie.

Quand je sors le gode de mes fesses, je vois dans le miroir ma rosette s'étirer lentement sur sa hampe comme si elle voulait le retenir avant de s'enrouler à nouveau dessus lorsque je m'empale dans des gémissements de plaisir.

Le désir monte crescendo dans mes reins et je sens maintenant le pal tressauter dans ma main sous l'effet de mes contractions anales.



Sachant que je ne pourrai plus tenir très longtemps, je pose mon vibro sur mon frein qui a la sensibilité d'un clitoris tout en massant mon périnée.

Comme une femme qui se masturbe en caressant son bouton d'amour et en contractant son vagin et ses cuisses pour jouir, je titille mon frein en comprimant mes sphincters sur le gode qui m'embroche.

Cette triple stimulation, (Pénis Périnée, Prostate) déclenchent rapidement mon orgasme.



Une vague déferlante de plaisir m'emporte et une épaisse coulée blanchâtre sort lentement de ma verge en inondant ma guêpière. J'ai l'impression de jouir comme une femme qui voit sa cyprine couler de sa chatte et ruisseler entre ses cuisses.

Terrassée par cette jouissance anale beaucoup plus puissante qu'un orgasme pénien, je regarde ma source de vie se tarir peu à peu.

Le souffle court, je reste un moment immobile en me sentant totalement comblée.

Embrochée jusqu'au nombril, je n'arrive pas à détacher mon regard de l'impressionnante ventouse du gode qui me recouvre les fesses.

Lorsque je le retire, j'éprouve un sentiment de frustration en voyant ma chatte béante semblant attendre une nouvelle proie à dévorer.



Je suis devenue addict à mes plaisirs solitaires.

Quand mon ami me sodomise dans ma lingerie glamour, je ressens une forte excitation cérébrale mais sur le plan physique, il faut qu'il me dilate ensuite avec mes gros calibres de 7 et 8 cm pour que j'éprouve une jouissance physique intense.

J'ai besoin des deux pour me sentir comblée.



Je finis par me lever pour changer ma lingerie recouverte de sperme.

Un peu plus tard, toujours taraudée par le désir, je m'allonge sur mon lit en lubrifiant ma queue et mon anus d'un gel conducteur de courant.

Puis, j'enfonce un plug anal en inox de 6 cm de diamètre dans ma grotte en posant un anneau pénien serti d'un fil électrique sur mon frein et deux patchs à électrodes sur mes bourses.

J'achève ma préparation en connectant les fils à mon boîtier erostek tout en sélectionnant un programme pour chaque zone.

Dés que j'active le courant, je sens de puissantes ondes m'irradier l'anus.

Puis, sous l'effet des stimulations électriques, ma queue se soulève en cadence en contractant mes bourses sur le même rythme.

Mon plaisir monte crescendo quand les vibrations deviennent de plus en plus intenses.

Le courant transperce maintenant ma queue et mon anus en se propageant en vagues successives dans mon ventre.

Je me laisse submergée par la vague de plaisir qui m'emporte en contemplant l'épaisse coulée de sève qui se répand lentement en continu sur ma guêpière.

Lors de ces séances d'électro sexe, je remarque que ma source de vie est toujours plus abondante.

L'autre avantage de cette technique c'est que je peux recommencer en ayant des orgasmes secs qui me permettent de garder mon érection.

Sans éjaculer, je peux alors jouir plusieurs fois de suite comme une fille.

Après des mois de pratique, je suis aussi devenue addict à ce plaisir car mon cerveau a transformé les stimulations électriques en sensations érotiques.

Dites moi comment vous vous servez de vos jouets.







Publié dans : Utilisation de mes jouets intimes - Communauté : travesti salope - Par sandratvtg
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Vendredi 4 août 5 04 /08 /Août 11:31

 

 

 

 

 

Fascinante Claudia,

 

Le cœur battant, je sonne à la porte de ma maîtresse.

 

Une blonde sculpturale m'accueille vêtue d'une nuisette et d'un corset en satin qui mettent en valeur ses seins sublimes et la magnifique cambrure de sa croupe.

Les huit jarretelles tendues sur ses cuisses ont pour mission de maintenir bien droites les coutures de ses bas.

Perchée sur ses cuissardes, elle me fait entrer dans son donjon.

Son regard volontaire révèle un caractère bien trempé.

Je la trouve craquante avec ses pommettes slaves, ses yeux en amande et sa longue chevelure blonde qui retombe en cascade sur ses épaules.

 

Sans perdre de temps, elle me déshabille en me prodiguant ses caresses pour gagner ma confiance.

Puis, elle m'allonge sur une table médicale en m'immobilisant à l'aide de sangles qui m'enserrent la poitrine et le ventre.

Elle poursuit son œuvre en m'attachant les poignets et en bloquant mes pieds dans les étriers.

Je suis maintenant totalement livré aux pulsions de ma maîtresse.

- Je vais te faire découvrir des jeux que tu n'imagines même pas, me dit-t-elle en me retirant la cage de chasteté qu'elle m'a obligée à porter pendant un mois.

- Cette séance sera filmée, rajoute-t-elle

Elle me montre alors les différentes caméras chargées d'enregistrer les scènes.

 

L'une est installée au plafond et l'autre est fixée au mur face à moi.

A l'aide du boîtier qu'elle tient à la main, Claudia peut à tous instant cadrer les images au grand angle ou zoomer entre mes cuisses.

- Après avoir réalisé un montage, je revends mes productions à des clients privés ou à des magazines érotiques, me dit-t-elle en démarrant ses prises de vues.

- C'est d'ailleurs pour que tes éjaculations soient plus abondantes et spectaculaires à l'écran que je t'ai interdit de jouir si longtemps.

 

Un rasoir à la main, Claudia m'écarte les cuisses en traquant le moindre poil sur ma queue et mon anus pour satisfaire aux besoins du tournage.

Elle me provoque une forte érection en me rasant le sexe et l'anus.

- Je vois que tu aimes te faire prendre par de gros calibres, remarque-t-elle en effleurant avec son index les renflements caractéristiques de ma rosette qui témoignent de mes nombreuses dilatations anales.

Je lui avoue avoir porté la nuit dernière une culotte en latex munie d'un gode interne de 6 cm de diamètre en prévision des sévices qu'elle allait me faire subir.

 

Sans plus attendre, Claudia lubrifie son spéculum cylindrique XO en me lançant un regard ambigu.

Elle l'engage dans mon fourreau en l'écartant progressivement jusqu'à un diamètre de huit centimètres.

Ayant obtenu un parfait cerclage de mon anus, elle le laisse en place un moment pour pouvoir me fister plus facilement.

Lorsqu'elle le retire, c'est pour glisser trois doigts puis rapidement sa main dans ma grotte.

A son regard brûlant, je m'aperçois qu'elle prend beaucoup de plaisir à me violer de la sorte.

- J'ai enfoncé mon bras jusqu'au coude! S'exclame-t-elle d'une voix excitée.

Un moment plus tard, elle se retire de mes reins afin de prendre sur une étagère un plug urétral de 3 mm de diamètre dont l'extrémité se termine par une boule.

Après l'avoir lubrifié abondamment, elle saisit mon pénis entre son pouce et son index pour engager la longue tige en inox dans mon urètre.

Entraînée par son propre poids, je la vois s'enfoncer lentement dans ma verge.

Guidant la sonde entre ses doigts, Claudia accompagne sa progression en pressant ma queue pour l'aider à s'enfoncer jusque dans ma vessie.

Je reste fasciné par cette tige de trente centimètres qui disparaît peu à peu dans mon sexe.

 

 

Puis, Natacha me masturbe d'une main en faisant coulisser l'insert de l'autre.

Lors de ses va et vient, la boule à l'extrémité du plug stimule ma prostate en amplifiant mon érection.

Quelques instants plus tard, ma queue dressée se met à osciller de bas en haut.

Des gouttes de sperme s'échappent de mon gland...

Puis, une lente coulée de sève ininterrompue coule le long de ma hampe en se répandant sur mes cuisses.

Ma perverse Maîtresse attend patiemment que ma source de vie se tarisse pour retirer la tige recouverte de sperme et la porter à ses lèvres.

- J'aime goûter la sève de mes soumis, car elle a toujours une saveur différente, me dit-t-elle en me fixant de ses yeux de braise.

 

Claudia me laisse récupérer un moment avant de plonger dans mes fesses un plug en inox conducteur de courant.

Elle enveloppe ensuite mes bourses dans un parachute serti d'un fil électrique et entoure mon frein d'un anneau en latex à électrodes. qu'elle recouvre d'un gel conducteur.

J'attends avec impatience ce moment car cela me procure un plaisir indescriptible.

 

Elle n'a plus qu'à relier les différents fils de cuivre sur sa télécommande avant d'actionner son clavier.

Je ne tarde pas à ressentir d'agréables sensations lorsque les ondes électriques du plug plongé dans mes fesses se propagent dans mon ventre.

Transpercé par le courant, mon œillet se contracte en permanence indépendamment de ma volonté.

 

Gardant ses yeux rivés sur moi, ma Maîtresse suit d'un regard attentif la montée du plaisir sur mon visage.

Sur les écrans, je vois en gros plan ma queue tressauter sous l'effet de cette triple stimulation.

Guidée par mes gémissements, elle repère rapidement les réglages qui me font vibrer

Le courant gagnent maintenant ma prostate et mon périnée.

Pendant ce temps, l'anneau qui entoure mon gland irradie mon frein pendant que mes bourses enveloppées dans le cockring se soulèvent en cadence sous les impulsions électriques.

Pour éviter que je jouisse prématurément, Claudia programme avec soin ma montée en régime.

 

Attentive à mes réactions, elle change constamment le rythme et l'intensité du courant.

Des ondes de plus en plus fortes transpercent maintenant à la fois mes bourses, mon gland et mon anus.

- Ton plaisir va s’amplifier par la capacité de ton cerveau à transformer les ondes électriques en sensations érotiques, me dit-t-elle.

 

Le moment tant attendu arrive enfin.

Mes bourses enveloppées dans le cockring se contractent maintenant en permanence en faisant perler quelques gouttes incolores à la surface de mon gland.

 

Puis, ma sève s'échappe lentement et en continue de ma queue sous le regard brûlant de ma maîtresse.

Mon corps vibre sous la vague déferlante de l'orgasme anal qui m'emporte.

- L'électro stimulation donne toujours des éjaculations plus abondantes, m'assure-t-elle en regardant l'épaisse coulée de sperme m'inonder le ventre.

Elle m'achève en massant d'une main experte mon périnée et en pressant mes bourses pour prolonger mon plaisir.

Elle extrait ainsi mes dernières gouttes de sève.

- L'avantage avec cette technique, c'est que je peux aussi te donner des orgasmes secs, c'est à dire sans éjaculation, qui te permettront de garder ton érection, m'assure-t-elle.

- Tu pourras ainsi jouir plusieurs fois de suite comme une fille.

 

 

Après une courte pause, elle réactive le courant dans le plug anal en le pressant habilement contre mon point G.

A ma grande surprise, quelques minutes plus tard, je jouis plusieurs fois de suite sans éjaculer.

- La prochaine fois, j'utiliserai un plug urétral et anal pour stimuler à la fois ta prostate en interne et en externe.

- Cela te fera grimper au rideau, m'affirme-t-elle dans un rire de gorge évocateur.

Je me lève totalement comblé et épuisé par cette séance en me promettant de revoir très vite ma troublante amazone.

 

Donnez moi votre avis sur ce récit.

 

 

 

 

Publié dans : Récits femmes dominatrices - Communauté : Homme aimant se travestir - Par sandratvtg
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Mercredi 2 août 3 02 /08 /Août 15:47

 

 

 

- Je choisis avec soin dans mon armoire les dessous que je vais porter pour t'accueillir.

- J'ai l'embarras du choix, cela va de la lingerie glamour à celle plus provocante de la belle de nuit.

- Je craque pour les voluptueux dessous des années 50:

- Ces gaines rétro, très féminines, fendues à l'entrejambe qui m'offrent à tes désirs.

- Ces corsets et bustiers m'enserrant la taille.

- Ces porte jarretelles à huit attaches ayant pour mission de maintenir les coutures de mes bas bien droites.

- Ces nuisettes et culottes ouvertes en satin provoquant mon émoi par simples frottements sur mon sexe.

- Ces jupons en tulle qui gonflent mes robes en mettant en valeur mes longues jambes sublimées par mes talons aiguilles.

 

Ce jour là, c'est une bourgeoise parée de tous les symboles de la féminité qui t'ouvre la porte.

  • Une perruque blonde coupée au carré encadre mon visage et un savant maquillage achèvent ma métamorphose.(voir mes photos sur mon blog)

  • Dans l'attente de ta visite, je me suis longuement épilée en traquant les derniers poils sur mon clito et ma chatte.

  • Parfumée et lubrifiée, je brûle d'envie d'être prise dans ma lingerie glamour...

  • Je t'accueille perchée sur mes talons aiguilles en faisant crisser mes bas pour attirer ton regard sur les quatre paires de jarretelles tendues sur mes cuisses ornées de jarretières.

  • J'ai la taille serrée dans une guêpière dont les bonnets 105/D menacent de craquer sous la pression de mes seins siliconés. (voir mes photos).

  • Je me suis habillée en blanc avec l'espoir d'être "en...foncée" d'ici ce soir.



  • Tes yeux se posent sur ma culotte fendue qui moule ma queue en te dévoilant mon oeillet frémissant de désir.

  • Comme beaucoup d'hétéro, tu es troublé par cette incarnation de femme phallique.

  • Tu réalises ta chance d'être avec une fille dotée d'un pénis qui peut selon tes envies te prendre ou être prise.

  • L'excitation te gagne en pensant aux nombreux scenarii que je peux te faire vivre.

  • En effet, il m'est possible de répondre à tes nombreux fantasmes en étant cette dominatrice qui te pilonne les reins ou bien cette fille douce et câline qui t'ouvre ses cuisses pour te vider les bourses.

  • Je peux aussi être cette infirmière, secrétaire ou nurse qui te pompe la queue par tous ses orifices.

  • Mais aussi celle que tu trousses et que tu violes debout à la hussarde contre un mur ou encore cette lesbienne qui te bascule sur son lit pour une séance de gouinage sous la couette.

  • J'ai le grand avantage d'être une experte du plaisir anal ayant une parfaite connaissance de tes zones érogènes qui sont aussi les miennes.

  • Mon anus ayant plus de terminaisons nerveuses qu'une chatte, je sens ta sève fuser en moi mieux qu'une femme qui ignore souvent quand son amant jouit en elle.

  • Tu sens les puissantes contractions de mes sphincters te serrer davantage la queue qu'un vagin.

     

  • Soudain mon sexe jaillit de ma culotte fendue.

  • Tu regardes fasciné ma queue se dresser devant tes yeux et battre la mesure comme un métronome.

  • Sans attendre, je remonte mon genou gaîné de nylon entre tes jambes pour te forcer à écarter les cuisses.

  • Profitant de mon emprise sur toi, je te plaque dos au mur en posant mes mains sur tes hanches.

  • Puis, je relève ta jambe contre ma taille pour pouvoir te pénétrer jusqu'à la racine de mon sexe.

     

    - Perchée sur mes talons aiguilles, je m'active en pilonnant tes reins avec ma queue gonflée de désir.

  • Lors de mes va et vient, tu gémis doucement en me pressant les seins.

  • Très vite, une vague déferlante de plaisir m'emporte en me faisant décharger longuement dans tes fesses.

  • En voyant ta queue en érection, je t'entraîne dans mon lit avec un sourire prometteur.

  • Bien décidée à t'achever, je t'allonge sur le dos.

  • Tout en te masturbant, je glisse un, deux, puis trois doigts dans ton oeillet en refermant mes lèvres gourmandes sur ta colonne de chair.

  • Je poursuis en posant mon vibro sur ton frein tout en pressant ton point G avec la pulpe de mes doigts.

  • Puis, je masse ton périnée et tes bourses en tournant lentement mon poignet dans ton ventre.

  • Ayant passé sans difficulté la courbure de ton intestin, je peux t'enfoncer maintenant mon bras jusqu'au coude.

  • Tu regardes sidéré mes doigts soulever la peau de ton ventre à la hauteur de ton nombril.

  • Dans le même temps, je sens tes sphincters se contracter sur mon poignet pendant que ta sève se met à couler lentement et en continu sur mon bras.

     

  • Un moment plus tard, t'ayant laissé récupérer, je presse la racine de ton sexe entre mon pouce et mon index pour te déclencher une nouvelle érection.

  • Par mes gestes et attitudes provocantes, je deviens cette fille insatiable qui te fait craquer.

  • Lorsque je vois le désir briller dans tes yeux, je m'allonge sur mon lit en levant les jambes.

  • Puis, j'écarte mes fesses à deux mains en te fixant d'un regard brûlant.

  • Viens, j'ai envie de toi !

  • Excité par ce spectacle, tu viens te glisser entre mes cuisses largement ouvertes.

  • En voyant ta queue dressée, prête à m'empaler, ma respiration s'accélère et mes seins volumineux et lourds se soulèvent en cadence.

  • En m'empalant jusqu'à la garde, tu as la surprise de sentir ma chatte te serrer fortement la queue.

  • Je t'avoue avoir fortifié mes muscles intimes avec mes jouets pendant de longues années pour te donner davantage de plaisir.

  • Je serre les fesses pour mieux sentir les va et vient de ta queue qui me transperce le ventre, ce qui t'oblige à forcer mon passage en me violant sans vergogne.

  • Emporté par ton désir et stimulé par mes gémissements, tu me pilonnes sans relâche.

    Lorsque que tu es sur le point de craquer, je t'immobilise en serrant ta taille dans l'étau de mes cuisses.

  • J'éprouve une forte excitation à terrasser ton sexe par de puissantes bascules d'avant en arrière jusqu'à ce que je sente ton sperme fuser contre ma paroi anale..

  • Je me sens totalement comblée par ta queue qui m'inonde les entrailles et un sentiment de toute puissance m'envahit en pompant tes dernières gouttes de sève.



  • Peu après, je me lève en voyant un flot de sperme s'échapper de mes fesses et couler à l'intérieur de mes cuisses.

  • En souriant, je te montre du doigt ta sève qui dessine d'étranges arabesques blanchâtres sur mes bas.

  • Je glisse mon rosebud dans mon oeillet pour stopper ces coulées de stupre qui s'accrochent telles des guirlandes à mes cuisses gainées de nylon.

  • Puis, je te fais découvrir les nombreux jouets dont je me sers habituellement: vibro, gode gonflable, rosebud, spéculum, plug anal, vacuum, boules anales.

  • Pour les amateurs de sensations fortes, j'ai en réserve des godes de 8 à 10 cm de diamètres, des plugs urétraux, des parachutes pour les bourses, des cages de chasteté et un erostek.

  • J'ai acquis un grand savoir faire dans leurs maniements en devenant une dominatrice expérimentée.

  • Lors de ta prochaine visite, je les utiliserai pour te faire découvrir mes talents.

  • Je te ferai grimper au rideau en stimulant à la fois ton pénis, tes bourses, ton périnée et ton anus.

    - Je commencerai par te masturber entre mes cuisses gaînées de nylon.

  • Puis, je me mettrai à califourchon sur toi en te tournant le dos pour pilonner ton oeillet avec mon gode pendant que ma chatte brûlante de désir te pompera avidement la queue.

  • Je te porterai le coup de grâce en tournant lentement mes fesses sur ton pivot de chair jusqu'à ce que tu exploses dans mes reins.

  • Après t'avoir vidé les bourses, je garderai ma lingerie pour la nuit.

  • Avant de m'endormir, je plaquerai ta queue dans la raie de mes fesses pour que tu réalises ton fantasme de me violer pendant mon sommeil.



Dites-moi si vous aimeriez vivre ces jeux.





 





 

 



 













 



 





 

 



 

 









 



 









 

Publié dans : Utilisation de mes jouets intimes - Communauté : Se travestir - Par sandratvtg
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Mardi 1 août 2 01 /08 /Août 10:06

 

 

 

 

 

Rencontres libertines,



Par une belle journée d'été, mon téléphone sonne.
C'est Steve, le patron d'une boîte de travestis qui m'appelle.
- Allô Sandra, j'ai quatre nouvelles amies qui t'attendent au club.
- Merci d'avoir pensé à moi, j'arrive le plus vite possible, lui dis-je en raccrochant.
Je suis heureuse de son appel car je fais toujours de belles rencontres chez lui.
Dans ces étreintes sans lendemain, je peux vivre mes fantasmes les plus intimes avec comme seul motif de prendre et de donner du plaisir.
C'est donc avec impatience que je m'assois devant mon boudoir pour me maquiller et mettre mes faux cils.

Puis, je me coiffe d'une perruque blonde coupée au carré.

C'est avec fébrilité que j'enfile ma lingerie devant la glace en éprouvant toujours le même émoi.
Quel plaisir! Ce temps consacré au seul bonheur de se faire belle en devenant femme.

Je ne peux plus me passer de ces moments de volupté que je vis plusieurs fois par semaine chez moi ou lors de mes déplacements dans les hôtels.

J'agrafe ma guêpière avant de garnir mes balconnets de généreuses prothèses en silicone 105/D.
Je glisse sur mes hanches une adorable culotte ouverte qui me rend prête à faire l'amour en toute circonstance.
Je ne me lasse pas de contempler cet ensemble de satin et de dentelle si glamour qui met en valeur mon corps entièrement épilé par des séances au laser.

Puis, je déroule mes bas cervin sur mes jambes.

Je les accroche à mes jarretelles recouvrant ma culotte fendue.

Je suis consternée par toutes ces femmes qui font l'inverse en portant leurs culottes par dessus leurs jarretelles pour ne pas avoir à les détacher aux toilettes.

Elles perdent ainsi tout le raffinement et l'élégance de leur lingerie.

 

L'envie me prend de faire quelques pas dans ma chambre en frottant mes cuisses l'une contre l'autre pour entendre le crissement de mes bas.


Puis, je sors d'un tiroir mon fémidom qui est un préservatif féminin en retirant le petit anneau se trouvant à l'intérieur pour pouvoir l'utiliser en anal.

Allongée sur mon lit, je l'enfonce dans ma grotte en plaquant l'anneau le plus large contre mon périnée.
Cette protection est magique car je peux la garder toute la journée.

 

Lorsqu'une pulsion irrésistible m'emporte mon ami et moi, je n'ai qu'à relever ma jupe pour être prise discrètement sous une porte cochère, dans un parc, une cage d'escalier, une cabine d'essayage...

De plus, il n'a pas le temps de débander comme cela arrivait parfois le temps que je retire ma culotte et lui mette son préservatif.


Achevant de me préparer, je rentre ma queue entre mes cuisses en la fixant avec un adhésif.

Dans le miroir de ma chambre, je ne vois plus que mon triangle de vénus fendu d'un pli vertical qui évoque la naissance de ma chatte.

Puis, j'accroche à ma taille une jupe portefeuille très courte qui laisse entrevoir ma culotte.

J'adore la porter car son tissu souple épouse mes fesses en amplifiant leurs balancements quand je marche.

J'ajuste mon corsage en passant mes mains sous ma jupe pour le tendre et faire ressortir mes seins comme le font habituellement les femmes.
Pendant quelques minutes, je m'exerce devant la glace à prendre les poses et attitudes féminines.
Pressentant une journée mouvementée, j'avale un comprimé de viagra dans un verre d'eau avant de partir.

Enfin prête, je quitte mon appartement.
En descendant l'escalier, je sens l'excitante tension de mes jarretelles sur mes cuisses.

 

Par une belle journée ensoleillée, je marche dans la rue.

Mon corsage échancré découvre mes seins lourds et fermes qui se balancent au rythme cadencé de mes talons aiguilles sur l'asphalte.

 

J'éprouve du plaisir à provoquer du regard les hommes que je croise.
J'accentue le balancement de mes fesses engendré par mes escarpins en faisant virevolter ma jupe qui laisse entrevoir mes jarretelles à chacun de mes pas.

Le vent chaud qui s'engouffre entre mes cuisses me donne de sensuelles caresses que les femmes connaissent bien...

 

Je poursuis mon chemin en cambrant les reins pour attirer l'attention sur mes fesses.
Puis, je m'arrête devant une boutique de mode en relevant ma jupe pour ajuster mes bas.
Lorsque je tends mes jarretelles sur mes cuisses gainées de nylon, je ne peux m'empêcher de sourire en voyant le visage plein de désirs d'un de mes admirateurs se refléter dans la vitrine.
Une femme m'observant quelques mètres plus loin ayant découvert ma vraie sexualité me considère d'emblée comme une rivale.

Je lui souris en montrant que je ne suis pas indifférente à son charme.
Déstabilisée et troublée, elle ne sait plus quelle attitude adopter.

J'arrive enfin chez Steve qui m'attend à la porte de son club.
- Tu me fais bander dans cette tenue, s'exclame-t-il en glissant sournoisement sa main sous ma jupe.
- Sois sage, je m'occuperai de toi plus tard, lui dis-je d'un regard prometteur.
Mais mon corps trahit mes paroles en s'offrant à ses irrésistibles caresses.
- Viens, tu en as autant envie que moi, me dit-t-il en m'entraînant de force dans son salon.
A peine a-t-il refermé la porte qu'il fait jaillir son sexe de son pantalon.
- J'ai une folle envie de te sauter, me dit-il rouge d'excitation.
- Je veux bien te donner ce plaisir si tu me laisses faire, lui dis-je en m'approchant de lui dans une attitude provocante les seins dressés et le bassin en avant.

Sans attendre, je le pousse sur le divan en m'asseyant à califourchon sur son ventre.

Je retrousse ma jupe pour lui dévoiler ma guêpière et mes bas ornés de jarretières.


Les yeux brillants de désir, il plonge sa main dans mes dessous pour m'enlever mon fémidom.

- Je ne veux pas que tu mettes de préservatif avec moi.

Très impatiente de rencontrer mes nouvelles amies, je lui accorde ce privilège.

Je commence par le masturber en caressant la zone sensible de son périnée tout en lui malaxant les bourses.
Sans le quitter du regard, j'écarte la fente de ma culotte en m'empalant lentement sur sa verge.

La respiration coupée, il regarde sa queue disparaître dans mon ventre.

Puis, je presse son sexe avec mes muscles intimes pour faire monter son désir.
Il gémit de plaisir lorsque j'entame de lentes et puissantes bascules du bassin d'avant en arrière en provoquant de fortes tensions sur son frein.

J'aime cette position qui me permet d'imposer le rythme et de m'enfoncer sa queue jusqu'au ras des fesses.
Pour qu'elle devienne plus dure, je l'entoure avec l'un de mes bas en guise d'anneau pénien.
Dominant mon sujet, je poursuis mon travail de sape.

Le souffle de Steve s’accélère quand je le chevauche sur un rythme soutenu en lui caressant les bourses.

Lorsque je sens sa verge tressauter en moi, je l'achève en tournant lentement mes fesses sur son bâton de chair qui me sert de pivot.
Il jouit longuement dans une succession de spasmes qui me désarçonne à moitié.

A mon tour, je gémis de plaisir en sentant ses puissants jets de sperme fuser contre ma paroi anale.
En me levant, je suis surprise de voir d'épaisses coulées de sève ruisseler à l'intérieur de mes cuisses.

- Tu m'as mis la dose, lui dis-je en m'épongeant l'entrejambe.


Toujours tenaillée par le désir, j'ai une envie folle de le violer en le voyant allongé à moitié nu sur son divan.

Prise par le temps, je me fais une raison en me disant que d'ici peu, je pourrai m'en occuper.

Mes bas ayant filés lors de nos jeux, je sors une nouvelle paire de mon sac à main en les accrochant à mes jarretelles sous le regard brûlant de Steve.
Je le quitte rapidement en lui demandant de m'envoyer sa première protégée dans la chambre «chevalier d’éon»

En montant l'escalier quatre à quatre, j'ai à peine le temps de m'allonger sur le lit que Christelle apparaît dans l'embrasure de la porte.
C'est une charmante blonde aux traits fins.
Elle porte une nuisette transparente ainsi qu'un collant qui fait ressortir sa queue dans les moindres détails.

Les frottements du nylon sur son gland décalotté la fait se dresser devant mes yeux.


Son maquillage excessif et son rouge à lèvres outrancier témoignent à l'évidence de son manque d'expérience en la rendant provocante malgré elle...
Je prends conscience qu'il va me falloir jouer le rôle d'initiatrice dans cette rencontre.
- Approche, lui dis-je en me déshabillant rapidement.
Pendant qu'elle s'avance d'un pas hésitant, j'enlève mon corsage en dévoilant mes seins comprimés dans ma guêpière.
J'ai tout juste le temps de dégrafer ma jupe avant qu'elle n'atteigne mon lit.
Voulant me sentir vraiment femme, je garde ma culotte fendue pour dissimuler ma queue.


Christelle est maintenant immobile devant moi.
C'est une jeune transsexuelle hormonée dont les seins commencent à pointer dans son soutien gorge.
Abaissant son collant, je la masturbe en sentant sa queue parfaitement épilée et lisse se raidir entre mes mains.

Je la mordille doucement en m'arrêtant lorsque quelques gouttes translucides perlent à la surface de son gland.

Dans le même temps, je presse entre mes doigts la peau douce et satinée de ses bourses.

Puis, je m'allonge sur le dos en écartant les cuisses pour lui offrir mon œillet humide de désir.
Christelle reste un moment indécise en tentant de résister à ses pulsions.
- Baise moi ma belle, lui dis-je d'une voix pressante en écartant la fente de ma culotte.
Aiguillonnée par mes paroles, elle se jette sur moi comme un chien fou en me laissant à peine le temps de saisir son sexe pour le guider dans ma grotte.


Pendant qu'elle s'active avec fougue dans mes reins, une pensée surréaliste me vient à l'esprit.
Je repense aux milliers de va et vient qui m'ont labouré le ventre ces dernières décennies.
Mis bout à bout cela doit représenter des kilomètres de queues.


Les gémissements de plus en plus rapprochés de Christelle balayent cette image.

Les tressautements de sa queue dans ma chatte m'annoncent l'imminence de son orgasme.

- Oh non pas si vite, a-t-elle le temps de me dire en m'inondant le ventre de toute la sève de ses vingt ans.
Lorsque je la sens se vider dans mes entrailles, je serre sa taille dans l'étau de mes cuisses en contractant mes sphincters sur sa verge.

Ma main se referme sur ses valseuses pour l'empêcher de se retirer avant qu'elle ne finisse de se vider au plus profond de mes reins.
Ce n'est qu'après avoir pompé ses dernières gouttes de sève que je desserre mon étreinte.
Terrassée par l'orgasme, elle s'effondre sur moi en m'écrasant les seins.
Nous restons un long moment enlacées et soudées l'une à l'autre.

Quelques instants plus tard, Christelle m'enlève ma culotte.

Elle sourit en découvrant ma queue serrée entre mes cuisses.

- Laisse moi faire, me dit-t-elle.

Elle décalotte mon gland en tirant sur mes testicules pour provoquer une tension sur mon frein.

Elle me déclenche une érection spectaculaire en pressant la racine de mon sexe entre son pouce et son index.
Puis, ses lèvres remontent le long de ma hampe avant de se refermer sur mon gland.
Ses joues se creusent lorsqu'elle me pompe avec un savoir faire étonnant pour son âge.
Comme toutes les transsexuelles, elle s'acquitte de sa tâche avec un talent bien supérieur aux femmes.

Dans le même temps, sa main remonte le long de mes jarretelles en me caressant l'intérieur des cuisses.
- J'ai envie que tu me prennes, me dit-t-elle fascinée par ma queue qui se dresse maintenant devant ses yeux.
Allongée sur le dos, elle lève les jambes en écartant les cuisses pour s'offrir à moi sans pudeur.

Le contraste de son visage candide associé à son attitude dissolue me met dans tous mes états.
Ne pouvant résister plus longtemps à son appel, je la pénètre lentement pour qu'elle s'habitue au diamètre de ma verge.

Puis, je la masturbe en même temps sur des rythmes lents et rapides.
Quelques minutes plus tard, je sens son anus se contracter sur ma verge et sa sève fuser entre mes doigts.
Sans me quitter du regard, elle se trémousse avec une rare perversité sur ma queue jusqu'à ce que je décharge à mon tour dans ses fesses.
Je sors à regret de ses reins en m'exclamant:
- Tu as un tempérament de feu Christelle!
- J'aimerai te revoir pour te faire découvrir d'autres jeux.
Elle accepte ma proposition avec joie en venant se blottir dans mes bras.
Je la câline un moment avant de lui demander de partir.

A peine rhabillée, une superbe rousse fait irruption dans ma chambre.
Elle porte un corset rouge et noir et des cuissardes assorties qui affichent clairement ses penchants de dominatrice.
Claudia s'approche de mon lit d'un pas assuré.
Je rentre dans son jeu en rabattant craintivement ma jupe sur mes cuisses.
- N'aie pas peur, me dit-t-elle d'une voix moqueuse en soulevant ma jupe et en me troussant sans scrupule.
Surprise par la taille de mon clito, elle le sort de son écrin de lingerie.
- On dirait que je te fais de l'effet, s'exclame-t-elle ravie.
Profitant de son emprise sur moi, elle m'entraîne sur le lit en m'allongeant sur le ventre.
Sortant une queue massive de son slip brésilien, elle vient se glisser entre mes cuisses.
D'un doigt inquisiteur, elle explore l'entrée de ma grotte en s'immobilisant sur l'anneau en latex de mon fémidom.
- Retire cela immédiatement, me dit-t-elle d'un ton sans réplique.
- Je l'ai mis pour que ses reliefs internes te donnent davantage de plaisir.
La voyant hésiter, je la masturbe pour la faire fléchir.
- Tu peux le garder, finit-t-elle par me dire.
Sans perdre de temps, elle s'allonge entre mes cuisses en appuyant son gland turgescent contre mon anneau.
- Pousse dès que je commence à t'enfiler, me dit-t-elle avec une pointe d'excitation dans la voix.
Mes sphincters finissent par céder et je sens son sexe s'enfoncer d'un coup jusqu'à la garde.
Après une brève douleur, mon désir monte crescendo lorsqu'elle pilonne mon point G avec une précision diabolique.

J'ai la respiration coupée lorsqu'elle me baise à grands coups de reins.


Dans le silence de la chambre, j'entends les claquements réguliers de son ventre contre ma croupe et les frottements de sa queue dans mon préservatif féminin.
Quand je la sens sur le point d'exploser, je glisse ma main entre ses cuisses pour lui malaxer les bourses.
Je l'entends râler de plaisir quand je fais tourner ma croupe sur sa queue jusqu'à ce qu'elle jouisse en moi.
Puis, elle se rhabille sans dire un mot et sort de ma chambre en me laissant dans un état d'excitation intense.

Heureusement, deux jolies brunettes lui succèdent dans l'encadrement de la porte.
Natacha et Sabrina portent la même adorable guêpière gris perle ornée de dentelle rose.
Je les regarde s'approcher de moi en étant toujours tenaillée par le désir.
Elles sont craquantes avec leurs jambes interminables et leurs cuisses fuselées.
Ne parvenant pas à détacher leurs regards de mon sexe en érection, elles me demandent de réaliser un de leur fantasme.
Les sens mis en ébullition par Claudia, j'accepte leur proposition en commençant à les masturber toutes les deux en même temps.
Natacha est la première à me montrer ses attentes.
- Viens sur le lit ma belle, je vais commencer avec toi.

En lui tournant le dos, je m'empale à califourchon sur sa verge.
Puis, j'interpelle Sabrina.
- C'est le moment de vivre ton fantasme ma chérie.
Fascinée par le sexe de Natacha qui va et vient en moi, elle reste un moment immobile avant de venir entre mes cuisses.
Puis, elle me prend dans sa bouche tout en m'embrochant à son tour.
Avec une synchronisation parfaite, elle plonge sa queue dans mon fourreau anal quand celle de Natacha en sort.
Doublement sodomisée et pompée, je ne tarde pas à jouir en jets puissants dans la gorge de Sabrina.


Enfin calmée, je me concentre sur Natacha.
- A ton tour, lui dis-je en lui lançant un regard torride.
Ondulant de la croupe, j'entreprends un irrésistible massage fessier dont j'ai le secret.
Attentive à la montée de son orgasme, je me trémousse de plus belle sur sa queue.
Le moment venu, je l’achève par de lentes et puissantes bascules du bassin.
Tremblante de la tête au pied, elle gémit de plaisir en se vidant en moi.


Le souffle court devant ce spectacle, Sabrina continue à s'activer dans mes fesses en voyant le sperme de son amie couler le long de sa hampe.
Je lève alors mes jambes gaînées de nylon en écartant les cuisses pour qu'elle puisse s'enfoncer plus à fond dans ma chatte.
Calant ses épaules dans le creux de mes genoux, elle m'embroche jusqu'à la racine de son sexe.
- J'adore te baiser de cette manière, s'exclame-t-elle!


Reprenant l'initiative, je la bascule sur moi en éperonnant sa croupe avec mes talons aiguilles.
Telle une mante religieuse qui immobilise sa proie, je serre sa taille entre mes cuisses en contractant mes sphincters pour mieux sentir les va et vient de sa queue qui m'embroche.


Lorsque Sabrina est sur le point de jouir, je sors sournoisement mon gode de dessous l'oreiller pour l'enfoncer dans ses fesses.
Surprise, elle se cabre pour tenter d'échapper à ce pal qui la fouille avec insistance.
- Non pas maintenant, c'est trop tôt, a-t-elle le temps de me dire avant d'exploser en moi dans une série de spasmes.

Restée seule, je m'empresse de remettre de l'ordre dans ma lingerie.
J'ajuste ma perruque en me donnant un coup de peigne sans oublier de retoucher le contour de mes lèvres.
Enfin, je sors une ravissante culotte en satin de mon sac à main car mes jeunes amies ont bien amidonné celle que je porte lors de leurs assauts et j'enfile rapidement ma jupe pour rattraper mon retard.
J'ai en effet rendez-vous avec Mirella qui est une amie de longue date.

En redescendant dans le hall d'entrée, je croise une jolie blonde assise dans un fauteuil.
Mon regard est attiré par le renflement qui déforme le devant de sa jupe.
Je m'arrête à sa hauteur en l'interpellant:
- J'aimerai bien voir ce que tu caches entre tes cuisses.
Nullement gênée par ma demande, elle soulève sa jupe en me montrant enfoui dans ses dessous un gode solidement attaché à sa taille.
Elle l'agite sous mes yeux en me fixant d'un regard plein de promesses.
Il est relativement court mais c'est surtout son diamètre de neuf centimètres qui m'impressionne.
Voyant ma surprise devant un tel calibre, elle me dit en souriant:
- Je le porte ostensiblement sous ma jupe pour attirer les hommes qui aiment se faire prendre par une femme.


Je contemple avec envie cette queue épaisse que ma jolie Domina serre entre ses cuisses car je sais que j'aurai beaucoup de plaisir à être sodomisée par cette talentueuse professionnelle.

Avec son gros diamètre, il donne des sensations fortes, m'assure-t-elle d'une voix chaude en me voyant fixer le gode avec envie.
- Viens dans mon donjon, tu ne le regretteras pas, rajoute-t-elle en glissant sournoisement sa main sous ma jupe.
- C'est dommage que la place soit déjà prise! S'exclame-t-elle en sentant la présence de mon rosebud.
Étant en retard, je la quitte à regret en me promettant de revenir la voir dés que possible.

Chemin faisant, je me félicite de porter une culotte ouverte qui laisse vivre mon bijou anal dans ma chatte.
C'est un Niki XXL de chez Julian Snelling mesurant six centimètres de diamètre.
En le lubrifiant avec un gel silicone, je peux le garder toute la journée sans problème.
C'est très différent d'un plug de même diamètre qui a une base plus large.

En laissant l'anus ouvert en permanence, il provoque des envies fréquentes d'aller aux toilettes quand on le garde plus d'une heure.

En poursuivant mon chemin, le poids de mon rosebud me donne d'excitantes tensions dans le bas ventre pendant que sa tige en laiton vient presser mon périnée et la racine de ma queue.
A la recherche de davantage de plaisir, je m'arrête devant une vitrine en écartant les jambes.
Entraîné par son poids de 600gr, je sens mon bijou anal glisser de ma grotte.

La peur de le voir tomber sur le trottoir à la vue des piétons majore mon excitation.
Au dernier moment, je contracte fortement mes fesses pour éviter qu'il ne m'échappe.
Je frissonne de plaisir lorsqu'il remonte d'un coup en se plaquant contre mon point G.
Je recommence plusieurs fois cet agréable massage sous le regard indifférent des passants.
Ce petit jeu a également l'avantage de fortifier mes sphincters en me permettant de serrer plus fortement la queue de mon ami.

Cela me fait repenser à notre dernière soirée.
A peine arrivé chez moi, il glisse sa main sous ma jupe pour s'assurer que mon bijou anal garde bien l'entrée de ma grotte.
Il exige que je le porte quelques heures avant son passage pour que ma chatte soit déjà ouverte et humide de désir.
M'ayant allongée sur le lit, il utilise l'un de mes nombreux jouets que je laisse traîner sur ma commode pour finir de me dilater la chatte.
On y trouve pèle mêle: vibro, gode, gode ceinture, plug gonflable et vibrant, plug urétral, spéculum, anuros, vacuum, fleshlight, boules anales et quelques accessoires sado maso.


Après lui avoir fait l'amour dans toutes les positions, je m'apprête à m'endormir en conservant ma lingerie coquine pour raviver ses pulsions fétichistes durant la nuit.

Avec rouerie, je lui tourne le dos en plaquant sa queue dans la raie de mes fesses pour lui donner l'envie de me violer pendant mon sommeil.
Quelques heures plus tard, comme prévu, je sens sa main caresser la lisière de mes bas et se glisser entre mes cuisses...
Heureuse de le voir tomber dans mon piège, je reste immobile pour lui faire croire que je suis endormie.
Puis, il allume la lampe de chevet en me retournant sur le ventre.
Me voyant abandonnée et sans défense, il me trousse sans scrupule en jouant avec moi comme avec une poupée.
Il plonge sa tête sous ma nuisette en explorant mon œillet avec sa langue.
Ses attouchements deviennent de plus en plus précis et je me mords les lèvres pour retenir mes gémissements.

Je sens maintenant sa queue coulisser dans le sillon de mes fesses et son gland frapper à l'entrée de ma grotte.
Faisant semblant d'avoir un sommeil agité, je l'aide en écartant les cuisses et en cambrant le dos pour qu'il me pénètre plus facilement.
Il s'enfonce alors en moi de tout son poids en me basculant sur le côté pour pouvoir aller et venir dans mes reins sans fatigue.

 

Le lendemain matin, je sais qu'il m'a violée plusieurs fois dans la nuit car lorsque je me lève d'abondantes coulées de sève s'échappent de ma chatte et ruissellent à l'intérieur de mes cuisses en dessinant des arabesques blanchâtres sur mes bas.

En passant devant la glace, je ne peux m'empêcher de sourire en voyant ma nuisette satinée imprégnée de larges auréoles à l'endroit de mes fesses qui témoignent de ses assauts durant la nuit.

Perdue dans mes sulfureuses pensées, j'arrive enfin chez Mirella.
C'est une cubaine qui habite Paris depuis cinq ans.
Elle m'ouvre la porte habillée d'un superbe déshabillé ivoire qui met sa peau bronzée en valeur.
Ses traits fins et son corps de liane ne laisse planer aucun doute sur sa féminité.
Seule, sa lingerie transparente trahit la présence de sa queue d'ébène.
Elle est massive et épaisse comme je les aime.
- Tu es en retard, me dit-t-elle sur un ton comminatoire.
Je l'embrasse longuement en caressant ses seins splendides pour me faire pardonner.
Elle esquisse un sourire forcé et me fait asseoir dans son divan en m'offrant une tasse de thé.
Au cours de notre conversation, je croise et décroise lentement mes jambes pour lui laisser entrevoir mes jarretelles.
Quelques instants plus tard, je prends sa main en la glissant sous ma jupe pour qu'elle explore ma culotte en satin qui moule ma queue dans ses moindres détails.

Lorsque Mirella écarte la fente de ma lingerie, je serre son bras entre mes cuisses pour stopper sa progression et faire monter son désir.
Excitée par mon attitude, elle me caresse avec sa main restée libre.
Poursuivant son exploration, elle aperçoit le bijou anal qui garde l'entrée de ma grotte.
Ses yeux sont attirés par le saphir en cristal incrusté dans son socle qui brille de tous ses feux.
- Il est splendide, me dit-t-elle admirative.
- Il est aussi très efficace, rajoute-t-elle en passant son doigt sur mon gland humide.
Soudain, son attention est attiré par des tâches blanchâtres qui maculent le haut de mes bas.
- Mais, c'est du sperme, me dit-t-elle d'un air outré.
- Viens que je t'examine, rajoute-t-elle d'une voix autoritaire en m'enlevant mon corsage et ma jupe.
Ses mains s'attardent avec sensualité sur mes seins avant d'explorer l'intérieur de mes cuisses.

Elle contemple un instant mon triangle de vénus, ma chatte et ma queue épilée.
- Tu es craquante ma chérie, me dit-t-elle avec un rire de gorge qui me laisse présager quelques surprises.
Elle m'allonge sur sa table d'examen en bloquant mes pieds dans les étriers.
Puis, se plaçant entre mes jambes, elle joue avec mon rosebud en le tiraillant avec ses dents.
Peu après, elle l'enlève ainsi que mon fémidom.
- Combien de queues as tu prises dans les fesses aujourd'hui? me dit-t-elle en l'agitant d'un air outré devant mes yeux.
- Il contient au moins 10 cl de sperme, rajoute-t-elle scandalisée.
Je souris intérieurement en pensant que certaines fois, je rentre chez moi avec ma protection complètement pleine.
- Puisque tu es si bien disposée, je vais en profiter, me dit-t-elle en me lançant un regard ambigu.
Elle me plonge son spéculum XO dans la chatte en le laissant en place de longues minutes pour m'assouplir l'anus.

Peu après, ayant enfilé des gants en latex, elle glisse ses doigts un à un dans mes fesses.
Elle les fait coulisser lentement dans mon fourreau tout en me masturbant.
Puis, forçant mon passage, elle plonge sa main dans mon ventre en m'arrachant un cri de douleur.
- Te voilà prête pour la suite ma chérie, me dit-t-elle en m'entraînant dans la pièce voisine.

Je découvre alors un étrange objet équipé d'une selle qui me fait penser à un cheval d'arçon.
- Enfourche le, me dit-t-elle avec autorité.
A l'aide de vérins, elle règle minutieusement la hauteur de la selle pour que mes jambes restent bien tendues tout en bloquant mes pieds au sol dans des attaches spéciales.
Puis, elle me bâillonne avec l'un de ses bas en me liant les mains dans le dos.
Je suis totalement en son pouvoir lorsqu'elle actionne sa télécommande en déclenchant l'ouverture d'une trappe sous moi.
- Il y a un cône en métal de trente centimètres pointé sous tes fesses qui va t'empaler dans un instant, me dit-t-elle en écartant la fente de ma culotte pour l'appuyer contre mon œillet.
Lorsqu'elle pianote à nouveau sur son clavier, je sens le pieu s'enfoncer imperceptiblement mais inexorablement dans ma grotte.
Mon œillet se contracte au contact froid de l'inox.
- Détends toi ma chérie, me dit Mirella en me masturbant d'une main experte.
Ses caresses lèvent mes dernières craintes.
Au départ, j'éprouve plutôt des sensations agréables.
Le fait d'être complètement soumise à cette machine sans pouvoir l'arrêter m'excite les sens.
Les pieds cloués au sol, je ne peux échapper à la poussée du pieu qui devient de plus en plus forte.
Un quart d'heure plus tard, je ressens un plaisir mêlé de douleur.
Vient le moment où j'ai vraiment l'impression d'être ouverte en deux.
Puis, j'ai la respiration coupée quand cette énorme masse s'enfonce toujours plus loin en me dilatant implacablement les chairs.
J'éprouve alors des sensations à la limite du supportable.
Voulant abréger cette pénétration devenue éprouvante, je pousse pour m'ouvrir l'anus et m'embrocher plus rapidement.
Malgré mon regard suppliant, Mirella laisse le cylindre poursuivre sa lente progression dans mes entrailles.
Quelques minutes plus tard, je suis empalée jusqu'à la garde en voyant ma queue dressée prête à exploser.
- J'ai orienté le pal pour qu'il stimule ton point G, m'explique-t-elle.
- C'est pour cela que tu bandes si fort, rajoute-t-elle en riant.
- Ton anneau est maintenant bien ouvert, me dit-t-elle d'une voix suave.
Puis, tout en me masturbant, elle fait vibrer le cône en inox dans mes reins.
Je craque lorsqu'elle fait glisser son ongle le long de mon frein.
- Tu jouis du cul, s'exclame-t-elle en voyant quelques gouttes incolores perler à la surface de mon gland.
Elle le prend en bouche pour recueillir ma sève qui sort lentement et en continu de ma verge.
Complètement sonnée par cet orgasme anal, je regarde le mince filet de sève qui coule sans fin de ma queue.
Peu après, elle me détache en me faisant enfiler une ravissante nuisette en satin rouge.
- Va m'attendre dans ma chambre pendant que je me prépare.

Elle me rejoint revêtue d'un corset qui moule ses formes à la perfection.
Sur son ventre est plaqué un énorme gode ceinture creux dans lequel elle a glissé son sexe.
- Comme tu aimes les gros calibres, j'ai mis cette prothèse pénienne pour ne pas te décevoir.
Elle m'embrasse à pleine bouche en pressant ses seins splendides contre moi.
L'instant d'après, elle m'allonge sur le dos en s'agenouillant entre mes jambes.
- Remonte ta nuisette, ma chérie.
Elle contemple un instant ma chatte restée largement ouverte par les pénétrations précédentes.
Puis, elle enfonce d'emblée trois doigts dans ma grotte en les recourbant vers le haut pour stimuler ma glande d'amour.
Poursuivant son fist, Mirella sourit en sentant mes sphincters se contracter sur son poignet.
Contrôlant mal mon émotion, ma queue jaillit d'un coup par la fente de ma culotte ouverte.
- Tu aimes ça, n'est ce pas ma chérie, s'exclame-t-elle en retirant sa main de mon fourreau pour me caresser la verge.
- Je suis impatiente de te baiser, rajoute-t-elle en m'écartant les cuisses et en appuyant son gode contre mon œillet.
Pointant le mandrin à l'entrée de ma grotte, elle l'engage par petites pressions successives.
Sans me quitter du regard, elle s'agrippe à mes hanches pour l'enfoncer jusqu'à la garde.
Puis, elle glisse sur ma queue l'un de ses luxueux bas cervin aux mailles brillantes.
Tout en s'activant dans mes reins, elle me masturbe avec son fabuleux manchon.

Les frottements répétés des mailles satinées sur mon gland me provoquent une forte érection.
- J'aime sentir ta queue se durcir dans ma main quand je te baise, me dit Mirella en souriant.
Je ne suis plus qu'une machine à jouir dont elle use et abuse.
Quelques instants plus tard, je vois ma sève se répandre en coulées blanchâtres sur ma nuisette.
Mirella prolonge mon orgasme en pilonnant mon point G.

Peu après, elle se retire de mes reins en m'interpellant:
- A ton tour de me donner du plaisir!
Décidée à la surprendre, je l'allonge sur le dos en enfilant un mini bas en latex sur mon pied.
Puis, je le plonge dans son œillet brûlant de désir.
Grâce à mes lentes rotations, je le fais rentrer peu à peu jusqu'au talon.
Très excitée, Mirella saisit mon pied entre ses mains en le faisant coulisser en elle.
Lorsque je la vois trembler de désir, je le retire de ses fesses pour m’asseoir à califourchon sur sa queue dressée.
Sa respiration s’accélère quand je m'empale dessus de tout mon poids.
Sans la quitter des yeux, je décuple son plaisir en enfonçant une à une des boules anales dans ses fesses.
Quand elle explose en moi, je tire sur le fil en sortant d'un coup les boules de sa grotte.
Elle pousse alors un grand cri suivi de nombreux spasmes avant de s'immobiliser.
Lorsque je vois sa queue ruisselante de sperme sortir de mes reins, je ne peux m'empêcher d'envier les femmes qui pompent par tous leurs orifices des dizaines de litres de sève à leurs amants durant leurs vies.
Épuisées et comblées nous ne tardons pas à nous endormir dans les bras l'une de l'autre.

Merci de me laisser vos commentaires sur ce récit.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 




Publié dans : Récits transsexuelles - Communauté : Homme aimant se travestir - Par sandratvtg
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Samedi 29 juillet 6 29 /07 /Juil 17:42

 

Avant de commencer la séance, je me mets en condition pour me déclencher une puissante excitation cérébrale.

Pour cela, je me suis épilée, maquillée et coiffée d'une perruque blonde coupée au carré pour vivre ma journée en fille.

Je porte une ravissante guêpière dont les bonnets 105/D menacent d'exploser sous le poids de mes lourdes prothèses en silicone.

Sous leurs pressions, je sens mes bretelles de soutien gorge s'incruster dans mes épaules

Une culotte ouverte, des jarretières, des bas à coutures et des talons aiguilles complètent ma tenue glamour.

J'adore me voir dans ma superbe lingerie en prenant des poses suggestives devant la glace.

Pour paraître plus femme, j'ai caché ma queue entre mes cuisses en la fixant avec des bandes adhésives.

Puis, je frotte sensuellement mes cuisses gainées de nylon l'une contre l'autre pour entendre l'excitant crissement de mes bas.

Peu après, je libère ma queue en m'allongeant sur mon lit dans ma position favorite.

Pour cela, je glisse un coussin sous mes fesses tout en fléchissant les genoux pour obtenir une pénétration plus profonde.

C'est dans cette position offerte et féminine que je lubrifie ma chatte totalement épilée.

J'aime sentir sous mes doigts ses replis doux et satinés par le silicone.



Tout en me caressant sensuellement les seins, je songe au scénario que je vais improviser devant ma glace pour obtenir une jouissance anale plus forte et intense qu'un orgasme pénien.

 

Puis, j'ouvre le colis envoyé par mon ami en me doutant un peu de son contenu.

Je sors de son emballage un gode massif et lourd qui a tout d'un vrai pénis.

Un petit mot est joint à mon attention : 

« Pour combler tes envies pendant mon absence »

Il m'a généreusement servie car il est impressionnant...

En le regardant sous tous les angles, je me dis qu'il ne va jamais passer car il est vraiment très, très gros.

Il a un gland épais et un frein merveilleusement dessinés comme je les aime.

Sa hampe va en s'élargissant jusqu'à ses bourses énormes qui remplissent mes paumes de mains.

Je ne peux m'empêcher de fantasmer en effleurant avec mes doigts ses grosses veines saillantes qui me donneront sans nul doute des sensations fortes.

J'en ai maintenant tellement envie dans ma tête que je me sens prête à le recevoir physiquement.



C'est avec fébrilité que je le pose sur mon ventre en étant

fascinée par cette queue lourde et massive qui va de mon pubis à mes seins.

Mon cœur bat la chamade quand j'écarte la fente de ma culotte en le posant contre mon œillet.

A mon excitation cérébrale s'ajoute maintenant le plaisir physique de la dilatation quand en exerçant une pression forte et continue je le fais rentrer en moi.

Ma rosette s'ouvre lentement sous la poussée du gode généreusement lubrifié.

J'ai la sensation d'être ouverte en deux lorsqu'il me pénètre en m'écartant les chairs.

Une fois le gland rentré, je m'arrête un instant pour souffler.

Quel bonheur de se sentir bien prise!

Je stimule avec précision mon point G tout en pressant la racine de mon sexe pour bander davantage.

J'amplifie les va et vient de cette énorme queue en la serrant entre mes cuisses et en contractant mes muscles intimes pour mieux la retenir.

Je ressens maintenant les plaisirs de la dilatation extrême, l'anus étant mieux vascularisé et innervé qu'un vagin.

 

Par de puissantes bascules du bassin d'avant en arrière, je m'embroche jusqu'à la garde en voyant le gode disparaître dans ma culotte fendue.

Lorsque son socle vient se plaquer contre mes fesses, je reste un instant immobile pour savourer ce moment de me sentir « bien remplie. »

Puis, je bloque la ventouse de mon jouet sur mon matelas.

Quand il sort de mes reins, j'utilise le poids de mon corps en écartant les cuisses et en poussant pour m'empaler à nouveau dessus.

Assise sur mon lit, je creuse les reins en tournant lentement ma croupe sur ce pieu qui me sert de pivot pour mieux sentir ses veines dessinées sur sa hampe me limer la chatte.

Quand il sort de mes fesses, je me laisse retomber dessus dans des gémissements de plaisir.

Les fortes pressions exercées sur ma prostate font s'échapper quelques gouttes de sève de ma queue.

Les frottements de mon gland décalotté sur ma culotte satinée amplifient mon émoi.

Je ne tarde pas à voir des auréoles blanchâtres imprégner ma lingerie.

En m'allongeant sur le dos, je cambre les reins en pressant mon gode entre mes cuisses.

Quand il sort de mes fesses, je vois dans le miroir ma rosette glisser lentement sur sa hampe et s'étirer comme si elle voulait le retenir avant de s'enrouler à nouveau dessus lorsque je m'empale dans des gémissements de plaisir.

Le désir monte crescendo dans mes reins et je sens maintenant le pal tressauter dans ma main sous l'effet de mes contractions anales.



Sachant que je ne pourrai plus tenir très longtemps, je pose mon vibro sur mon frein qui est aussi sensible qu'un clitoris tout en massant mon périnée.

Comme une femme qui se masturbe en caressant son bouton d'amour et en contractant son vagin et ses cuisses pour jouir, je titille mon frein en comprimant mes sphincters sur le pieu qui m'embroche.

Cette triple stimulation, (Pénis Périnée, Prostate) déclenchent rapidement mon orgasme.



Une vague déferlante de plaisir m'emporte et une épaisse coulée blanchâtre sort lentement de ma verge en inondant ma guêpière. J'ai l'impression de jouir comme une femme qui voit sa cyprine couler de sa chatte et ruisseler entre ses cuisses.

Terrassée par ce fabuleux orgasme anal, je serre mon gode entre mes cuisses pour finir de me vider.

Étourdie de plaisir, je reste un moment immobile en me sentant totalement comblée.

Embrochée jusqu'au nombril, je n'arrive pas à détacher mon regard de l'impressionnante ventouse du gode qui recouvre mes fesses.

Lorsque je le retire, j'éprouve un sentiment de frustration en voyant ma chatte béante dans l'attente d'une nouvelle proie à dévorer.



Je suis devenue addict à mes plaisirs solitaires car je sais mieux que personne me donner du plaisir.

Quand mon ami me sodomise dans ma lingerie glamour, cela me procure une forte excitation mentale mais sur le plan physique, il faut qu'il me dilate ensuite avec mes gros calibres de 7 et 8cm pour que j'éprouve une jouissance physique intense.

J'ai besoin des deux pour être comblée.



Je finis par me lever pour changer ma lingerie recouverte de sperme.

Un peu plus tard, toujours taraudée par le désir, je m'allonge sur mon lit en lubrifiant ma queue et mon anus d'un gel conducteur de courant.

Puis, j'enfonce un plug anal en inox de 6 cm de diamètre dans ma grotte en posant un anneau pénien serti d'un fil électrique sur mon frein et deux patchs à électrodes sur mes bourses.

J'achève ma préparation en connectant les fils à mon boîtier erostek tout en sélectionnant un programme pour chaque zone.

Dés que j'active le courant, je sens de puissantes ondes m'irradier l'anus.

A leur tour, sous l'effet des stimulations électriques, ma queue se soulève en cadence en contractant mes bourses sur le même rythme.

Mon plaisir monte crescendo quand les vibrations deviennent de plus en plus intenses.

Le courant transperce maintenant ma queue et mon anus en se propageant en vagues successives dans mon ventre.

Je me laisse submergée par la vague de plaisir qui m'emporte en contemplant l'épaisse coulée de sève qui se répand lentement en continu sur ma guêpière.

Lors de ces séances d'électro sexe, je remarque que ma source de vie est toujours plus abondante.

L'autre avantage de cette technique c'est que je peux recommencer en ayant cette fois des orgasmes secs qui me permettent de garder mon érection.

Sans éjaculation, j'ai alors la possibilité de jouir plusieurs fois de suite comme une fille.

Après des mois de pratique, je suis aussi devenue addict à ce plaisir car mon cerveau a transformé les stimulations électriques en sensations érotiques.

Dites moi comment vous vous servez de vos jouets.













 











 





 









 











 



 



 

 





 



 



 

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Jeudi 29 juin 4 29 /06 /Juin 18:51

 

L'évolution de ma sexualité au cours des années.





Au fil des jours, je suis devenue plus cérébrale à la recherche de sensations fortes.

De nouveaux désirs se sont imposés à moi au fil des jours.

Ma part de féminité devenant de plus en plus forte, j'ai décidée de consacrer une bonne partie de mes loisirs à ma vie de femme.

Quel bonheur de passer du temps à me maquiller devant mon miroir.

J'ajuste avec soin ma perruque blonde coupée au carré.

Ouvrant mon armoire remplie de lingerie, je choisis avec fébrilité la guêpière, le string, la nuisette et les escarpins que je vais porter...



J'adore vivre ces moments sensuels que seules les femmes connaissent:

Sentir mes bretelles de soutien gorge 105/D s'incruster dans mes épaules sous le poids de mes seins.

Percevoir le lourd balancement de ma poitrine siliconée à chacun de mes gestes.

Sentir l'excitante tension de mes jarretelles sur mes cuisses et la ficelle de mon string qui me rentre dans les fesses.

Apprécier le doux contact de ma nuisette satinée sur ma peau.

Entendre le crissement de mes bas quand je frotte mes cuisses l'une contre l'autre.



Marcher dans la rue en me déhanchant pour accentuer le balancement de mes fesses initié par mes escarpins.

Sentir le vent chaud s'engouffrer sous ma jupe et me caresser sensuellement les cuisses...

Entendre le bruit cadencé de mes talons aiguilles sur asphalte.

C'est pour ces raisons que j'aime sortir dans les rues le soir et m'exhiber en fille sur le web.



Ayant un style BCBG, j'attache beaucoup de soin à mon apparence.

J'admire tellement la beauté des femmes que je veux leur ressembler en copiant leurs gestes et attitudes.

Avec l'expérience, je suis devenue une fille crédible avec un profil agréable à regarder.



Fervente adepte du plaisir anal, j'aime jouer avec mes godes, plugs, speculums, vacuum avant d'être prise.

Comme le font certaines femmes, je me sers d'un vibro pour m'exciter le clito et de mon anus comme d'un vagin.

Je presse mon gode entre mes cuisses gainées de nylon tout en contractant mes muscles intimes pour le sentir vivre en moi.



Je regrette que mon amie ne partage pas mes jeux car elle se prive de tout ce qu'une femme phallique peut lui apporter au lit. (soumission, domination, inversion des rôles, bondage, fétichisme...)

J'ai cependant eu la chance de croiser le chemin d'une domina vénale qui vient me voir de temps en temps pour me faire vivre mes fantasmes.

Quelques semaines avant sa visite, Natacha m'impose le port d'une cage de chasteté pour m'obliger à rester sage.

Elle ignore que j'arrive à jouir sans me masturber en m'empalant sur mon gode.

 

La veille de son passage, je me prépare aux dilatations extrêmes qu'elle va m'imposer en portant la nuit comme le font certaines actrices porno, une culotte garnie d'un gode interne de 5 cm de diamètre pour dilater mon oeillet pendant mon sommeil.

Le matin, j'ai la chatte humide avec pleins de désirs dans la tête .



C'est avec impatience que j'attends ma perverse maîtresse en pensant aux tourments qu'elle va m'infliger.

Pour l'occasion, je me suis soigneusement maquillée, parfumée et épilée.

Satisfaite de mon apparence, je pose longuement devant la glace en me sentant vraiment femme dans ma lingerie glamour.

J'adore porter ces dessous sublimant ma féminité qui accroissent mon envie d'être prise.



A peine arrivée, Natacha voulant affirmer sa domination me renverse sur le lit.

Impatiente de montrer ses talents, elle commence par se servir des nombreux jouets que je laisse traîner délibérément sur ma commode.

Me sachant une fervente adepte de la sodomie, elle sait qu'elle doit utiliser de gros calibres pour provoquer mon érection.

Puis, elle me glisse un spéculum XO dans les fesses pour finir de me dilater.

C'est un cylindre creux qui permet d'obtenir un parfait cerclage de l'anus bien plus efficace que ceux à deux ou trois branches.

Je sens mes chairs s'écarter lentement sous l'action de ma Maîtresse.

- Actuellement, tu es dilatée à 7 cm, m'assure Natacha.

- C'est le diamètre d'une bouteille de bordeaux qui me permet déjà

de te fister, me précise-t-elle.

Quelques instants plus tard, elle s'arrête en voyant mon visage marqué par cette séance de dilatation devenue éprouvante.

- C'est maintenant l'équivalent d'une bouteille de champagne qui est plongée dans tes fesses, s'exclame-t-elle en plaçant un miroir entre mes cuisses pour que je vois ma chatte dilatée à l'extrême.



Elle poursuit en me plongeant un plug urétral dans la verge et un autre dans l'anus pour stimuler ma prostate à la fois par voie interne et externe.

Avec précision, elle guide entre ses doigts la tige en inox de trente centimètres qui s'enfonce lentement par son propre poids dans mon urètre avant de la faire aller et venir dans ma queue.

Puis, elle me retire le plug et vient se placer entre mes cuisses en ajustant sur ses hanches un impressionnant gode ceinture.

Sous l'emprise d'un forte excitation, elle me viole à grands coups de reins en s'enfonçant en moi jusqu'à la garde.

A l'instar des femmes qui caressent leur clito et contractent leur vagin pour jouir, je titille mon frein en serrant mes sphincters sur ce sexe qui me transperce les entrailles pour mieux le sentir aller et venir dans mes reins.

Natacha finit par se retirer de mes fesses pour enfiler sur ses bras de longs gants en latex qu'elle lubrifie avec du crisco.

Elle s'approche de moi en levant les mains comme un chirurgien qui s'apprête à officier.

Je suis allongée sur le dos, les poignets attachés aux barreaux du lit.

Elle m'écarte les cuisses en plaçant deux coussins sous mes fesses pour pouvoir s'enfoncer plus à fond dans mes reins.

Enfin, elle me pose un bandeau sur les yeux pour que je me concentre sur mon plaisir.

Je sens sa main gantée me fouiller lentement et profondément le ventre.

Je prends conscience que ma jouissance anale est devenue au fil du temps de plus en plus forte au point de ne plus pouvoir m'en passer.

Mon addiction est devenue autant physique que psychique.

Quand je pense qu'il y a encore quelques années, je croyais qu'on ne pouvait pas jouir du cul.



Ma maîtresse s'active maintenant de plus belle entre mes cuisses.

J'ai la respiration coupée en ayant l'impression d'être ouverte en deux lorsque sa main franchit la première courbure de mon intestin.

Ayant passé cet obstacle, elle peut maintenant m'enfoncer son bras plus à fond.

Lorsque les contractions de mon anus deviennent plus fréquentes, elle m'enlève ma cage de chasteté en plongeant ma queue jusqu'au fond de sa gorge.

Elle me pompe avec une telle ardeur que je vois ses joues se creuser sous les puissantes aspirations de sa bouche.

Dans le même temps, elle masse par de lents mouvements circulaires mon point G avec la pulpe de ses doigts qu'elle alterne avec de savantes pressions sur ma glande.

Ne pensant plus qu'à jouir, j'écarte les cuisses en l'implorant du regard pour qu'elle m'achève.

Ses yeux rivés dans les miens, elle me porte le coup de grâce en faisant tourner vicieusement son poignet dans ma grotte.

Ne pouvant résister plus longtemps à cette Domina expérimentée, je jouis du cul en me vidant lentement et en continu dans sa gorge en râlant de plaisir.

Puis, Natacha me détache et m'enlève mon bandeau pour que je vois le fascinant spectacle de ses doigts plongés dans mon ventre qui me soulèvent la peau à hauteur du nombril.

Stimulée par cette vision, je saisis son bras à deux mains en m'empalant jusqu'au coude.

- Tu es vraiment insatiable, me dit-t-elle en riant.

Certaines fois, le scénario est différent car Natacha préfère utiliser mon gode caterpilar.

C'est un beau jouet annelé pesant 1,2 kg qui s'élargit progressivement pour atteindre 8 cm à sa racine.

Lorsque ma chatte est béante de désir, elle peut ensuite m'empaler avec son plug sphérique B52 réservé aux initiés et qui mesure 10 cm de diamètre.

C'est ma limite, car mes os du bassin étant plus étroits que ceux d'une femme, je ne peux pas prendre plus gros.



Peu après, ayant envie à mon tour de lui donner du plaisir, je l'allonge sur le lit en lui prodiguant d'irrésistibles caresses qui la font craquer.

Je l'entends gémir de plaisir quand je fais coulisser lentement un gode de gros calibre dans son vagin tout en posant un vibro sur son clito.

La voyant très excitée, je la tourne sur le côté pour m'enfoncer dans ses reins tout en continuant à stimuler son bouton d'amour et à pilonner sa chatte.

A la fois, gouinée, sodomisée et le clito en feu, elle ne tarde pas à jouir.

Elle finit par me quitter quelques instants plus tard non sans m'avoir délestée de quelques billets en récompense de son excellente prestation.

 

Dites moi si au cours des années vos désirs sexuels ont également changés.

 

 

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Mardi 23 mai 2 23 /05 /Mai 19:50

F8

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Mardi 23 mai 2 23 /05 /Mai 18:59
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Mardi 18 avril 2 18 /04 /Avr 11:18

Le donjon de Natacha,

 

 

Je pose sur mon lit la lingerie que j'ai choisie pour passer le week-end avec Natacha.

C'est une dominatrice qui habite au nord de Paris.

 

Au téléphone, je l'ai trouvée si proche de mes attentes que j'ai accepté avec joie son invitation.

Tout à la pensée de cette rencontre, j'agrafe ma guêpière et enfile mes bas à coutures en les accrochant aux quatre paires de jarretelles.

Face au miroir, je contemple avec satisfaction mon corps parfaitement épilé par des séances de laser.

Je rentre ma queue entre mes cuisses pour mettre en valeur mon mont de vénus symbole de ma féminité.

Puis, je garnis mes bonnets 105/D de somptueuses prothèses en silicone avant de remonter sur mes hanches une culotte fendue assortie à ma guêpière.

Depuis mon adolescence, j'éprouve toujours la même envie de m'exhiber devant la glace.

C'est un plaisir sans cesse renouvelé que je m'offre plusieurs fois par semaine chez moi ou à l'hôtel lors de mes déplacements.

 

Après m'être maquillée et coiffée d'une perruque blonde coupée au carré, je me glisse dans deux jupons que je superpose pour gonfler ma ravissante robe patineuse.

Dans un geste très féminin, je la soulève pour donner de l'ampleur au tulle afin qu'elle laisse entrevoir mes jarretelles à chacun de mes gestes.

 

Je me suis habillée en blanc en espérant bien être «en foncée» d'ici ce soir...

Satisfaite de mon apparence, je fais quelques pas dans ma chambre pour contempler mes longues jambes recouvertes de nylon mises en valeur par mes escarpins .

Puis, je quitte mon appartement en prenant le volant de mon cabriolet décapoté.

 

Tout en roulant sur l'autoroute par une chaleur estivale, je relève mes jupons pour m'offrir délibérément à la vue des routiers.

Du haut de leurs cabines, ils bénéficient d'une vue plongeante sur la lisière de mes bas.

Lorsque je les dépasse, je reste un moment à leur hauteur en écartant les cuisses pour me donner en spectacle.

Ils peuvent admirer ma queue que j'ai coincé sous une jarretelle pour éviter qu'elle ne se devine sous ma robe

Ils me rendent aussitôt un vibrant hommage par un concert de klaxons ininterrompu qui m'accompagne tout au long du trajet.

 

Mon GPS m'arrête devant une grande villa au cœur d'un parc arboré à l'entrée de la forêt de Compiègne.

Le portail d'entrée s'ouvre instantanément devant moi et c'est le cœur battant que je pénètre dans cette propriété.

Natacha m'attend sous le porche.

Je suis d'emblée impressionnée par sa taille qui dépasse le 1,80m.

C'est une beauté slave ayant un visage aux pommettes saillantes et des lèvres sensuelles.

Sa chevelure brune en queue de cheval la fait paraître plus jeune que ses quarante ans.

Les bonnets de son corset en cuir peine à contenir sa superbe poitrine.

Perchée sur ses cuissardes, elle me toise avec insistance pendant que j'admire son corps souple et musclé.

Il se dégage d'elle une forte sensualité qui m'attire comme un aimant.

Je me laisse tomber à ses genoux en remontant mes mains le long de ses jambes pour caresser ses cuisses pleines et fuselées.

- Ne me touche pas, me dit-t-elle d'une voix forte en me plaquant brutalement au sol.

Elle se tient debout, ses jambes écartées au dessus de ma tête en savourant son plaisir de me voir à ses pieds.

Mon regard est attiré par l'impressionnant gode ceinture qui est fixé sur ses hanches.

Il est massif avec de grosses veines saillantes courant sur sa hampe.

En contemplant son gland épais est bien formé, je sais d'avance qu'il va me donner du plaisir.

Entraîné par son poids, il retombe sur ses genoux en se balançant lourdement devant mes yeux.

Je frissonne à l'idée d'être prise par cette queue monstrueuse.

Semblant lire dans mes pensées, Natacha me lance d'une voix moqueuse:

- Sois sans crainte, je ne vais pas te violer maintenant...

Comme elle ne porte pas de string, je remarque que la sangle centrale ajustée du harnais a complétement disparu dans sa chatte.

- Maintenant relève toi et suis moi m'ordonne-t-elle en m'entraînant dans son Donjon.

 

Nous descendons un large escalier s'ouvrant sur une pièce aux voûtes de craie blanche.

Le sol est recouvert de tomettes de couleur ocre.

Mon regard s'attarde avec surprise sur les aménagements de cette salle.

Il y a une croix de Saint-André, un lit avec des menottes fixées aux barreaux, une table médicale, un cheval d'arçon, une cage métallique avec des suspensions, un boudoir servant au maquillage et au travestissement...

 

Au mur sont fixés des barres d'écartement, une collection de fouets et divers accessoires.

Des godes emmanchés sur des lances de différentes tailles se dressent dans un coin de la pièce.

Sur une étagère sont rangés soigneusement par taille des plugs anaux et urétraux.

Quelques tables basses en forme de sexe féminin sont disposées ça et là.

Une grande pancarte accrochée au mur m'annonce déjà le programme: Sodomie du soir, repos des mâchoires, fellation du matin repos du vagin...

 

Natacha vient se coller contre moi en faisant glisser ses mains de mon cou à mes cuisses.

Elle caresse mon ventre en s'attardant sur mes seins et mes hanches.

- Remonte ta robe, finit-t-elle par me dire.

J’obéis en la relevant fébrilement contre ma taille.

Elle referme sa main sur le renflement évocateur de ma queue enfouie dans ma lingerie avant de la faire jaillir de ma culotte fendue.

Satisfaite de son examen, elle me dit:

- Je vais commencer ton initiation.

- Lorsqu'elle sera terminée, tu seras invitée aux nombreuses soirées que donnent les dominatrices de la capitale.

- Tu auras beaucoup de succès en portant le corset en satin rose et noir de mon école de dressage car elles sauront que tu es prête à satisfaire leurs moindres caprices.

- Maintenant déshabille toi.

 

En quelques minutes, je me retrouve vêtue de son corset fétiche, d'une ravissante nuisette, de bas cervin aux mailles brillantes et d'escarpins de huit centimètres.

Natacha me fait asseoir devant son boudoir afin d'apporter quelques retouches à mon maquillage.

Une perruque brune mi longue et un fond de teint achèvent ma métamorphose.

La bourgeoise que j'étais ressemble maintenant davantage à une fille de la rue Saint-Denis.

 

Dans la salle, je remarque les grandes glaces murales ornées d'halogènes qui trônent aux endroits stratégiques de la pièce.

Certaines entourent le lit alors que d'autres sont posées face à la croix de Saint-André et devant la table médicale.

Je constate avec satisfaction qu'à tout moment, je pourrai me voir dans l'une d'elles.

 

Natacha me tire de mes pensées en les pointant du doigt.

- Chaque veilleuse allumée sur le dessus signale la présence d'hommes et de femmes derrière ces glaces sans tain qui sont venus assister à ton dressage.

- Ils feront clignoter leurs lampes quand ils voudront t'encourager.

Un peu surprise, je tiens à vérifier ses propos.

Face à mes présumés admirateurs, je prends quelques poses suggestives en voyant très vite des lumières s'allumer devant mes yeux.

- Ne fais pas attendre ton public plus longtemps, me dit-t-elle en m'allongeant sur sa table médicale.

Natacha m'attache les mains au dessus de la tête et m'enfonce une de ses culottes en satin dans la bouche en me bâillonnant avec l'un de ses bas.

 

Bien que consentante, je pense avec inquiétudes aux tourments qui m'attendent quand elle relève ma nuisette sur mon ventre.

Armée d'un fouet, elle commence à me frapper doucement, puis de plus en plus fort.

Elle le fait claquer dans la pièce pour m'impressionner avant de l'abattre sur mes cuisses.

Devant la violence des coups, je gémis de douleur.

- Écarte bien les jambes, m'ordonne-t-elle en bloquant mes pieds dans les étriers.

Puis, elle rapproche la table des miroirs pour offrir aux spectateurs une vue plongeante sur ma queue et ma chatte parfaitement épilés.

 

Pendant de longues minutes, elle s'acharne sur moi avec une précision diabolique.

L'intérieur de mes cuisses et mon sexe portent très vite les marques de mon supplice.

Un peu plus tard, elle change de registre en me prodiguant des caresses.

Elle me pompe avec sa bouche aux capacités infinies.

Instinctivement, je me cambre pour m'offrir davantage à cette dévoreuse de sexe.

Je voudrais arrêter le temps pour prolonger ce moment ou je me sens plus vivante que jamais.

Devant mon érection spectaculaire, elle prend sur une étagère un plug urétral qu'elle lubrifie soigneusement.

 

Elle introduit la longue tige en inox creuse de 3 mm de diamètre dans mon urêtre en tenant ma verge bien droite pour qu'elle s'enfonce d'elle même par son propre poids.

Sans me quitter des yeux, Natacha accompagne sa progression en pressant habillement ma hampe entre son pouce et son index.

Je m'étonne de ne ressentir aucune douleur en voyant les trente centimètres de l'insert disparaître dans mon sexe.

Soudain, un jet d'urine sort de la tige creuse lui indiquant qu'elle a atteint ma vessie.

Puis, Natacha me masturbe lentement en faisant aller et venir le plug dans ma verge.

Parfois, elle pose son pouce dessus pour l'empêcher de remonter.

Lorsqu'elle le retire, la tige ressort spontanément de quelques centimètres devant ses yeux.

Amusée, elle recommence plusieurs fois de suite l'exercice.

Je suis au bord de l'orgasme quand elle m'enfonce son majeur dans l'anus.

 

Mettant à profit ma forte érection, elle frotte sa vulve contre ma hampe tout en faisant coulisser la tige métallique dans ma verge.

Cette scène remporte un vif succès auprès du public car les lampes se mettent à clignoter frénétiquement.

Me voyant sur le point de craquer, Natacha m'écrase violemment les bourses avec sa main en me disant:

- Tu jouiras quand je te le dirai!

Une douleur fulgurante me traverse le ventre en me coupant la respiration.

Avec sadisme, elle m'excite à nouveau en faisant glisser sa langue le long de mon frein.

J'essaye désespérément mais en vain de me contrôler.

Un frisson me parcourt l'échine quand sa main remonte le long de mes cuisses en se refermant lentement sur mes parties génitales.

Ses yeux de braise fixés sur moi, elle attend que ma queue soit bien raide et que la peur envahisse mon visage pour passer à l'action.

Cette fois, elle est impitoyable.

Elle exerce une pression insupportable en me broyant les testicules.

Je suis toute tremblante et tétanisée de douleur quand mon supplice prend fin.

 

- C'est un bon début, je suis satisfaite de toi, me dit-t-elle en me retirant l'insert.

Avant de m'allonger sur son lit, elle met de l'ordre dans ma tenue en retendant mes jarretelles.

Puis, elle saisit un autre plug urétral.

Il s'agit du fameux sceptre princier qui est la référence pour les initiés.

Natacha me fait admirer la grosse tige en inox torsadée de 6 mm de diamètre.

Son extrémité se termine par un capuchon destiné à recouvrir mon gland.

Elle le glisse lentement avec une grande dextérité dans mon sexe.

 

- Je vais maintenant satisfaire ton envie d'être une femme, rajoute-t-elle en brandissant un couteau à la lame effilée et courte.

- Avec cette dague, j'ai déjà féminisé un grand nombre de mes soumis.

- Lorsqu'un homme souffre d'une sexualité exacerbée, il est fréquent qu'il vienne me voir pour que je le libère de ses hormones.

- J'aide aussi ceux qui aspirent comme toi à changer de sexe.

- Certains souhaitent que je les castre en leur coupant uniquement les testicules pour espérer garder encore quelques rares érections.

- D'autres veulent que je les émascule en leur enlevant tout pour pouvoir mieux se concentrer sur leur plaisir anal.

 

- Je suis troublée à la pensée d'être celle qui te fait bander pour la dernière fois, me confie-t-elle d'une voix chargée d'émotion en me caressant longuement les bourses.

Elle continue à s'activer avec talent entre mes cuisses en rajoutant:

- Je veux que tu bandes fort car j'éprouve toujours davantage de plaisir à trancher une queue en érection même si cela doit te faire souffrir, me précise t-elle avec sadisme.

Les savantes caresses de ma belle dominatrice associées à la prise de viagra et de calmants inhibent en partie ma peur.

Le moment venu, elle empoigne avec douceur mes parties génitales en sortant de quelques centimètres le sceptre princier de ma verge pour que sa dague n'entame pas le métal.

- Il ne faut pas que j'abîme ce magnifique bijou, s'exclame-t-elle.

- Je vais couper ta queue bien à sa racine pour que tu te sentes plus femme, précise-t-elle en appuyant sa lame sur la veine bleue gonflée de sang qui coure le long de ma verge.

 

Lorsqu'elle commence à me trancher le sexe, je suis prise de panique.

Étonnée de n'éprouver aucune douleur, je prends conscience qu'elle simule mon émasculation en utilisant le dos de sa lame.

Natacha, éclate de rire en me voyant blêmir.

- La prochaine fois sera la bonne, m'assure-t-elle.

- Je suis impatiente de te couper la queue et la voir enfiler comme une brochette sur le sceptre princier.

A ces mots, je remarque que son donjon est parfaitement adapté à cet usage.

Mon matelas est protégé par une épaisse housse en plastique.

Sur le sol carrelé se trouve une grille de récupération d'eau usée ainsi qu'un tuyau d'arrosage fixé au mur pour pouvoir nettoyer rapidement les lieux.

 

Natacha me tire de mes pensées en posant un vibro sur mon frein.

- Maintenant, je t'autorise à jouir, me dit-t-elle.

Très vite, les vibrations me déclenchent une vague de plaisir qui me submerge et j'explose en recouvrant le sceptre princier d'épaisses coulées blanchâtres.

Ma Maîtresse m'ayant interdit toute activité sexuelle pendant plus d'un mois, ma sève se répand en abondance sur mon corset et mes bas.

- Tu avais des réserves, me dit-t-elle en contemplant les derniers soubresauts de ma queue.

 

Elle retire la longue tige torsadée ruisselante de sève de ma verge en la portant à ses lèvres.

- J'aime goûter le sperme de mes soumis car il a toujours une saveur différente, m'assure-t-elle.

Un moment plus tard, elle m'enfonce un spéculum à trois branches dans l'oeillet qu'elle ouvre en grand pour me dilater la chatte.

La peur s'empare à nouveau de moi lorsqu'elle se penche sur ma queue un rasoir à la main.

Je sursaute lorsque qu'elle le fait glisser le long de ma verge en tranchant la moindre pilosité.

Natacha régularise avec soin les contours de mon triangle de vénus et termine en me rasant méticuleusement l'anus.

 

- Désormais, je t'interdis de jouir, me dit-t-elle en retirant le spéculum et en déroulant un préservatif sur ma queue.

- Il va me servir de témoin.

- Si à la fin de nos jeux, je retrouve du sperme à l'intérieur, je te punirai sévèrement.

 

Poursuivant la séance, elle m'installe un étrange cockring métallique autour de la verge.

Il se prolonge d'une barre en inox recourbée et munie d'une boule à son extrémité destinée à me pénétrer l'anus.

Son diamètre étant supérieur à une boule d'attelage, Natacha doit forcer mon anneau pour la faire rentrer.

A peine a-t-elle réussie, qu'elle la retire brutalement en m'arrachant un cri de douleur.

- Doucement, je t'en supplie, lui dis-je en l'implorant du regard.

Sans prendre la peine de me répondre, elle l'enfonce à nouveau tout aussi violemment dans ma grotte.

 

- Maintenant, je vais te mettre à l'épreuve, me chuchote-t-elle à l'oreille.

Retirant son string, elle s'assoit à califourchon sur mes cuisses en me faisant face.

- Je te rappelle que tu ne dois pas jouir, me dit-t-elle d'une voix menaçante.

Elle me masturbe d'abord lentement, puis sur un rythme plus rapide tout en faisant aller et venir la boule du cockring dans mes fesses.

Puis, elle plonge ma queue dans sa chatte brûlante de désir et avide de sexe tout en me caressant les bourses et le périnée.

 

J'essaye en vain de résister à ses assauts, mais elle s'active sans trève sur ma colonne de chair qui se durcit de plus en plus.

Je me sens dominée par cette mante religieuse qui immobilise son mâle pour mieux le dévorer.

À mon grand soulagement, elle finit par s'arrêter.

- J'espère pour toi que tu n'as pas jouis, me dit-t-elle en retirant mon préservatif.

Quand elle le retourne dans sa main, je vois avec inquiétude quelques gouttes de sperme couler dans sa paume.

- Ce soir, tu regretteras de m'avoir désobéis, m'assure-t-elle en me jetant un regard lourd de menaces.

- Pour l'instant, je vais poursuivre ton dressage.

 

Je suis allongée sur son lit quand ses mains plongent dans les bonnets de ma guêpière pour retirer mes prothèses en silicone de 500gr.

Saisissant un coton imprégné d'un produit réfrigérant, elle me glace les tétons pour les insensibiliser.

Avant que je puisse réagir, elle les transperce avec une aiguille.

Je ressens une douleur aiguë qui s'estompe lorsqu'elle fixe des anneaux en acier sur mes aréoles.

- Ces bijoux portent mon prénom et ne pourront plus s'enlever.

- Désormais, tu m'appartiens, me susurre t-t-elle à l'oreille en me nouant un bandeau de soie autour du cou.

Elle s'allonge sur moi en pressant ma queue entre ses cuisses gainées de nylon.

 

Les frottements de ses bas sur mon gland décalotté me déclenchent une érection spectaculaire.

- Maintenant, je veux que tu me baises, me dit-t-elle en s'empalant sur ma verge.

Sa chatte devient une irrésistible pompe à sperme lorsqu'elle roule et ondule du bassin.

 

Elle se penche sur moi en me serrant la gorge avec son foulard en soie.

Natacha comprime mes carotides pour me faire bander plus fort.

Puis, elle relâche la pression en s'activant sur ma queue avant de recommencer.

Je suis totalement livrée aux pulsions sadiques de ma Maîtresse.

La peur qui m'envahit est étroitement mêlée au plaisir étrange qu'elle me fait découvrir.

A chaque fois, elle maintient le garrot serré un peu plus longtemps pour accroître la tension sur mon sexe.

 

La quasi totalité des lampes témoins se mettent à clignoter pour plébisciter la scène.

- Je vais t'achever maintenant, me dit-t-elle en se trémoussant d'une manière irrésistible tout en me serrant la queue avec sa chatte.

Ses yeux rivés aux miens, elle m'immobilise par le poids de son corps en m'écrasant les carotides jusqu'à ce que je me mette à trembler.

Soudain, une vague de plaisir m'emporte et ma sève fuse en jets puissants dans son ventre.

Dans le même temps, un voile noir me tombe sur les yeux et elle doit desserrer le foulard pour éviter que je perde connaissance.

 

- Tu m'as mis la dose, me dit-t-elle en regardant mon sperme ruisseler le long de ses cuisses

Pendant que je reprends mon souffle, elle sort un étrange plug d'un tiroir .

- Regarde, il est formé de trois anneaux, me dit-t-elle.

- Le premier à un diamètre semblable à une bouteille de vin.

- Le second plus gros à la dimension d'une bouteille de champagne.

- Enfin, le dernier mesurant 10 cm de diamètre est réservé à quelques rares initiés car il a la dimension mythique du plug B52.

- Je t'avoue que peu de mes soumis sont parvenus à ce stade, m'assure-t-elle en le lubrifiant copieusement.

 

Puis, Natacha m'installe sur un étrange cheval d'arçon.

Son extrémité est équipée d'un carcan qu'elle referme sur ma tête et mes poignets.

Allongée sur le ventre et mes pieds ne touchant pas le sol, je suis totalement en son pouvoir.

Elle contemple un moment ma croupe offerte sur laquelle sont tendues mes jarretelles.

Son regard s'attarde sur mon œillet entouré par l'écrin de dentelle de ma culotte ouverte.

Cette vision lui enflamme les sens.

- Avec le diamètre de ce plug, ça va vraiment être un viol, me chuchote-t-elle à l'oreille.

Le premier anneau s'engouffre facilement dans ma grotte.

Elle le presse fortement contre son genou pour faire rentrer le suivant.

- Maintenant pousse fort pour t'ouvrir au maximum, me dit-t-elle.

Après plusieurs tentatives infructueuses, le pal s'enfonce d'un coup au plus profond de mes reins.

Ma douleur est intense car mes sphincters dilatés à l'extrême se sont refermés sur le dernier anneau.

Je ne peux plus l'expulser sans courir le risque de me déchirer le périnée.

Quelques instants plus tard, Natacha parvient à le sortir avec d'infinies précautions.

 

Je me demande ce qu'elle va encore inventer lorsqu'elle m'allonge sur son lit.

Sans perdre un instant, elle enfile un long gant en latex et plonge sa main dans mon anus resté grand ouvert.

Elle tourne son poignet de droite à gauche pour passer la premiére courbure de mon intestin.

Puis, avec beaucoup de maitrise et d'assurance, elle m'enfonce son bras jusqu'au coude.

- Je sens ton pouls battre contre ma peau, me murmure-t-elle très excitée en me fouillant de plus belle.

Quelques minutes plus tard Natacha ressort lentement son bras de mes fesses en informant les spectateurs qu'elle va faire une pause.

 

En arrivant dans sa salle à manger pour se restaurer, elle m'habille en soubrette pour que je lui serve son repas.

Pendant qu'elle mange, je suis à genoux, la tête entre ses cuisses en faisant glisser ma langue sans trêve de son œillet à sa chatte.

 

A la fin de son repas, elle se lève en me rappelant sa promesse.

- Je vais te faire passer une nuit que tu n'es pas prête d'oublier!

Elle m'entraîne au centre de son donjon.

- Lève les bras, m'ordonne-t-elle en m'attachant les poignets à des chaînes fixées au plafond.

- Regarde, tu as de la visite.

Je vois avec surprise les miroirs sans tain coulisser sur leurs rails et céder le passage à des dominatrices en tenue SM accompagnées de leurs esclaves qui viennent se mettre en cercle autour de moi.

Les soumis sont de belles transsexuelles aux seins sublimes qui ont entre les jambes une queue à rendre jaloux la plupart des mâles.

Elles me regardent enchaînée et offerte à leurs désirs pendant que leurs Maîtresses les préparent en les masturbant.

 

La spectacle que j'offre les excite fortement.

Je suis debout, les bras levés suspendus à des chaînes en étant perchée sur mes talons aiguilles qui font ressortir la cambrure de mes reins.

Mon corset qui m'enserre la taille accentue encore ce phénoméne en faisant ressortir mes fesses.

Bien qu'étant enchaînée, je sais que c'est moi qui va dominer ces superbes créatures en leur vidant les bourses.

Elles n'auront bientôt plus qu'un morceau de chair flasque entre les jambes.

Galvanisée par cette idée, je m'apprête à subir leurs assauts

 

Au signal de ma Maîtresse ces créatures du troisième sexe viennent m'embrocher l'une après l'autre sans interruption.

Je suis totalement comblée par ces femmes phalliques qui pressent leurs seins superbes contre moi en m'embrochant sur leurs queues gonflées de désir.

Je ne compte plus les fois où j'ai senti jaillir leur sève dans mes reins.

 

Pour finir, une splendide panthère noire me fait face.

Visiblement, elle n'en peut plus d'attendre.

Elle ressemble au mannequin Naomie.

Même corps souple et fin qui dégage une sensualité à fleur de peau.

Prise d'une pulsion irrésistible, elle plaque mes cuisses sur ses hanches en voulant m'empaler sur son sexe d'ébène.

Trop impatiente lors de sa première tentative, sa queue manque son objectif et vient glisser sur mon ventre.

A la suivante, je gémis de plaisir lorsqu'elle m'embroche d'un coup jusqu'à la garde.

Quelques instants plus tard, son corps se met à trembler lorsqu'elle se vide longuement en moi.

Voulant prolonger notre plaisir, nous nous embrassons en restant soudées l'une à l'autre.

Elle finit par se retirer en me laissant l'anus ouvert.

Je vois alors d'épaisses coulées blanchâtres s'échapper de mes fesses et s'accrocher comme des guirlandes à mes bas.

Pour arrêter l'écoulement, elle m'enfonce un rosebud dans la chatte en me disant:

- Ainsi, tu vas pouvoir garder ma sève plus longtemps en toi.

 

Peu après, Natacha invite les participants à retourner derrière les glaces murales.

Puis, elle m'attache solidement les mains et les chevilles à la croix de Saint-André.

Je me retrouve écartelée face à elle.

- J'étais très jalouse en voyant toutes ces jolies filles te baiser, me confie-t-elle en frottant mon sexe contre sa cuisse.

- Je suis surprise de voir que tu bandes encore, me dit-t-elle avec admiration en me pressant les seins.

Elle m'enlace amoureusement.

- Tu es insatiable, je vais devoir te calmer, me murmure-t-elle à l'oreille.

 

Soudain, tout bascule.

Elle s'accroche à mon cou pour se stabiliser en me fixant de ses yeux de braise. Soudain, elle lance son genou avec une violence inouïe contre mes bourses.

Submergée de douleur, aucun son ne peut sortir de ma gorge lorsque mon corps s'affaisse sur la croix.

Ma maîtresse me relève la tête en me tirant par les cheveux.

- Redresse toi, je n'ai pas fini.

Je la vois avec angoisse s'écarter d'un mètre et balancer sa jambe d'avant en arrière en visant mon entrejambe.

Avec sadisme, elle prolonge mon attente en gardant ses yeux rivés sur mon bas ventre.

Son pied part à la vitesse de l'éclair.

Cette fois, je laisse échapper un cri de douleur.

Puis, elle revient se pendre à mon cou en préférant me travailler au corps.

Se faisant câline, elle fait monter irrésistiblement mon désir avant de m'écraser les bourses avec son genou.

Elle s'acharne sur moi un long moment en alternant si bien les sévices et les caresses que je regrette presque de la voir s'arrêter.

 

S'absentant un court instant, elle revient en tenant à la main un long pal de plus d'un mètre sur lequel est emmanché un gode.

L'heure tardive n'a pas découragé nos fans car toutes les lumières se mettent à clignoter.

Natacha tourne la croix de Saint-André pour me mettre la tête en bas en m'enfonçant son pal dans les reins.

 

Mes admirateurs ont alors une vue surréaliste.

J'ai la tête en bas et les cuisses écartées avec un long pieu sortant de mes fesses.

Pendant de longues minutes, Natacha maintient son public en haleine en me pilonnant le ventre.

 

Puis, elle redresse la croix de saint André avant d'insérer dans ma verge un plug urétral annelé dont l'extrémité se termine par une boule.

- La tige en métal est creuse, me précise-t-elle en la faisant coulisser dans ma verge.

- Tu pourras jouir quand je dévisserai la boule, rajoute-t-elle tout en me masturbant

Elle m'enfonce ensuite un plug anal dont le socle très large me recouvre les fesses.

- Tu vas rester attaché ainsi pendant des heures sans dormir.

Allongée sur son lit, elle guette l'instant ou je vais m'assoupir.

Dés mes premiers signes de sommeil, elle me fouette le sexe en accrochant des poids de plus en plus lourd à mes bourses.

 

A d'autres moments, sans me laisser de répit, elle tire sur mes anneaux de seins.

Au cours de la nuit, elle s'approche de moi en me disant:

- Maintenant, je vais te baiser par tous tes orifices.

Elle commence par m'enfoncer un gode dans la gorge en s'assurant que j'ai toujours son plug planté dans l'anus.

Puis, elle dévisse la boule de l'insert plongé dans ma queue pour que je puisse jouir par la tige métallique.

Enfin, elle prend un vibro qu'elle fait glisser le long de mon frein.

Natacha n'a pas longtemps à attendre pour que ma sève sous pression fuse par l'étroite embouchure du plug urétral.

Elle sourit en voyant mon sperme s'écraser en jets puissants contre le miroir sans tain et déclencher une frénétique activité lumineuse de la part de mes admirateurs.

Lorsque je me cambre sous l'intensité de l'orgasme, mon public peut apercevoir l'impressionnant socle du plug qui me recouvre les fesses.

Pendant toute la nuit, je subis les caprices de ma Maîtresse en restant attachée à la croix de saint-André.

 

Merci de me donner votre avis sur ce récit.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Publié dans : Récits femmes dominatrices - Communauté : Homme aimant se travestir - Par sandratvtg
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Mardi 18 avril 2 18 /04 /Avr 11:16

Après midi torride,

J'arrive chez Sylvia qui m'a été chaudement recommandée par un ami.

Une voluptueuse brune en déshabillé transparent m'ouvre la porte.

Elle a les yeux bruns en amande et ses lèvres gourmandes témoignent d'une sensualité à fleur de peau.

Sa robe de nuit qui s'ouvre sur un corset rose me dévoile ses seins sublimes.

Un slip brésilien et quatre paires de jarretelles tendues sur ses cuisses fuselées la rendent irrésistible.

Perchée sur ses cuissardes à talons aiguilles, elle me fait rentrer dans son salon en m'invitant à m'asseoir.

 

Au cours de notre conversation, elle croise et décroise lentement ses jambes en me laissant entrevoir sa culotte en satin.

Quelques instants plus tard, elle glisse sa main entre mes cuisses pour mieux recueillir mes confidences.

- Dis-moi quelles sont tes attentes?

Mis en confiance par cette superbe créature, je lui avoue le but de ma visite.

- J'aimerai vivre cette journée en fille, lui dis-je d'une voix hésitante.

- J'ai tout ce qu'il faut pour te féminiser, m'assure Sylvia.

- Ne perdons pas de temps ma belle, rajoute-t-elle en s'adressant désormais à moi au féminin.

- Puisque tu es déjà parfumée et épilée, je vais t'aider à choisir tes dessous.

En me prenant par la main, elle m'entraîne en souriant dans sa chambre.

Après m'avoir deshabillée, elle ouvre son armoire débordante de guêpières, corsets, porte jarretelles, nuisettes, jupons vaporeux...

Me voyant rouge d'excitation et indécise, elle finit par choisir elle même mes dessous qu'elle m'aide à enfiler.

Elle termine par une séance de maquillage en me plaçant devant le miroir pour que je puisse juger du résultat.

- Regarde ma chérie comme tu es craquante, me chuchote-t-elle à l'oreille.

La glace me renvoie l'image d'une fille portant une ravissante lingerie.

Une perruque blonde mi courte encadre mon visage

Mes lèvres sont peintes d'un rouge intense pour les rendre pulpeuses.

Mes yeux ornés de faux cils sont mis en valeur par du eyes liner et un fond de teint affine le grain de ma peau.

Ma généreuse poitrine en silicone menace de faire exploser les bonnets 105/D de ma guêpière.

Mes seins lourds et fermes font s'inscruster mes bretelles de soutien gorge dans mes épaules.

Une culotte fendue enveloppe ma queue dans un écrin de dentelle et de soie en exposant mon oeillet au regard de Sylvia.

 

Elle achève ma transformation en accrochant mes bas aux quatre paires de jarretelles.

Je caresse avec émotion ces mailles brillantes qui m'électrisent la peau en contemplant le galbe parfait de mes jambes sublimé par mes escarpins.

Je ne peux m'empêcher de virevolter devant la glace en admirant ma silhouette élancée et ma taille prise dans ma ravissante guêpière.

Je fais quelques pas dans la chambre pour sentir l'excitante tension de mes bas sur mes cuisses.

Puis, j'enfile une nuisette qui stimule ma libido par les frottements du satin sur mon gland.

Je ne peux retenir quelques gouttes de sève qui imprégnent ma nuisette d'auréoles blanchâtres.

Pendant ce temps, Sylvia s'approche sournoisement de moi.

Avant que je puisse réagir, elle me culbute sur le lit en pressant la racine de mon sexe entre son pouce et son index pour amplifier mon érection.

Puis, elle frotte ses cuisses contre les miennes pour me faire entendre le crissement de nos bas.

Je tombe définitivement en son pouvoir lorsqu'elle plonge avec perversité son majeur dans mes fesses.

Très expérimentée, elle le recourbe vers le haut en massant mon point G avec insistance.

- Tu mouilles beaucoup ma belle et ton anneau est déjà bien ouvert, me dit-t-elle avec une pointe d'excitation dans la voix.

- Attends moi un instant, je reviens, rajoute-t-elle d'une voix sibylline.

 

Peu après, elle réapparaît vêtue d'une cape rouge et de cuissardes assorties.

Perchée sur ses talons, elle s'approche de moi, sensuelle et dominatrice.

Lorsqu'elle entrouvre sa cape, je découvre l'impressionnant gode qui se balance lourdement entre ses cuisses.

Je ressens une forte excitation mélée d'inquiétude quand elle finit d'attacher cette queue monstrueuse à sa taille.

Mon regard reste figé sur son gland épais et sa hampe parcourue de grosses veines saillantes.

- Ce gode mesure plus de trente centimètres, mais c'est surtout son diamètre qui va te faire craquer m'assure-t-elle.

Elle me le montre sous tous les angles en la lubrifiant abondamment.

Puis, avec une lueur trouble dans le regard, elle me plaque contre le mur de sa chambre.

- Je veux te prendre debout à la hussarde, me dit-t-elle d'une voix rauque.

A la fois troublée et excitée par ce qui m'attend, je contrôle mal mon émotion et ma maîtresse ne peut s'empêcher de sourire en voyant ma queue jaillir par la fente de ma culotte.

Ses yeux rivés dans les miens, elle me force à écarter les jambes en remontant son genou gainé de nylon à l'intérieur de mes cuisses.

- Maintenant, tourne toi face au mur.

 

Mon cœur bat la chamade lorsque ma belle dominatrice accroche ses mains à mes hanches en pressant son gode contre mon anneau.

Lorsqu'elle m'écarte les fesses avec ses pouces, je cambre les reins dans l'attente d'être prise.

J'attends son assaut les bras tendus contre le mur de sa chambre.

Agrippée à moi, elle me viole à grands coups de reins en m'embrochant jusqu'à la garde.

Sans s'arrêter, elle me laboure le ventre en me clouant littéralement au mur.

Un peu plus tard, elle me retourne face à elle en soulevant une de mes jambes contre sa hanche pour s'enfoncer plus à fond.

Ne tenant plus en équilibre que sur un talon aiguille, je m'accroche à son cou pour me stabiliser.

Face au miroir, j'ai du mal à croire que je suis cette fille qui se fait trousser à moitié nue en découvrant ses jarretelles.

Mon corps tréssaille sous les assauts de ma maîtresse qui ne ménage pas ses efforts.

Lorsqu'elle se retire de mes reins, j'entends le gode aspiré par mes chairs sortir dans un bruit de succion.

- Tu es maintenant bien ouverte ma chérie, me dit-t-elle.

Je contemple avec incrédulité ce pal monstrueux qui retombe sur ses genoux en me demandant comment j'ai pu prendre un tel calibre.

Me voyant déstabilisée, elle m'adresse un sourire complice:

- Suis moi, je te réserve d'autres surprises.

 

Elle m'allonge sur son lit en glissant deux coussins sous mes fesses.

Puis, elle soulève mes jambes en empoignant mes talons aiguilles à deux mains.

- C'est la meilleure position pour te sodomiser, m'assure-t-elle.

Plaçant ses épaules dans le creux de mes genoux, elle me baise longuement sous tous les angles en explorant les moindres recoins de ma grotte.

 

Peu après, Sylvia saisit un gode muni d'un manche.

- Avec ce jouet, je vais pouvoir te fouiller la chatte avec plus de précision.

Mon cœur bat la chamade, quand elle me retourne sur le ventre en m'écartant les fesses.

Lorsqu'elle m'empale, je ferme les yeux pour mieux savourer mon plaisir d'être prise.

J'ai l'impression d'être ouverte en deux lorsque mes chairs s'écartent sous la pression du pal.

Sylvia me possède méthodiquement avec la régularité d'un métronome en m'empêchant de refermer les cuisses.

Surexcitée, je pousse fortement pour m'ouvrir l'anus et m'empaler plus à fond.

Lorsque ma maîtresse le sort de mes reins, ma rosette s'étire sur le gode comme si elle voulait le retenir.

Puis, elle s'enroule à nouveau dessus quand elle l'enfonce dans mon ventre.

Je contracte mes sphincters pour mieux le sentir s'enfoncer en moi.

 

Sylvia s'active avec une habilité diabolique jusqu'à ce quelques gouttes de sève coulent sur ma guêpière.

- J'ai trouvé ton point G, jubile-t-elle.

Quelques instants plus tard, elle réalise à mon souffle court et aux tressautements de ma verge que je vais jouir.

J'essaye en vain de retenir la lave qui monte en moi.

- Laisse toi aller ma belle, me chuchote-t-elle à l'oreille en faisant glisser lentement son ongle sur mon frein pour m'achever.

Mon orgasme est indescriptible et je jouis longuement en gémissant de plaisir.

Sylvia accompagne chacun de mes spasmes en pilonnant ma prostate.

A chaque pression du gode sur ma glande, ma sève jaillit en retombant en arabesques blanchâtres sur ma guêpière.

Elle éclate de rire en me voyant terrassée par l'orgasme.

La séance n'est pas terminée, m'affirme-t-elle en m'embrassant à pleine bouche et en me pressant les seins.

- Je t'ai bien vidé les bourses, s'exclame-t-elle en montrant du doigt ma lingerie recouverte de sperme.

Après un court instant de repos, elle décide de me remettre en forme.

Pour cela, elle enfonce d'emblée trois doigts dans ma chatte restée largement ouverte tout en faisant glisser une de ses nuisettes entre mes cuisses.

Les frottements du satin sur mon gland décalotté associés à la pression de ses doigts dans mon fourreau anal ne tardent pas à provoquer mon érection.

 

Arrivée à ses fins, elle plaque son clito gorgé de sang contre mon sexe turgescent.

Avec l'instinct d'une mante religieuse qui a trouvé sa proie, elle plonge ma queue dans sa grotte avide de sexe.

Survoltée, Sylvia s'active un long moment sur mon bâton de chair avant de jouir en m'inondant le ventre de cyprine.

- Je vais maintenant te faire découvrir une de mes spécialités, me dit-t-elle en me plaçant le dos appuyé contre la tête de lit.

Après m'avoir lubrifié l'oeillet, elle enfonce son spéculum XO dans ma chatte.

C'est un cylindre creux qui peut s'ouvrir jusqu'à dix centimètres de diamètre beaucoup plus efficace que ceux à deux ou trois branches.

- C'est l'appareil idéal pour obtenir un parfait cerclage de l'anus...

Elle le laisse en place un moment pour assouplir et dilater ma rosette.

- Tu vas aimer cette gâterie, me murmure-t-elle à l'oreille en recouvrant son bras de silicone.

Un instant plus tard, elle retire son spéculum et plonge avec une facilité déconcertante sa main dans mon ventre en sentant mes sphincters lui serrer le poignet.

Puis, Sylvia soulève mes fesses en bloquant son avant bras à la verticale contre le matelas.

C'est avec un plaisir non dissimulé qu'elle me regarde m'empaler lentement par le poids de mon corps.

Puis, elle m'allonge sur le dos pour pouvoir m'enfoncer son bras jusqu'au coude.

Je suis stupéfaite de voir ses doigts soulever la peau de mon ventre jusqu'à la hauteur de mon nombril.

Maintenant décidée à me porter le coup de grâce, elle glisse lentement sa langue sur mon frein jusqu'à ce que j'explose en jets puissants dans sa gorge.

S'étouffant sous la pression de mon sperme qui lui éclabousse les lèvres, elle s'empresse de l'avaler rapidement.

J'ai l'impression de jouir comme une fille quand elle me titille la queue comme un clito en se servant de mon cul comme d'un vagin.

- Nous allons faire une pause pour que tu puisses récupérer, me dit-t-elle.

Cette fois, elle me laisse choisir ma nouvelle tenue d'alcôve.

 

Devant le miroir, je plaque sur mes hanches un serre taille de couleur rose.

Sa forme à la fois sensuelle et rétro me plaît beaucoup.

Après une longue hésitation, je craque devant une charmante nuisette à balconnets en satin ornée de fines bretelles.

J'accroche avec volupté mes bas résilles aux jarretelles et j'enfile comme une seconde peau une longue paire de gants en soie qui me couvre les bras en accentuant mon côté glamour.

Je me glisse ensuite dans une robe bustier en voile transparent ouverte sur le côté qui découvre ma cuisse à chacun de mes pas.

Enfin, je troque ma perruque bouclée blonde par une autre coupée au carré de couleur brune.

 

Pendant que je me contemple devant la glace, Sylvia en profite pour me glisser de volumineuses prothéses en silicone dans mes bonnets 105/D.

Excitée par la taille de mon sexe qui n'a cessé de grandir pendant la séance, elle vient se coller contre moi en me disant:

- Surtout ne mets pas de culotte ma chérie, ce serait dommage de cacher une si belle queue.

- Tu dois me laisser un libre accès à tes fesses, rajoute-t-elle d'une voix sibylline.

D'un air amusé, elle voit ma verge pointer sous mon déshabillé transparent.

- Il est grand temps que je te vide les couilles, me lance-t-elle dans un langage volontairement trivial pour stimuler ma libido.

 

Sans attendre, elle m'allonge sur son lit en relevant ma robe et ma nuisette sur mon ventre.

- Nous allons nous gouiner entre filles! S'exclame-t-elle en m'enfonçant son majeur dans les fesses tout en saisissant un vibro caché sous l'oreiller.

Avec précision, elle le pose sur mon frein jusqu'à ce que les vibrations fassent perler un liquide transparent à la surface de mon gland.

 

Une fois de plus, Sylvia se révèle une merveilleuse maîtresse en anticipant mes désirs.

Pour retarder mon orgasme, elle soulève le vibro dès qu'une goutte de sève coule le long de ma hampe

Puis, elle le pose à nouveau sur mon frein pour faire apparaître la suivante.

Dans le même temps, elle fait coulisser son doigt de plus en plus vite dans ma grotte.

A son regard brûlant, je sais qu'elle a décidé de me faire jouir.

Je m'abandonne pleine de désir en écartant les cuisses pour qu'elle puisse plonger sa main dans mes fesses.

 

Trés vite, une vague déferlante de plaisir me submerge accompagnée d'une longue coulée de sève ininterrompue qui se répand sur mon corset et mes bas.

Sylvia poursuit son fist jusqu'à ce que ma source de vie se tarisse.

 

- Je vais maintenant tester sur toi une fucking machine que je viens de recevoir, me dit-t-elle

Elle me déshabille en me laissant uniquement mon serre taille, mes bas et mes escarpins.

Souhaitant me faire une surprise, elle me bande les yeux avant de me guider dans la pièce voisine.

Elle m'aide à monter deux marches et à m'allonger sur une surface lisse.

Je me rends compte qu'il s'agit d'une table médicale quand elle m'attache les pieds aux étriers.

Lorsqu'elle retire mon bandeau, je reste stupéfaite en découvrant mon nouvel univers.

Je me retrouve dans une petite pièce entièrement recouverte de miroirs.

Un objet insolite est placé devant moi et mon regard est attiré par la longue tige métallique qui est pointée entre mes cuisses et sur laquelle est fixé un gode impressionnant qui va en s'élargissant jusqu'à sa base.

 

- Jusqu'à présent, j'utilisais des godes ceintures pour satisfaire mes amants mais j'étais frustrée de ne pas pouvoir jouir.

- Désormais, je peux t'offrir des sensations fortes tout en m'empalant sur ta queue.

- Je vais te baiser pendant que cette petite merveille t'enfilera mieux que moi.

- Elle a plusieurs programmes que je peux modifier à tous instants.

- Je peux régler la profondeur des pénétrations, la vitesse et l'intensité des vibrations.

- J'ai également la possibilité d'adapter des godes de différents diamètres pour satisfaire tous tes désirs, me dit-t-elle en me jetant un regard en coin.

Sans perdre de temps, elle m'attache à l'aide de sangles qu'elles passent sur mes seins et mon ventre.

- C'est pour t'empêcher de bouger et éviter que la machine ne te blesse pendant la séance, me précise-t-elle pour me rassurer.

 

S'apercevant que je bande à moitié, elle me caresse l'intérieur des cuisses.

- Heureusement, j'ai de quoi te remettre en forme, me dit-t-elle en souriant.

Elle sort d'une armoire un long tube en verre prolongé par un tuyau au bout duquel est fixé une pompe.

 

Je reconnais un vacuum.

- Cet instrument en faisant le vide d'air va te faire bander rapidement, m'assure-t-elle en glissant mon sexe dans le cylindre en verre.

Lorsqu'elle actionne la poire, je sens ma verge s'étirer et se dilater progressivement en atteignant vingt centimètres sur le verre gradué.

Mais ce qui m'étonne le plus, c'est son épaisseur.

Je vois mon gland gonfler démesurément et venir s'écraser sur la paroi de l'appareil.

Sylvia contemple d'un air satisfait mon sexe turgescent à travers le verre dépoli.

Puis, elle le sort du tube en glissant un anneau pénien à sa base pour me faire garder mon érection.

- J'aime les glands épais comme le tien car ils me donnent davantage de plaisir, me dit-t-elle ravie.

 

Elle règle ensuite la hauteur de la machine en engageant le gode dans ma chatte.

- Je vais commencer par le programme d'initiation, me dit-t-elle d'une voix rassurante.

Lorsqu'elle appuie sur la télécommande, je sens le pal s'enfoncer de quelques centimètres dans ma grotte.

Tout en me masturbant, elle me fait découvrir les multiples ressources de l'engin.

Au bout d'un moment, la poussée du pieu devient si puissante que mes fesses se soulèvent à chaque va et vient.

Puis, la machine alterne les rythmes lents et rapides.

Lors de sa progression, le diamètre du pal s'accroît en me donnant des sensations fortes.

Sylvia choisit ce moment pour stimuler avec un vibro mon frein et mon périnée.

Un plaisir intense m'envahit le ventre pendant que la machine continue à m'empaler sur un rythme soutenu.

Cette triple stimulation du Pénis, du Périnée et de la Prostate (les 3 P) m'amènent très vite au bord de l'orgasme.

Lorsqu'elle voit ma queue tressauter de désir, Sylvia se place à califourchon sur moi pour s'empaler sur ma verge en me disant:

- Je ne veux pas que tu jouisses sans moi.

Insatiable, elle entame de lentes et puissantes bascules du bassin d'avant en arrière qui me mettent dans tous mes états.

Je gémis de plaisir lorsqu'elle me serre la queue pendant que le gode va et vient sans trêve dans mes reins.

Parfois, Sylvia s'arrête de me chevaucher en tournant lentement ses fesses sur ma verge qui lui sert de pivot.

- Tu aimes ça mon ange, me dit-t-elle d'une voix chaude en me voyant trembler de désir.

Ayant déjà jouis plusieurs fois, je résiste d'autant mieux à ses assauts.

 

Mes yeux se posent sur les miroirs de la chambre qui reflètent de tous côtés des scènes excitantes.

J'admire les seins et la superbe chute de reins de Sylvia.

Sanglée dans son corset, elle continue à se trémousser sur mon dard avec une rare perversité.

Mon désir monte crescendo quand je vois le gode démultiplié par les miroirs me pénétrer inlassablement sous tous les angles.

- Fais-moi jouir, me supplie Sylvia en me tendant son vibro.

 

Quelques minutes plus tard, chauffée à blanc, elle est sur le point de craquer.

Je sens son anneau se contracter de plus en plus souvent sur ma queue.

Enfoncé à fond dans ses reins, je titille de plus belle son clito avec mon vibro.

Elle jouit en laissant échapper des gémissements de bonheur.

- Eh bien ma chérie, tu m'as fait prendre mon pied, me dit-t-elle encore haletante de plaisir.

Reprenant ses esprits, elle passe à son tour à l'action en me gardant toujours en elle.

 

A l'aide de sa télécommande, elle augmente l'intensité des vibrations en m'enfonçant le gode au plus profond de mes entrailles.

Les talents de ma maîtresse conjugués au rythme soutenu de la machine font monter mon désir.

Je me cambre autant que me permettent les sangles dans l'attente du fabuleux orgasme qui va m'emporter.

Sylvia me chevauche sur un rythme effréné en m'écrasant les bourses tant son excitation est grande.

Soudain, des râles de plaisir s'échappent de ma gorge lorsqu'un orgasme puissant me fait éclater la tête.

Je suis à la limite de perdre connaissance lorsque ma semence fuse dans ses fesses.

Le corps tendu en arc de cercle, je jouis dans une succession de spasmes qui manque de la désarçonner.

 

Ses yeux de braise rivés sur moi, elle contracte fortement ses muscles intimes pour pomper mes dernières gouttes de sève.

Puis, elle se lève pour aller contempler le pieu toujours plongé dans ma grotte.

- C'est impressionnant de te voir empalée par un tel calibre, s'exclame-t-elle admirative.

Elle le retire doucement de mes reins en me laissant l’œillet grand ouvert.

- Il va mettre du temps à se refermer, me dit-t-elle en riant en me libèrant de mes liens.

Terrassée de fatigue, je me rhabille en gardant sur moi ma voluptueuse lingerie.

Je la quitte à regret en me promettant de la revoir très vite.

 

Merci de me laisser vos commentaires sur ce récit.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Mardi 3 janvier 2 03 /01 /Jan 18:32

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