Récits femmes dominatrices

Vendredi 4 août 5 04 /08 /Août 16:42

 

Sublime Maîtresse,

 

Un sourire enjôleur au coin des lèvres, Sandra m'entraîne dans sa chambre.

Elle aime prendre l'initiative lors de nos ébats.

- Aujourd’hui, tu vas faire la fille! M'annonce-t-elle d'emblée.

- Déshabille toi vite ma chérie.

Dans son armoire débordante de lingerie, elle choisit avec soin les dessous qu'elle me destine.

- Essaye ces ravissantes petites choses, me susurre-t-elle à l'oreille en me tendant un ensemble de dessous vaporeux.

Je la laisse m'agrafer une guêpière ornée de quatre paires de jarretelles et garnir mes bonnets 105/D de voluptueuses prothèses en silicone.

Puis, Sandra remonte deux affriolantes jarretières le long de mes cuisses en déclenchant sans le vouloir mon érection.

Heureuse de m'avoir excitée, elle me presse tendrement les bourses.

- Ton gros clito m'impressionne ma belle.

Me voyant succomber à ses caresses, elle en profite pour glisser sur mes hanches une adorable culotte ouverte.

Les frottements du satin sur mon gland me mettent dans tous mes états.

Une robe de nuit fendue jusqu'à la taille et des talons aiguilles achèvent ma métamorphose.

Sandra vient se coller contre moi en m'embrassant à pleine bouche.

Son genou remonte le long de mes cuisses en me pressant la queue qui laisse échapper quelques gouttes de sève.

Puis, elle me vrille un plug dans les fesses.

- Cela devrait te faire patienter!

 

Assise devant le miroir de sa coiffeuse, je retrousse ma robe de nuit en lui montrant ma verge dressée contre ma guêpière.

Comme une fille, je frotte mes cuisses l'une contre l'autre en contractant mes muscles internes sur mon jouet pour amplifier le désir qui monte dans mes reins.

- Regarde, il me fait déjà de l'effet, lui dis-je en souriant.

Pendant ce temps, Sandra me maquille les yeux avec du mascara et du fard à paupières tout en fixant mon sexe en érection.

Elle poursuit en soulignant mes lèvres d'un rouge vif et en me coiffant d'une perruque blonde bouclée très glamour.

Puis, elle rentre ma queue entre mes cuisses en la fixant avec un adhésif.

- Tu dois maintenant te sentir plus femme, me dit-t-elle en m'accompagnant devant le miroir.

En effet, tel un papillon sorti de sa chrysalide, je constate que ma métamorphose est totale.

 

Devant la glace, j'admire mon déshabillé qui s'ouvre sur mon triangle de vénus soigneusement épilé.

- Tu es craquante ma chérie, s'exclame Sandra.

Je fais quelques pas campée sur mes talons aiguilles en roulant des hanches comme une Messaline.

Le miroir me renvoie l'image d'une fille parée de tous les symboles de la féminité.

Sous le poids de ma poitrine de rêve, je sens mes bretelles de soutien gorge s'incruster dans mes épaules.

Cela a failli me trahir un soir au lit avec ma femme qui s'étonnait de ces marques sur ma peau et surtout des empreintes de jarretelles sur mes cuisses.

Prétextant des raisons esthétiques, j'avais obtenu son accord pour m'épiler régulièrement le corps sans lui dire que j'aimais aussi me travestir.

Il m'a fallu beaucoup d'imagination ce soir là pour détourner ses soupçons.

 

Étant cadre commercial, je passe souvent mes nuits à l'hôtel.

De ce fait, j'emporte toujours avec moi un sac contenant mon nécessaire de maquillage, perruques, seins en silicone, dessous coquins, escarpins et aussi mes principaux jouets. ( gode ceinture, vibro, rosebud, vacuum, plug gonflable..)

Ne pouvant pas vivre mes fantasmes avec mon épouse, il m'arrive parfois d'inviter un travesti ou une fille vénale à venir me rejoindre dans ma chambre.

Je reçois d'ailleurs souvent les mêmes car avec l'habitude, ils savent mieux me donner du plaisir.

Avant leur visite, je me réserve toujours une heure pour me préparer.

Quel bonheur ce temps passé devant la glace à me transformer en bourgeoise BCBG qui s'apprête à passer la nuit avec une copine lesbienne !

Ma métamorphose achevée, je m'allonge sur le lit pour mettre en place mon préservatif féminin en écartant les cuisses pour l'enfoncer dans ma grotte.

Afin de pimenter la séance, je fixe sur le harnais de mon gode ceinture mon calibre préféré.

Je brûle d'impatience de voir ma belle visiteuse s'approcher de moi avec cet impressionnant phallus sanglé à sa taille.

En l'attendant, je frotte sensuellement mes cuisses gainées de nylon l'une contre l'autre pour sentir l'excitant contact des fibres synthétiques et entendre le crissement de mes bas.

 

Je dois avouer qu'avec le temps, je suis devenue dépendante du plaisir anal.

J'ai pris conscience que l'anus a davantage de terminaisons nerveuses qu'un vagin.

Ma queue est toujours plus dure lorsque je m'enfonce un plug dans les fesses car il stimule mon point G en pressant la racine de mon sexe.

De plus, je ressens toujours une forte excitation cérébrale en sentant mon anus dilatée.

Ma longue expérience me permet d'obtenir maintenant une jouissance plus intense et prolongée qu'un orgasme pénien.

 

 

Dans ma chambre, je prends des poses suggestives devant ma glace en caressant mon frein qui est aussi sensible qu'un clitoris et en me godant l'anus comme un vagin.

 

Lorsque l'on frappe à ma porte, j'enfile une robe de nuit transparente sur ma guêpière en étant ravie de pouvoir montrer la femme que je suis devenue.

 

C'est donc au retour de l'une de ces aventures que ma compagne s'est interrogée sur les marques de mes bretelles de soutien gorge et de jarretelles sur ma peau.

 

Mais, revenons à Sandra.

Impatiente de commencer, elle me pousse dans un fauteuil en s'agenouillant entre mes jambes.

Plongeant sa tête dans mes dessous, elle mordille le plug qu'elle m'a plantée dans les fesses.

- Tu mouilles déjà beaucoup Carole, s'étonne-t-elle en voyant ma culotte satinée s'auréoler de mon désir trop longtemps contenu.

Sans attendre, elle m'entraîne dans sa chambre.

Profitant de mon équilibre instable sur mes talons aiguilles, elle me culbute sur son lit.

Relevant mon déshabillé sur mes hanches, elle s'allonge sur moi en massant mon gland turgescent entre ses cuisses gainées de nylon.

Avec perversité, elle fait glisser sa chatte le long de ma hampe jusqu'à ce qu'un orgasme fulgurant m'emporte en me faisant exploser entre ses cuisses.

Sandra se relève en contemplant avec satisfaction les épaisses coulées blanchâtres qui s'accrochent comme des guirlandes à ses bas.

- Je t'ai vidé les bourses pour que tu résistes plus longtemps la fois prochaine.

Puis, prenant une serviette dans sa table de nuit, elle s'essuie l'entrejambe en rajoutant:

- Attends moi un instant, j'ai une surprise pour toi.

 

Elle réapparaît très vite en tenant dans la main une curieuse ceinture hérissée d'un triple gode.

Elle a un sourire au coin des lèvres en voyant mon étonnement.

- Nous allons nous gouiner entre filles, m'assure-t-elle en agitant son jouet sous mes yeux.

Elle laisse tomber sa robe à ses pieds en retirant sa culotte en dentelle.

Je contemple sans me lasser cette fille superbe qui ne porte plus que son corset, ses bas et ses cuissardes.

Elle plonge le premier gode dans sa chatte en étouffant un gémissement de plaisir.

Me fixant d'un regard trouble, elle appuie le second contre sa rosette en l'enfonçant lentement dans ses reins.

- Ces deux godes vont coulisser en moi quand je vais te baiser, s'exclame-t-elle avec excitation en ajustant soigneusement les harnais sur ses hanches.

Je la trouve irrésistible avec ses seins dressés et sa taille serrée dans son corset rose et noir.

- Regarde, je t'ai réservé le plus gros, rajoute-t-elle en me faisant face.

J'aperçois l'énorme pal qu'elle me destine.

- Je suis sûre que tu n'as jamais été prise par un tel calibre.

Me défiant du regard, cambrée sur ses talons, elle caresse avec perversité son gode monstrueux.

 

Allongée sur le lit, mon cœur bat la chamade lorsque cette envoûtante femme phallique s'approche de moi.

Je n'arrive pas à détacher mon regard de cette queue massive qui bat contre ses cuisses au rythme de ses pas.

Son diamètre augmente crescendo pour atteindre neuf centimètres à sa racine.

Je distingue nettement les grosses veines saillantes qui courent sur sa hampe.

Je sais par avance que son gland épais et bien formé va me donner du plaisir.

Je suis à la fois excitée et effrayée à la pensée d'être prise par un tel calibre.

Debout, sanglée dans son corset, Sandra l'empoigne à deux mains.

Elle bascule son bassin d'avant en arrière en donnant de puissants coups de reins dans le vide pour me montrer ce qui m'attend.

- Il est gonflé de sève, me dit-t-elle en pressant les bourses de ce phallus hors norme.

Avant que je puisse réagir, un jet puissant fuse en épaisses coulées blanchâtres sur mon visage.

Puis, Sandra vient se coucher à mes côtés en me retournant sur le ventre.

Elle effleure d'un doigt les renflements caractéristiques de mon anus qui témoignent de mes nombreuses expériences anales.

- Eh bien ma belle, je vois que tu aimes être prise par de gros calibres !

Elle explore longuement ma rosette avec sa langue en me faisant gémir de plaisir.

- Maintenant, mets toi sur le dos, m'ordonne t-elle quelques instants plus tard.

Après m'avoir lubrifié l'anus, elle glisse ses doigts l'un après l'autre dans ma culotte ouverte.

Puis, très vite, c'est sa main gantée de latex qui s'enfonce dans mes reins.

Je regarde fascinée son gode qu'elle vient de poser sur mon ventre.

Sa taille va de mon pubis jusqu'à la hauteur de mes seins, mais c'est surtout son épaisseur et son poids qui me donnent des frissons.

-Tu seras la première que j'empale sur ce gode, m'affirme Sandra en le faisant coulisser entre mes cuisses.

Peu après, elle empoigne mes talons aiguilles à deux mains pour m'écarter les jambes.

Quand je sens glisser ce sexe monstrueux dans le sillon de mes fesses, je suis partagée par la crainte et l'envie irrésistible d'être prise.

Sans me quitter du regard, Sandra presse fortement le gland contre mon œillet qui s'ouvre peu à peu comme un fruit mûr.

Son diamètre croissant me dilate à l'extrême et je cambre les reins en poussant pour m'embrocher plus facilement.

Chaque centimètre me comble d'un plaisir nouveau.

Je croise mes jambes dans le dos de Sandra pour garder mon bassin soudé au sien pendant qu'elle me pilonne l'anus à grands coups de reins.

- Tu as maintenant une queue d'un kilo plongée dans tes fesses, me dit-t-elle avec sadisme.

Décrivant de larges mouvements circulaires avec son bassin, elle me fouille le ventre en sentant vivre les deux autres godes dans ses orifices.

Parfois, elle sort de ma grotte en attendant que mon œillet se referme pour me transpercer à nouveau.

Peu à peu, la tête enfoncée dans sa voluptueuse poitrine, je sens le désir monter en moi.

Mes râles de plaisir ne tardent pas à résonner dans la chambre.

- J'ai trouvé ton point G, s'exclame Sandra en voyant quelques gouttes séminales sortir de mon gland.

- Ta queue va bientôt exploser, rajoute-t-elle en me masturbant.

A peine a-t-elle terminé sa phrase que mon sperme jaillit entre ses doigts en inondant ma guêpière.

Peu après, Sandra détache son gode ceinture en me disant :

- Baise moi, j'ai envie de toi.

Elle gémit doucement lorsque mes doigts effleurent sa chatte humide de désir.

Je l'allonge sur le dos en lui murmurant à l'oreille ce que je compte lui faire.

Ses yeux brillent de désir en découvrant le plug que je tiens à la main.

Elle laisse échapper un gémissement quand je le plonge dans ses fesses.

- Grâce à ce bijou anal, ta chatte est maintenant devenue aussi étroite que celle d'une vierge.

- C'est génial, je vais pouvoir te serrer davantage la queue, me dit-t-elle avec excitation.

- Viens vite, je n'en peux plus d'attendre, me supplie-t-elle en prenant ses talons à deux mains et en écartant ses cuisses sans pudeur.

 

Lorsque je la pénètre, elle croise ses jambes dans mon dos pendant que sa chatte avide de sexe me dévore la queue avec une rare voracité.

C'est un véritable gant de soie qui aspire et me serre la verge.

Pendant de longues minutes je m'active en elle avec ardeur en la faisant gémir de plaisir.

Puis, je lui retire son plug en l'allongeant sur le côté pour m'enfoncer dans ses fesses.

Tout en lui pilonnant les reins, je fais aller et venir un gode dans sa chatte en posant un vibro sur son bouton d'amour.

Cette triple stimulation ne tarde pas à la faire craquer.

Je m'active longuement en elle jusqu'à ce qu'elle jouisse en m'inondant le ventre de cyprine.

- Quel pied! S'exclame-t-elle.

- Maintenant, laisse moi te vider les couilles me dit-t-elle en devenant triviale pour mieux m'exciter.

 

S'asseyant à califourchon sur mon sexe, elle me tourne le dos pour pouvoir me goder en même temps car elle sait qu'elle doit me sodomiser pour que ma queue devienne bien dure.

 

S'activant de plus belle sur ma verge, elle fait également vivre le gode dans ma grotte jusqu'à ce que j'explose dans ses reins.

Elle se relève un instant plus tard en épongeant le sperme qui coule de ses fesses.

- Eh bien ma chérie, tu avais des réserves, me dit-t-elle admirative en enfilant sa jupe.

- Je te laisse un moment pour récupérer, me dit-t-elle.

 

Assise dos au mur, elle écarte les jambes en me fixant de ses yeux de braise.

Insatiable, elle s'enfonce un gode dans la chatte en posant un vibro sur son bouton d'amour.

Au bout d'un moment submergée par le plaisir, son regard se voile.

Elle est vraiment très belle...

Mon regard se pose tour à tour sur ses seins dressés dans son corset, sa jupe retroussée sur son ventre et ses bas à couture sortant de ses cuissardes.

Elle finit par jouir dans une succession de spasmes.

Toujours brûlante de désir, elle se met en levrette sur le lit, la croupe surélevée et la tête dans les draps.

- J'ai toujours envie de toi, me dit-t-elle.

Excitée par cette vision, j'écarte ses fesses à deux mains en posant ma queue contre son œillet.

- Maintenant, ne bouge plus et laisse moi faire, m'ordonne-t-elle les yeux brillants de désir.

Elle vient s'embrocher elle même sur ma verge en entamant de lents et puissants va et vient.

Puis, elle accélère le rythme en faisant claquer ses fesses contre mon ventre.

- J'aime sentir tes couilles me fouetter la chatte quand tu m'encules, s'exclame-t-elle.

S'apercevant que j'ai de plus en plus de mal à me contrôler, elle se colle contre moi en tortillant de la croupe pour m'achever.

Dans le même temps, elle glisse sa main entre mes cuisses en tirant sur mes bourses pour que je reste soudée à elle.

Ne pouvant plus me retenir, je donne un dernier coup de rein.

Transpercée par le poids de mon corps, Sandra a le souffle coupé quand je la cloue sur le matelas en déchargeant ma sève au plus profond de ses entrailles.

 

Nous faisons une pause en imaginant des jeux de rôles pour nos prochaines rencontres.

Prise d'une inspiration subite, elle se lève et sort d'un tiroir un plug gonflable vibrant d'une redoutable efficacité.

- Allonge toi sur le dos, m'ordonne-t-elle avec une lueur perverse dans le regard.

D'un geste précis, elle le plonge dans mes reins en le gonflant rapidement.

Un douleur aiguë m'envahit le ventre lorsque le ballonnet me dilate les chairs.

Sandra continue à presser la poire pour le faire grossir.

La tension devient vite insupportable.

Ma maîtresse pose alors un vibro sur mon frein pour associer le plaisir à la douleur.

Lorsque quelques gouttes de sève perlent à la surface de mon gland, elle me comprime la racine du sexe en s'exclamant:

- Je t'interdis de jouir pour l'instant.

Pendant un long moment, elle fait varier la taille du ballonnet en m'ouvrant l'anus jusqu'à dix centimètres de diamètre avant de le retirer de mes fesses.

Un instant plus tard, je la vois lubrifier avec inquiétude le pieu qu'elle me destine.

- Il va te donner des sensations fortes, me dit-t-elle avec un sourire pervers au coin de lèvres.

- Il est beaucoup trop gros, lui dis-je en protestant d'une voix faible.

- Comme tu es déjà bien dilatée, il finira bien par rentrer.

Je tremble d'appréhension et de désir lorsqu'elle s'allonge tête bêche sur moi en posant le gode contre ma rosette.

Elle sourit en voyant mon visage exprimer successivement la surprise, la crainte, le plaisir.

Puis, elle écarte mes fesses en m'enfonçant son gland monstrueux dans l' anus.

A chaque pression qu'elle exerce, j'ai l'impression qu'elle me poignarde le ventre.

Gémissant de douleur, j'essaye d'échapper à ce viol en resserrant mes sphincters et en tortillant de la croupe.

Ma résistance ne fait que stimuler les ardeurs de Sandra.

Mes chairs finissent par s'ouvrir lentement sous la poussée du pal qui force mon passage.

Soudain, mon anneau cède d'un coup en le laissant s'enfoncer au plus profond de mes entrailles.

Le gland étant passé, je ressens un net soulagement et j'éprouve maintenant du plaisir à me sentir dilatée.

Sandra s'en aperçoit et elle sort le gode pour le replonger brutalement dans mes reins.

Le souffle coupé, je reste tétanisée par la douleur.

- Tu as un cul splendide, s'exclame-t-elle sans pouvoir détacher son regard du phallus planté dans mes reins.

Me voyant m'agiter, Sandra serre ma tête entre ses cuisses pour garder le contrôle.

A moitié étouffée, je me calme très vite.

Elle sourit en voyant dans quel état elle m'a mise.

Ma queue humide est tendue de désir.

Elle sait qu'elle ne peut plus la toucher sans risquer de me faire jouir.

Pendant un long moment, elle prolonge mon plaisir par d'imperceptibles pressions sur le gode qui déclenchent mes contractions anales.

Au moment crucial, elle me prend dans sa bouche en m'enfonçant le gode jusqu'au fond de mes entrailles.

Pendant que je me vide dans sa gorge, Sandra étouffe mes râles de plaisir en collant sa chatte contre mes lèvres.

Après cette séance torride, je reste immobile en regardant fascinée cette énorme pal planté dans mon ventre.

 

.Merci de me laisser vos commentaires sur ce récit.





 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 





 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 





 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par sandratvtg - Publié dans : Récits femmes dominatrices - Communauté : Se travestir
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Vendredi 4 août 5 04 /08 /Août 11:31

 

 

 

 

 

Fascinante Claudia,

 

Le cœur battant, je sonne à la porte de ma maîtresse.

 

Une blonde sculpturale m'accueille vêtue d'une nuisette et d'un corset en satin qui mettent en valeur ses seins sublimes et la magnifique cambrure de sa croupe.

Les huit jarretelles tendues sur ses cuisses ont pour mission de maintenir bien droites les coutures de ses bas.

Perchée sur ses cuissardes, elle me fait entrer dans son donjon.

Son regard volontaire révèle un caractère bien trempé.

Je la trouve craquante avec ses pommettes slaves, ses yeux en amande et sa longue chevelure blonde qui retombe en cascade sur ses épaules.

 

Sans perdre de temps, elle me déshabille en me prodiguant ses caresses pour gagner ma confiance.

Puis, elle m'allonge sur une table médicale en m'immobilisant à l'aide de sangles qui m'enserrent la poitrine et le ventre.

Elle poursuit son œuvre en m'attachant les poignets et en bloquant mes pieds dans les étriers.

Je suis maintenant totalement livré aux pulsions de ma maîtresse.

- Je vais te faire découvrir des jeux que tu n'imagines même pas, me dit-t-elle en me retirant la cage de chasteté qu'elle m'a obligée à porter pendant un mois.

- Cette séance sera filmée, rajoute-t-elle

Elle me montre alors les différentes caméras chargées d'enregistrer les scènes.

 

L'une est installée au plafond et l'autre est fixée au mur face à moi.

A l'aide du boîtier qu'elle tient à la main, Claudia peut à tous instant cadrer les images au grand angle ou zoomer entre mes cuisses.

- Après avoir réalisé un montage, je revends mes productions à des clients privés ou à des magazines érotiques, me dit-t-elle en démarrant ses prises de vues.

- C'est d'ailleurs pour que tes éjaculations soient plus abondantes et spectaculaires à l'écran que je t'ai interdit de jouir si longtemps.

 

Un rasoir à la main, Claudia m'écarte les cuisses en traquant le moindre poil sur ma queue et mon anus pour satisfaire aux besoins du tournage.

Elle me provoque une forte érection en me rasant le sexe et l'anus.

- Je vois que tu aimes te faire prendre par de gros calibres, remarque-t-elle en effleurant avec son index les renflements caractéristiques de ma rosette qui témoignent de mes nombreuses dilatations anales.

Je lui avoue avoir porté la nuit dernière une culotte en latex munie d'un gode interne de 6 cm de diamètre en prévision des sévices qu'elle allait me faire subir.

 

Sans plus attendre, Claudia lubrifie son spéculum cylindrique XO en me lançant un regard ambigu.

Elle l'engage dans mon fourreau en l'écartant progressivement jusqu'à un diamètre de huit centimètres.

Ayant obtenu un parfait cerclage de mon anus, elle le laisse en place un moment pour pouvoir me fister plus facilement.

Lorsqu'elle le retire, c'est pour glisser trois doigts puis rapidement sa main dans ma grotte.

A son regard brûlant, je m'aperçois qu'elle prend beaucoup de plaisir à me violer de la sorte.

- J'ai enfoncé mon bras jusqu'au coude! S'exclame-t-elle d'une voix excitée.

Un moment plus tard, elle se retire de mes reins afin de prendre sur une étagère un plug urétral de 3 mm de diamètre dont l'extrémité se termine par une boule.

Après l'avoir lubrifié abondamment, elle saisit mon pénis entre son pouce et son index pour engager la longue tige en inox dans mon urètre.

Entraînée par son propre poids, je la vois s'enfoncer lentement dans ma verge.

Guidant la sonde entre ses doigts, Claudia accompagne sa progression en pressant ma queue pour l'aider à s'enfoncer jusque dans ma vessie.

Je reste fasciné par cette tige de trente centimètres qui disparaît peu à peu dans mon sexe.

 

 

Puis, Natacha me masturbe d'une main en faisant coulisser l'insert de l'autre.

Lors de ses va et vient, la boule à l'extrémité du plug stimule ma prostate en amplifiant mon érection.

Quelques instants plus tard, ma queue dressée se met à osciller de bas en haut.

Des gouttes de sperme s'échappent de mon gland...

Puis, une lente coulée de sève ininterrompue coule le long de ma hampe en se répandant sur mes cuisses.

Ma perverse Maîtresse attend patiemment que ma source de vie se tarisse pour retirer la tige recouverte de sperme et la porter à ses lèvres.

- J'aime goûter la sève de mes soumis, car elle a toujours une saveur différente, me dit-t-elle en me fixant de ses yeux de braise.

 

Claudia me laisse récupérer un moment avant de plonger dans mes fesses un plug en inox conducteur de courant.

Elle enveloppe ensuite mes bourses dans un parachute serti d'un fil électrique et entoure mon frein d'un anneau en latex à électrodes. qu'elle recouvre d'un gel conducteur.

J'attends avec impatience ce moment car cela me procure un plaisir indescriptible.

 

Elle n'a plus qu'à relier les différents fils de cuivre sur sa télécommande avant d'actionner son clavier.

Je ne tarde pas à ressentir d'agréables sensations lorsque les ondes électriques du plug plongé dans mes fesses se propagent dans mon ventre.

Transpercé par le courant, mon œillet se contracte en permanence indépendamment de ma volonté.

 

Gardant ses yeux rivés sur moi, ma Maîtresse suit d'un regard attentif la montée du plaisir sur mon visage.

Sur les écrans, je vois en gros plan ma queue tressauter sous l'effet de cette triple stimulation.

Guidée par mes gémissements, elle repère rapidement les réglages qui me font vibrer

Le courant gagnent maintenant ma prostate et mon périnée.

Pendant ce temps, l'anneau qui entoure mon gland irradie mon frein pendant que mes bourses enveloppées dans le cockring se soulèvent en cadence sous les impulsions électriques.

Pour éviter que je jouisse prématurément, Claudia programme avec soin ma montée en régime.

 

Attentive à mes réactions, elle change constamment le rythme et l'intensité du courant.

Des ondes de plus en plus fortes transpercent maintenant à la fois mes bourses, mon gland et mon anus.

- Ton plaisir va s’amplifier par la capacité de ton cerveau à transformer les ondes électriques en sensations érotiques, me dit-t-elle.

 

Le moment tant attendu arrive enfin.

Mes bourses enveloppées dans le cockring se contractent maintenant en permanence en faisant perler quelques gouttes incolores à la surface de mon gland.

 

Puis, ma sève s'échappe lentement et en continue de ma queue sous le regard brûlant de ma maîtresse.

Mon corps vibre sous la vague déferlante de l'orgasme anal qui m'emporte.

- L'électro stimulation donne toujours des éjaculations plus abondantes, m'assure-t-elle en regardant l'épaisse coulée de sperme m'inonder le ventre.

Elle m'achève en massant d'une main experte mon périnée et en pressant mes bourses pour prolonger mon plaisir.

Elle extrait ainsi mes dernières gouttes de sève.

- L'avantage avec cette technique, c'est que je peux aussi te donner des orgasmes secs, c'est à dire sans éjaculation, qui te permettront de garder ton érection, m'assure-t-elle.

- Tu pourras ainsi jouir plusieurs fois de suite comme une fille.

 

 

Après une courte pause, elle réactive le courant dans le plug anal en le pressant habilement contre mon point G.

A ma grande surprise, quelques minutes plus tard, je jouis plusieurs fois de suite sans éjaculer.

- La prochaine fois, j'utiliserai un plug urétral et anal pour stimuler à la fois ta prostate en interne et en externe.

- Cela te fera grimper au rideau, m'affirme-t-elle dans un rire de gorge évocateur.

Je me lève totalement comblé et épuisé par cette séance en me promettant de revoir très vite ma troublante amazone.

 

Donnez moi votre avis sur ce récit.

 

 

 

 

Par sandratvtg - Publié dans : Récits femmes dominatrices - Communauté : Homme aimant se travestir
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Mardi 18 avril 2 18 /04 /Avr 11:18

Le donjon de Natacha,

 

 

Je pose sur mon lit la lingerie que j'ai choisie pour passer le week-end avec Natacha.

C'est une dominatrice qui habite au nord de Paris.

 

Au téléphone, je l'ai trouvée si proche de mes attentes que j'ai accepté avec joie son invitation.

Tout à la pensée de cette rencontre, j'agrafe ma guêpière et enfile mes bas à coutures en les accrochant aux quatre paires de jarretelles.

Face au miroir, je contemple avec satisfaction mon corps parfaitement épilé par des séances de laser.

Je rentre ma queue entre mes cuisses pour mettre en valeur mon mont de vénus symbole de ma féminité.

Puis, je garnis mes bonnets 105/D de somptueuses prothèses en silicone avant de remonter sur mes hanches une culotte fendue assortie à ma guêpière.

Depuis mon adolescence, j'éprouve toujours la même envie de m'exhiber devant la glace.

C'est un plaisir sans cesse renouvelé que je m'offre plusieurs fois par semaine chez moi ou à l'hôtel lors de mes déplacements.

 

Après m'être maquillée et coiffée d'une perruque blonde coupée au carré, je me glisse dans deux jupons que je superpose pour gonfler ma ravissante robe patineuse.

Dans un geste très féminin, je la soulève pour donner de l'ampleur au tulle afin qu'elle laisse entrevoir mes jarretelles à chacun de mes gestes.

 

Je me suis habillée en blanc en espérant bien être «en foncée» d'ici ce soir...

Satisfaite de mon apparence, je fais quelques pas dans ma chambre pour contempler mes longues jambes recouvertes de nylon mises en valeur par mes escarpins .

Puis, je quitte mon appartement en prenant le volant de mon cabriolet décapoté.

 

Tout en roulant sur l'autoroute par une chaleur estivale, je relève mes jupons pour m'offrir délibérément à la vue des routiers.

Du haut de leurs cabines, ils bénéficient d'une vue plongeante sur la lisière de mes bas.

Lorsque je les dépasse, je reste un moment à leur hauteur en écartant les cuisses pour me donner en spectacle.

Ils peuvent admirer ma queue que j'ai coincé sous une jarretelle pour éviter qu'elle ne se devine sous ma robe

Ils me rendent aussitôt un vibrant hommage par un concert de klaxons ininterrompu qui m'accompagne tout au long du trajet.

 

Mon GPS m'arrête devant une grande villa au cœur d'un parc arboré à l'entrée de la forêt de Compiègne.

Le portail d'entrée s'ouvre instantanément devant moi et c'est le cœur battant que je pénètre dans cette propriété.

Natacha m'attend sous le porche.

Je suis d'emblée impressionnée par sa taille qui dépasse le 1,80m.

C'est une beauté slave ayant un visage aux pommettes saillantes et des lèvres sensuelles.

Sa chevelure brune en queue de cheval la fait paraître plus jeune que ses quarante ans.

Les bonnets de son corset en cuir peine à contenir sa superbe poitrine.

Perchée sur ses cuissardes, elle me toise avec insistance pendant que j'admire son corps souple et musclé.

Il se dégage d'elle une forte sensualité qui m'attire comme un aimant.

Je me laisse tomber à ses genoux en remontant mes mains le long de ses jambes pour caresser ses cuisses pleines et fuselées.

- Ne me touche pas, me dit-t-elle d'une voix forte en me plaquant brutalement au sol.

Elle se tient debout, ses jambes écartées au dessus de ma tête en savourant son plaisir de me voir à ses pieds.

Mon regard est attiré par l'impressionnant gode ceinture qui est fixé sur ses hanches.

Il est massif avec de grosses veines saillantes courant sur sa hampe.

En contemplant son gland épais est bien formé, je sais d'avance qu'il va me donner du plaisir.

Entraîné par son poids, il retombe sur ses genoux en se balançant lourdement devant mes yeux.

Je frissonne à l'idée d'être prise par cette queue monstrueuse.

Semblant lire dans mes pensées, Natacha me lance d'une voix moqueuse:

- Sois sans crainte, je ne vais pas te violer maintenant...

Comme elle ne porte pas de string, je remarque que la sangle centrale ajustée du harnais a complétement disparu dans sa chatte.

- Maintenant relève toi et suis moi m'ordonne-t-elle en m'entraînant dans son Donjon.

 

Nous descendons un large escalier s'ouvrant sur une pièce aux voûtes de craie blanche.

Le sol est recouvert de tomettes de couleur ocre.

Mon regard s'attarde avec surprise sur les aménagements de cette salle.

Il y a une croix de Saint-André, un lit avec des menottes fixées aux barreaux, une table médicale, un cheval d'arçon, une cage métallique avec des suspensions, un boudoir servant au maquillage et au travestissement...

 

Au mur sont fixés des barres d'écartement, une collection de fouets et divers accessoires.

Des godes emmanchés sur des lances de différentes tailles se dressent dans un coin de la pièce.

Sur une étagère sont rangés soigneusement par taille des plugs anaux et urétraux.

Quelques tables basses en forme de sexe féminin sont disposées ça et là.

Une grande pancarte accrochée au mur m'annonce déjà le programme: Sodomie du soir, repos des mâchoires, fellation du matin repos du vagin...

 

Natacha vient se coller contre moi en faisant glisser ses mains de mon cou à mes cuisses.

Elle caresse mon ventre en s'attardant sur mes seins et mes hanches.

- Remonte ta robe, finit-t-elle par me dire.

J’obéis en la relevant fébrilement contre ma taille.

Elle referme sa main sur le renflement évocateur de ma queue enfouie dans ma lingerie avant de la faire jaillir de ma culotte fendue.

Satisfaite de son examen, elle me dit:

- Je vais commencer ton initiation.

- Lorsqu'elle sera terminée, tu seras invitée aux nombreuses soirées que donnent les dominatrices de la capitale.

- Tu auras beaucoup de succès en portant le corset en satin rose et noir de mon école de dressage car elles sauront que tu es prête à satisfaire leurs moindres caprices.

- Maintenant déshabille toi.

 

En quelques minutes, je me retrouve vêtue de son corset fétiche, d'une ravissante nuisette, de bas cervin aux mailles brillantes et d'escarpins de huit centimètres.

Natacha me fait asseoir devant son boudoir afin d'apporter quelques retouches à mon maquillage.

Une perruque brune mi longue et un fond de teint achèvent ma métamorphose.

La bourgeoise que j'étais ressemble maintenant davantage à une fille de la rue Saint-Denis.

 

Dans la salle, je remarque les grandes glaces murales ornées d'halogènes qui trônent aux endroits stratégiques de la pièce.

Certaines entourent le lit alors que d'autres sont posées face à la croix de Saint-André et devant la table médicale.

Je constate avec satisfaction qu'à tout moment, je pourrai me voir dans l'une d'elles.

 

Natacha me tire de mes pensées en les pointant du doigt.

- Chaque veilleuse allumée sur le dessus signale la présence d'hommes et de femmes derrière ces glaces sans tain qui sont venus assister à ton dressage.

- Ils feront clignoter leurs lampes quand ils voudront t'encourager.

Un peu surprise, je tiens à vérifier ses propos.

Face à mes présumés admirateurs, je prends quelques poses suggestives en voyant très vite des lumières s'allumer devant mes yeux.

- Ne fais pas attendre ton public plus longtemps, me dit-t-elle en m'allongeant sur sa table médicale.

Natacha m'attache les mains au dessus de la tête et m'enfonce une de ses culottes en satin dans la bouche en me bâillonnant avec l'un de ses bas.

 

Bien que consentante, je pense avec inquiétudes aux tourments qui m'attendent quand elle relève ma nuisette sur mon ventre.

Armée d'un fouet, elle commence à me frapper doucement, puis de plus en plus fort.

Elle le fait claquer dans la pièce pour m'impressionner avant de l'abattre sur mes cuisses.

Devant la violence des coups, je gémis de douleur.

- Écarte bien les jambes, m'ordonne-t-elle en bloquant mes pieds dans les étriers.

Puis, elle rapproche la table des miroirs pour offrir aux spectateurs une vue plongeante sur ma queue et ma chatte parfaitement épilés.

 

Pendant de longues minutes, elle s'acharne sur moi avec une précision diabolique.

L'intérieur de mes cuisses et mon sexe portent très vite les marques de mon supplice.

Un peu plus tard, elle change de registre en me prodiguant des caresses.

Elle me pompe avec sa bouche aux capacités infinies.

Instinctivement, je me cambre pour m'offrir davantage à cette dévoreuse de sexe.

Je voudrais arrêter le temps pour prolonger ce moment ou je me sens plus vivante que jamais.

Devant mon érection spectaculaire, elle prend sur une étagère un plug urétral qu'elle lubrifie soigneusement.

 

Elle introduit la longue tige en inox creuse de 3 mm de diamètre dans mon urêtre en tenant ma verge bien droite pour qu'elle s'enfonce d'elle même par son propre poids.

Sans me quitter des yeux, Natacha accompagne sa progression en pressant habillement ma hampe entre son pouce et son index.

Je m'étonne de ne ressentir aucune douleur en voyant les trente centimètres de l'insert disparaître dans mon sexe.

Soudain, un jet d'urine sort de la tige creuse lui indiquant qu'elle a atteint ma vessie.

Puis, Natacha me masturbe lentement en faisant aller et venir le plug dans ma verge.

Parfois, elle pose son pouce dessus pour l'empêcher de remonter.

Lorsqu'elle le retire, la tige ressort spontanément de quelques centimètres devant ses yeux.

Amusée, elle recommence plusieurs fois de suite l'exercice.

Je suis au bord de l'orgasme quand elle m'enfonce son majeur dans l'anus.

 

Mettant à profit ma forte érection, elle frotte sa vulve contre ma hampe tout en faisant coulisser la tige métallique dans ma verge.

Cette scène remporte un vif succès auprès du public car les lampes se mettent à clignoter frénétiquement.

Me voyant sur le point de craquer, Natacha m'écrase violemment les bourses avec sa main en me disant:

- Tu jouiras quand je te le dirai!

Une douleur fulgurante me traverse le ventre en me coupant la respiration.

Avec sadisme, elle m'excite à nouveau en faisant glisser sa langue le long de mon frein.

J'essaye désespérément mais en vain de me contrôler.

Un frisson me parcourt l'échine quand sa main remonte le long de mes cuisses en se refermant lentement sur mes parties génitales.

Ses yeux de braise fixés sur moi, elle attend que ma queue soit bien raide et que la peur envahisse mon visage pour passer à l'action.

Cette fois, elle est impitoyable.

Elle exerce une pression insupportable en me broyant les testicules.

Je suis toute tremblante et tétanisée de douleur quand mon supplice prend fin.

 

- C'est un bon début, je suis satisfaite de toi, me dit-t-elle en me retirant l'insert.

Avant de m'allonger sur son lit, elle met de l'ordre dans ma tenue en retendant mes jarretelles.

Puis, elle saisit un autre plug urétral.

Il s'agit du fameux sceptre princier qui est la référence pour les initiés.

Natacha me fait admirer la grosse tige en inox torsadée de 6 mm de diamètre.

Son extrémité se termine par un capuchon destiné à recouvrir mon gland.

Elle le glisse lentement avec une grande dextérité dans mon sexe.

 

- Je vais maintenant satisfaire ton envie d'être une femme, rajoute-t-elle en brandissant un couteau à la lame effilée et courte.

- Avec cette dague, j'ai déjà féminisé un grand nombre de mes soumis.

- Lorsqu'un homme souffre d'une sexualité exacerbée, il est fréquent qu'il vienne me voir pour que je le libère de ses hormones.

- J'aide aussi ceux qui aspirent comme toi à changer de sexe.

- Certains souhaitent que je les castre en leur coupant uniquement les testicules pour espérer garder encore quelques rares érections.

- D'autres veulent que je les émascule en leur enlevant tout pour pouvoir mieux se concentrer sur leur plaisir anal.

 

- Je suis troublée à la pensée d'être celle qui te fait bander pour la dernière fois, me confie-t-elle d'une voix chargée d'émotion en me caressant longuement les bourses.

Elle continue à s'activer avec talent entre mes cuisses en rajoutant:

- Je veux que tu bandes fort car j'éprouve toujours davantage de plaisir à trancher une queue en érection même si cela doit te faire souffrir, me précise t-elle avec sadisme.

Les savantes caresses de ma belle dominatrice associées à la prise de viagra et de calmants inhibent en partie ma peur.

Le moment venu, elle empoigne avec douceur mes parties génitales en sortant de quelques centimètres le sceptre princier de ma verge pour que sa dague n'entame pas le métal.

- Il ne faut pas que j'abîme ce magnifique bijou, s'exclame-t-elle.

- Je vais couper ta queue bien à sa racine pour que tu te sentes plus femme, précise-t-elle en appuyant sa lame sur la veine bleue gonflée de sang qui coure le long de ma verge.

 

Lorsqu'elle commence à me trancher le sexe, je suis prise de panique.

Étonnée de n'éprouver aucune douleur, je prends conscience qu'elle simule mon émasculation en utilisant le dos de sa lame.

Natacha, éclate de rire en me voyant blêmir.

- La prochaine fois sera la bonne, m'assure-t-elle.

- Je suis impatiente de te couper la queue et la voir enfiler comme une brochette sur le sceptre princier.

A ces mots, je remarque que son donjon est parfaitement adapté à cet usage.

Mon matelas est protégé par une épaisse housse en plastique.

Sur le sol carrelé se trouve une grille de récupération d'eau usée ainsi qu'un tuyau d'arrosage fixé au mur pour pouvoir nettoyer rapidement les lieux.

 

Natacha me tire de mes pensées en posant un vibro sur mon frein.

- Maintenant, je t'autorise à jouir, me dit-t-elle.

Très vite, les vibrations me déclenchent une vague de plaisir qui me submerge et j'explose en recouvrant le sceptre princier d'épaisses coulées blanchâtres.

Ma Maîtresse m'ayant interdit toute activité sexuelle pendant plus d'un mois, ma sève se répand en abondance sur mon corset et mes bas.

- Tu avais des réserves, me dit-t-elle en contemplant les derniers soubresauts de ma queue.

 

Elle retire la longue tige torsadée ruisselante de sève de ma verge en la portant à ses lèvres.

- J'aime goûter le sperme de mes soumis car il a toujours une saveur différente, m'assure-t-elle.

Un moment plus tard, elle m'enfonce un spéculum à trois branches dans l'oeillet qu'elle ouvre en grand pour me dilater la chatte.

La peur s'empare à nouveau de moi lorsqu'elle se penche sur ma queue un rasoir à la main.

Je sursaute lorsque qu'elle le fait glisser le long de ma verge en tranchant la moindre pilosité.

Natacha régularise avec soin les contours de mon triangle de vénus et termine en me rasant méticuleusement l'anus.

 

- Désormais, je t'interdis de jouir, me dit-t-elle en retirant le spéculum et en déroulant un préservatif sur ma queue.

- Il va me servir de témoin.

- Si à la fin de nos jeux, je retrouve du sperme à l'intérieur, je te punirai sévèrement.

 

Poursuivant la séance, elle m'installe un étrange cockring métallique autour de la verge.

Il se prolonge d'une barre en inox recourbée et munie d'une boule à son extrémité destinée à me pénétrer l'anus.

Son diamètre étant supérieur à une boule d'attelage, Natacha doit forcer mon anneau pour la faire rentrer.

A peine a-t-elle réussie, qu'elle la retire brutalement en m'arrachant un cri de douleur.

- Doucement, je t'en supplie, lui dis-je en l'implorant du regard.

Sans prendre la peine de me répondre, elle l'enfonce à nouveau tout aussi violemment dans ma grotte.

 

- Maintenant, je vais te mettre à l'épreuve, me chuchote-t-elle à l'oreille.

Retirant son string, elle s'assoit à califourchon sur mes cuisses en me faisant face.

- Je te rappelle que tu ne dois pas jouir, me dit-t-elle d'une voix menaçante.

Elle me masturbe d'abord lentement, puis sur un rythme plus rapide tout en faisant aller et venir la boule du cockring dans mes fesses.

Puis, elle plonge ma queue dans sa chatte brûlante de désir et avide de sexe tout en me caressant les bourses et le périnée.

 

J'essaye en vain de résister à ses assauts, mais elle s'active sans trève sur ma colonne de chair qui se durcit de plus en plus.

Je me sens dominée par cette mante religieuse qui immobilise son mâle pour mieux le dévorer.

À mon grand soulagement, elle finit par s'arrêter.

- J'espère pour toi que tu n'as pas jouis, me dit-t-elle en retirant mon préservatif.

Quand elle le retourne dans sa main, je vois avec inquiétude quelques gouttes de sperme couler dans sa paume.

- Ce soir, tu regretteras de m'avoir désobéis, m'assure-t-elle en me jetant un regard lourd de menaces.

- Pour l'instant, je vais poursuivre ton dressage.

 

Je suis allongée sur son lit quand ses mains plongent dans les bonnets de ma guêpière pour retirer mes prothèses en silicone de 500gr.

Saisissant un coton imprégné d'un produit réfrigérant, elle me glace les tétons pour les insensibiliser.

Avant que je puisse réagir, elle les transperce avec une aiguille.

Je ressens une douleur aiguë qui s'estompe lorsqu'elle fixe des anneaux en acier sur mes aréoles.

- Ces bijoux portent mon prénom et ne pourront plus s'enlever.

- Désormais, tu m'appartiens, me susurre t-t-elle à l'oreille en me nouant un bandeau de soie autour du cou.

Elle s'allonge sur moi en pressant ma queue entre ses cuisses gainées de nylon.

 

Les frottements de ses bas sur mon gland décalotté me déclenchent une érection spectaculaire.

- Maintenant, je veux que tu me baises, me dit-t-elle en s'empalant sur ma verge.

Sa chatte devient une irrésistible pompe à sperme lorsqu'elle roule et ondule du bassin.

 

Elle se penche sur moi en me serrant la gorge avec son foulard en soie.

Natacha comprime mes carotides pour me faire bander plus fort.

Puis, elle relâche la pression en s'activant sur ma queue avant de recommencer.

Je suis totalement livrée aux pulsions sadiques de ma Maîtresse.

La peur qui m'envahit est étroitement mêlée au plaisir étrange qu'elle me fait découvrir.

A chaque fois, elle maintient le garrot serré un peu plus longtemps pour accroître la tension sur mon sexe.

 

La quasi totalité des lampes témoins se mettent à clignoter pour plébisciter la scène.

- Je vais t'achever maintenant, me dit-t-elle en se trémoussant d'une manière irrésistible tout en me serrant la queue avec sa chatte.

Ses yeux rivés aux miens, elle m'immobilise par le poids de son corps en m'écrasant les carotides jusqu'à ce que je me mette à trembler.

Soudain, une vague de plaisir m'emporte et ma sève fuse en jets puissants dans son ventre.

Dans le même temps, un voile noir me tombe sur les yeux et elle doit desserrer le foulard pour éviter que je perde connaissance.

 

- Tu m'as mis la dose, me dit-t-elle en regardant mon sperme ruisseler le long de ses cuisses

Pendant que je reprends mon souffle, elle sort un étrange plug d'un tiroir .

- Regarde, il est formé de trois anneaux, me dit-t-elle.

- Le premier à un diamètre semblable à une bouteille de vin.

- Le second plus gros à la dimension d'une bouteille de champagne.

- Enfin, le dernier mesurant 10 cm de diamètre est réservé à quelques rares initiés car il a la dimension mythique du plug B52.

- Je t'avoue que peu de mes soumis sont parvenus à ce stade, m'assure-t-elle en le lubrifiant copieusement.

 

Puis, Natacha m'installe sur un étrange cheval d'arçon.

Son extrémité est équipée d'un carcan qu'elle referme sur ma tête et mes poignets.

Allongée sur le ventre et mes pieds ne touchant pas le sol, je suis totalement en son pouvoir.

Elle contemple un moment ma croupe offerte sur laquelle sont tendues mes jarretelles.

Son regard s'attarde sur mon œillet entouré par l'écrin de dentelle de ma culotte ouverte.

Cette vision lui enflamme les sens.

- Avec le diamètre de ce plug, ça va vraiment être un viol, me chuchote-t-elle à l'oreille.

Le premier anneau s'engouffre facilement dans ma grotte.

Elle le presse fortement contre son genou pour faire rentrer le suivant.

- Maintenant pousse fort pour t'ouvrir au maximum, me dit-t-elle.

Après plusieurs tentatives infructueuses, le pal s'enfonce d'un coup au plus profond de mes reins.

Ma douleur est intense car mes sphincters dilatés à l'extrême se sont refermés sur le dernier anneau.

Je ne peux plus l'expulser sans courir le risque de me déchirer le périnée.

Quelques instants plus tard, Natacha parvient à le sortir avec d'infinies précautions.

 

Je me demande ce qu'elle va encore inventer lorsqu'elle m'allonge sur son lit.

Sans perdre un instant, elle enfile un long gant en latex et plonge sa main dans mon anus resté grand ouvert.

Elle tourne son poignet de droite à gauche pour passer la premiére courbure de mon intestin.

Puis, avec beaucoup de maitrise et d'assurance, elle m'enfonce son bras jusqu'au coude.

- Je sens ton pouls battre contre ma peau, me murmure-t-elle très excitée en me fouillant de plus belle.

Quelques minutes plus tard Natacha ressort lentement son bras de mes fesses en informant les spectateurs qu'elle va faire une pause.

 

En arrivant dans sa salle à manger pour se restaurer, elle m'habille en soubrette pour que je lui serve son repas.

Pendant qu'elle mange, je suis à genoux, la tête entre ses cuisses en faisant glisser ma langue sans trêve de son œillet à sa chatte.

 

A la fin de son repas, elle se lève en me rappelant sa promesse.

- Je vais te faire passer une nuit que tu n'es pas prête d'oublier!

Elle m'entraîne au centre de son donjon.

- Lève les bras, m'ordonne-t-elle en m'attachant les poignets à des chaînes fixées au plafond.

- Regarde, tu as de la visite.

Je vois avec surprise les miroirs sans tain coulisser sur leurs rails et céder le passage à des dominatrices en tenue SM accompagnées de leurs esclaves qui viennent se mettre en cercle autour de moi.

Les soumis sont de belles transsexuelles aux seins sublimes qui ont entre les jambes une queue à rendre jaloux la plupart des mâles.

Elles me regardent enchaînée et offerte à leurs désirs pendant que leurs Maîtresses les préparent en les masturbant.

 

La spectacle que j'offre les excite fortement.

Je suis debout, les bras levés suspendus à des chaînes en étant perchée sur mes talons aiguilles qui font ressortir la cambrure de mes reins.

Mon corset qui m'enserre la taille accentue encore ce phénoméne en faisant ressortir mes fesses.

Bien qu'étant enchaînée, je sais que c'est moi qui va dominer ces superbes créatures en leur vidant les bourses.

Elles n'auront bientôt plus qu'un morceau de chair flasque entre les jambes.

Galvanisée par cette idée, je m'apprête à subir leurs assauts

 

Au signal de ma Maîtresse ces créatures du troisième sexe viennent m'embrocher l'une après l'autre sans interruption.

Je suis totalement comblée par ces femmes phalliques qui pressent leurs seins superbes contre moi en m'embrochant sur leurs queues gonflées de désir.

Je ne compte plus les fois où j'ai senti jaillir leur sève dans mes reins.

 

Pour finir, une splendide panthère noire me fait face.

Visiblement, elle n'en peut plus d'attendre.

Elle ressemble au mannequin Naomie.

Même corps souple et fin qui dégage une sensualité à fleur de peau.

Prise d'une pulsion irrésistible, elle plaque mes cuisses sur ses hanches en voulant m'empaler sur son sexe d'ébène.

Trop impatiente lors de sa première tentative, sa queue manque son objectif et vient glisser sur mon ventre.

A la suivante, je gémis de plaisir lorsqu'elle m'embroche d'un coup jusqu'à la garde.

Quelques instants plus tard, son corps se met à trembler lorsqu'elle se vide longuement en moi.

Voulant prolonger notre plaisir, nous nous embrassons en restant soudées l'une à l'autre.

Elle finit par se retirer en me laissant l'anus ouvert.

Je vois alors d'épaisses coulées blanchâtres s'échapper de mes fesses et s'accrocher comme des guirlandes à mes bas.

Pour arrêter l'écoulement, elle m'enfonce un rosebud dans la chatte en me disant:

- Ainsi, tu vas pouvoir garder ma sève plus longtemps en toi.

 

Peu après, Natacha invite les participants à retourner derrière les glaces murales.

Puis, elle m'attache solidement les mains et les chevilles à la croix de Saint-André.

Je me retrouve écartelée face à elle.

- J'étais très jalouse en voyant toutes ces jolies filles te baiser, me confie-t-elle en frottant mon sexe contre sa cuisse.

- Je suis surprise de voir que tu bandes encore, me dit-t-elle avec admiration en me pressant les seins.

Elle m'enlace amoureusement.

- Tu es insatiable, je vais devoir te calmer, me murmure-t-elle à l'oreille.

 

Soudain, tout bascule.

Elle s'accroche à mon cou pour se stabiliser en me fixant de ses yeux de braise. Soudain, elle lance son genou avec une violence inouïe contre mes bourses.

Submergée de douleur, aucun son ne peut sortir de ma gorge lorsque mon corps s'affaisse sur la croix.

Ma maîtresse me relève la tête en me tirant par les cheveux.

- Redresse toi, je n'ai pas fini.

Je la vois avec angoisse s'écarter d'un mètre et balancer sa jambe d'avant en arrière en visant mon entrejambe.

Avec sadisme, elle prolonge mon attente en gardant ses yeux rivés sur mon bas ventre.

Son pied part à la vitesse de l'éclair.

Cette fois, je laisse échapper un cri de douleur.

Puis, elle revient se pendre à mon cou en préférant me travailler au corps.

Se faisant câline, elle fait monter irrésistiblement mon désir avant de m'écraser les bourses avec son genou.

Elle s'acharne sur moi un long moment en alternant si bien les sévices et les caresses que je regrette presque de la voir s'arrêter.

 

S'absentant un court instant, elle revient en tenant à la main un long pal de plus d'un mètre sur lequel est emmanché un gode.

L'heure tardive n'a pas découragé nos fans car toutes les lumières se mettent à clignoter.

Natacha tourne la croix de Saint-André pour me mettre la tête en bas en m'enfonçant son pal dans les reins.

 

Mes admirateurs ont alors une vue surréaliste.

J'ai la tête en bas et les cuisses écartées avec un long pieu sortant de mes fesses.

Pendant de longues minutes, Natacha maintient son public en haleine en me pilonnant le ventre.

 

Puis, elle redresse la croix de saint André avant d'insérer dans ma verge un plug urétral annelé dont l'extrémité se termine par une boule.

- La tige en métal est creuse, me précise-t-elle en la faisant coulisser dans ma verge.

- Tu pourras jouir quand je dévisserai la boule, rajoute-t-elle tout en me masturbant

Elle m'enfonce ensuite un plug anal dont le socle très large me recouvre les fesses.

- Tu vas rester attaché ainsi pendant des heures sans dormir.

Allongée sur son lit, elle guette l'instant ou je vais m'assoupir.

Dés mes premiers signes de sommeil, elle me fouette le sexe en accrochant des poids de plus en plus lourd à mes bourses.

 

A d'autres moments, sans me laisser de répit, elle tire sur mes anneaux de seins.

Au cours de la nuit, elle s'approche de moi en me disant:

- Maintenant, je vais te baiser par tous tes orifices.

Elle commence par m'enfoncer un gode dans la gorge en s'assurant que j'ai toujours son plug planté dans l'anus.

Puis, elle dévisse la boule de l'insert plongé dans ma queue pour que je puisse jouir par la tige métallique.

Enfin, elle prend un vibro qu'elle fait glisser le long de mon frein.

Natacha n'a pas longtemps à attendre pour que ma sève sous pression fuse par l'étroite embouchure du plug urétral.

Elle sourit en voyant mon sperme s'écraser en jets puissants contre le miroir sans tain et déclencher une frénétique activité lumineuse de la part de mes admirateurs.

Lorsque je me cambre sous l'intensité de l'orgasme, mon public peut apercevoir l'impressionnant socle du plug qui me recouvre les fesses.

Pendant toute la nuit, je subis les caprices de ma Maîtresse en restant attachée à la croix de saint-André.

 

Merci de me donner votre avis sur ce récit.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par sandratvtg - Publié dans : Récits femmes dominatrices - Communauté : Homme aimant se travestir
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Mardi 18 avril 2 18 /04 /Avr 11:16

Après midi torride,

J'arrive chez Sylvia qui m'a été chaudement recommandée par un ami.

Une voluptueuse brune en déshabillé transparent m'ouvre la porte.

Elle a les yeux bruns en amande et ses lèvres gourmandes témoignent d'une sensualité à fleur de peau.

Sa robe de nuit qui s'ouvre sur un corset rose me dévoile ses seins sublimes.

Un slip brésilien et quatre paires de jarretelles tendues sur ses cuisses fuselées la rendent irrésistible.

Perchée sur ses cuissardes à talons aiguilles, elle me fait rentrer dans son salon en m'invitant à m'asseoir.

 

Au cours de notre conversation, elle croise et décroise lentement ses jambes en me laissant entrevoir sa culotte en satin.

Quelques instants plus tard, elle glisse sa main entre mes cuisses pour mieux recueillir mes confidences.

- Dis-moi quelles sont tes attentes?

Mis en confiance par cette superbe créature, je lui avoue le but de ma visite.

- J'aimerai vivre cette journée en fille, lui dis-je d'une voix hésitante.

- J'ai tout ce qu'il faut pour te féminiser, m'assure Sylvia.

- Ne perdons pas de temps ma belle, rajoute-t-elle en s'adressant désormais à moi au féminin.

- Puisque tu es déjà parfumée et épilée, je vais t'aider à choisir tes dessous.

En me prenant par la main, elle m'entraîne en souriant dans sa chambre.

Après m'avoir deshabillée, elle ouvre son armoire débordante de guêpières, corsets, porte jarretelles, nuisettes, jupons vaporeux...

Me voyant rouge d'excitation et indécise, elle finit par choisir elle même mes dessous qu'elle m'aide à enfiler.

Elle termine par une séance de maquillage en me plaçant devant le miroir pour que je puisse juger du résultat.

- Regarde ma chérie comme tu es craquante, me chuchote-t-elle à l'oreille.

La glace me renvoie l'image d'une fille portant une ravissante lingerie.

Une perruque blonde mi courte encadre mon visage

Mes lèvres sont peintes d'un rouge intense pour les rendre pulpeuses.

Mes yeux ornés de faux cils sont mis en valeur par du eyes liner et un fond de teint affine le grain de ma peau.

Ma généreuse poitrine en silicone menace de faire exploser les bonnets 105/D de ma guêpière.

Mes seins lourds et fermes font s'inscruster mes bretelles de soutien gorge dans mes épaules.

Une culotte fendue enveloppe ma queue dans un écrin de dentelle et de soie en exposant mon oeillet au regard de Sylvia.

 

Elle achève ma transformation en accrochant mes bas aux quatre paires de jarretelles.

Je caresse avec émotion ces mailles brillantes qui m'électrisent la peau en contemplant le galbe parfait de mes jambes sublimé par mes escarpins.

Je ne peux m'empêcher de virevolter devant la glace en admirant ma silhouette élancée et ma taille prise dans ma ravissante guêpière.

Je fais quelques pas dans la chambre pour sentir l'excitante tension de mes bas sur mes cuisses.

Puis, j'enfile une nuisette qui stimule ma libido par les frottements du satin sur mon gland.

Je ne peux retenir quelques gouttes de sève qui imprégnent ma nuisette d'auréoles blanchâtres.

Pendant ce temps, Sylvia s'approche sournoisement de moi.

Avant que je puisse réagir, elle me culbute sur le lit en pressant la racine de mon sexe entre son pouce et son index pour amplifier mon érection.

Puis, elle frotte ses cuisses contre les miennes pour me faire entendre le crissement de nos bas.

Je tombe définitivement en son pouvoir lorsqu'elle plonge avec perversité son majeur dans mes fesses.

Très expérimentée, elle le recourbe vers le haut en massant mon point G avec insistance.

- Tu mouilles beaucoup ma belle et ton anneau est déjà bien ouvert, me dit-t-elle avec une pointe d'excitation dans la voix.

- Attends moi un instant, je reviens, rajoute-t-elle d'une voix sibylline.

 

Peu après, elle réapparaît vêtue d'une cape rouge et de cuissardes assorties.

Perchée sur ses talons, elle s'approche de moi, sensuelle et dominatrice.

Lorsqu'elle entrouvre sa cape, je découvre l'impressionnant gode qui se balance lourdement entre ses cuisses.

Je ressens une forte excitation mélée d'inquiétude quand elle finit d'attacher cette queue monstrueuse à sa taille.

Mon regard reste figé sur son gland épais et sa hampe parcourue de grosses veines saillantes.

- Ce gode mesure plus de trente centimètres, mais c'est surtout son diamètre qui va te faire craquer m'assure-t-elle.

Elle me le montre sous tous les angles en la lubrifiant abondamment.

Puis, avec une lueur trouble dans le regard, elle me plaque contre le mur de sa chambre.

- Je veux te prendre debout à la hussarde, me dit-t-elle d'une voix rauque.

A la fois troublée et excitée par ce qui m'attend, je contrôle mal mon émotion et ma maîtresse ne peut s'empêcher de sourire en voyant ma queue jaillir par la fente de ma culotte.

Ses yeux rivés dans les miens, elle me force à écarter les jambes en remontant son genou gainé de nylon à l'intérieur de mes cuisses.

- Maintenant, tourne toi face au mur.

 

Mon cœur bat la chamade lorsque ma belle dominatrice accroche ses mains à mes hanches en pressant son gode contre mon anneau.

Lorsqu'elle m'écarte les fesses avec ses pouces, je cambre les reins dans l'attente d'être prise.

J'attends son assaut les bras tendus contre le mur de sa chambre.

Agrippée à moi, elle me viole à grands coups de reins en m'embrochant jusqu'à la garde.

Sans s'arrêter, elle me laboure le ventre en me clouant littéralement au mur.

Un peu plus tard, elle me retourne face à elle en soulevant une de mes jambes contre sa hanche pour s'enfoncer plus à fond.

Ne tenant plus en équilibre que sur un talon aiguille, je m'accroche à son cou pour me stabiliser.

Face au miroir, j'ai du mal à croire que je suis cette fille qui se fait trousser à moitié nue en découvrant ses jarretelles.

Mon corps tréssaille sous les assauts de ma maîtresse qui ne ménage pas ses efforts.

Lorsqu'elle se retire de mes reins, j'entends le gode aspiré par mes chairs sortir dans un bruit de succion.

- Tu es maintenant bien ouverte ma chérie, me dit-t-elle.

Je contemple avec incrédulité ce pal monstrueux qui retombe sur ses genoux en me demandant comment j'ai pu prendre un tel calibre.

Me voyant déstabilisée, elle m'adresse un sourire complice:

- Suis moi, je te réserve d'autres surprises.

 

Elle m'allonge sur son lit en glissant deux coussins sous mes fesses.

Puis, elle soulève mes jambes en empoignant mes talons aiguilles à deux mains.

- C'est la meilleure position pour te sodomiser, m'assure-t-elle.

Plaçant ses épaules dans le creux de mes genoux, elle me baise longuement sous tous les angles en explorant les moindres recoins de ma grotte.

 

Peu après, Sylvia saisit un gode muni d'un manche.

- Avec ce jouet, je vais pouvoir te fouiller la chatte avec plus de précision.

Mon cœur bat la chamade, quand elle me retourne sur le ventre en m'écartant les fesses.

Lorsqu'elle m'empale, je ferme les yeux pour mieux savourer mon plaisir d'être prise.

J'ai l'impression d'être ouverte en deux lorsque mes chairs s'écartent sous la pression du pal.

Sylvia me possède méthodiquement avec la régularité d'un métronome en m'empêchant de refermer les cuisses.

Surexcitée, je pousse fortement pour m'ouvrir l'anus et m'empaler plus à fond.

Lorsque ma maîtresse le sort de mes reins, ma rosette s'étire sur le gode comme si elle voulait le retenir.

Puis, elle s'enroule à nouveau dessus quand elle l'enfonce dans mon ventre.

Je contracte mes sphincters pour mieux le sentir s'enfoncer en moi.

 

Sylvia s'active avec une habilité diabolique jusqu'à ce quelques gouttes de sève coulent sur ma guêpière.

- J'ai trouvé ton point G, jubile-t-elle.

Quelques instants plus tard, elle réalise à mon souffle court et aux tressautements de ma verge que je vais jouir.

J'essaye en vain de retenir la lave qui monte en moi.

- Laisse toi aller ma belle, me chuchote-t-elle à l'oreille en faisant glisser lentement son ongle sur mon frein pour m'achever.

Mon orgasme est indescriptible et je jouis longuement en gémissant de plaisir.

Sylvia accompagne chacun de mes spasmes en pilonnant ma prostate.

A chaque pression du gode sur ma glande, ma sève jaillit en retombant en arabesques blanchâtres sur ma guêpière.

Elle éclate de rire en me voyant terrassée par l'orgasme.

La séance n'est pas terminée, m'affirme-t-elle en m'embrassant à pleine bouche et en me pressant les seins.

- Je t'ai bien vidé les bourses, s'exclame-t-elle en montrant du doigt ma lingerie recouverte de sperme.

Après un court instant de repos, elle décide de me remettre en forme.

Pour cela, elle enfonce d'emblée trois doigts dans ma chatte restée largement ouverte tout en faisant glisser une de ses nuisettes entre mes cuisses.

Les frottements du satin sur mon gland décalotté associés à la pression de ses doigts dans mon fourreau anal ne tardent pas à provoquer mon érection.

 

Arrivée à ses fins, elle plaque son clito gorgé de sang contre mon sexe turgescent.

Avec l'instinct d'une mante religieuse qui a trouvé sa proie, elle plonge ma queue dans sa grotte avide de sexe.

Survoltée, Sylvia s'active un long moment sur mon bâton de chair avant de jouir en m'inondant le ventre de cyprine.

- Je vais maintenant te faire découvrir une de mes spécialités, me dit-t-elle en me plaçant le dos appuyé contre la tête de lit.

Après m'avoir lubrifié l'oeillet, elle enfonce son spéculum XO dans ma chatte.

C'est un cylindre creux qui peut s'ouvrir jusqu'à dix centimètres de diamètre beaucoup plus efficace que ceux à deux ou trois branches.

- C'est l'appareil idéal pour obtenir un parfait cerclage de l'anus...

Elle le laisse en place un moment pour assouplir et dilater ma rosette.

- Tu vas aimer cette gâterie, me murmure-t-elle à l'oreille en recouvrant son bras de silicone.

Un instant plus tard, elle retire son spéculum et plonge avec une facilité déconcertante sa main dans mon ventre en sentant mes sphincters lui serrer le poignet.

Puis, Sylvia soulève mes fesses en bloquant son avant bras à la verticale contre le matelas.

C'est avec un plaisir non dissimulé qu'elle me regarde m'empaler lentement par le poids de mon corps.

Puis, elle m'allonge sur le dos pour pouvoir m'enfoncer son bras jusqu'au coude.

Je suis stupéfaite de voir ses doigts soulever la peau de mon ventre jusqu'à la hauteur de mon nombril.

Maintenant décidée à me porter le coup de grâce, elle glisse lentement sa langue sur mon frein jusqu'à ce que j'explose en jets puissants dans sa gorge.

S'étouffant sous la pression de mon sperme qui lui éclabousse les lèvres, elle s'empresse de l'avaler rapidement.

J'ai l'impression de jouir comme une fille quand elle me titille la queue comme un clito en se servant de mon cul comme d'un vagin.

- Nous allons faire une pause pour que tu puisses récupérer, me dit-t-elle.

Cette fois, elle me laisse choisir ma nouvelle tenue d'alcôve.

 

Devant le miroir, je plaque sur mes hanches un serre taille de couleur rose.

Sa forme à la fois sensuelle et rétro me plaît beaucoup.

Après une longue hésitation, je craque devant une charmante nuisette à balconnets en satin ornée de fines bretelles.

J'accroche avec volupté mes bas résilles aux jarretelles et j'enfile comme une seconde peau une longue paire de gants en soie qui me couvre les bras en accentuant mon côté glamour.

Je me glisse ensuite dans une robe bustier en voile transparent ouverte sur le côté qui découvre ma cuisse à chacun de mes pas.

Enfin, je troque ma perruque bouclée blonde par une autre coupée au carré de couleur brune.

 

Pendant que je me contemple devant la glace, Sylvia en profite pour me glisser de volumineuses prothéses en silicone dans mes bonnets 105/D.

Excitée par la taille de mon sexe qui n'a cessé de grandir pendant la séance, elle vient se coller contre moi en me disant:

- Surtout ne mets pas de culotte ma chérie, ce serait dommage de cacher une si belle queue.

- Tu dois me laisser un libre accès à tes fesses, rajoute-t-elle d'une voix sibylline.

D'un air amusé, elle voit ma verge pointer sous mon déshabillé transparent.

- Il est grand temps que je te vide les couilles, me lance-t-elle dans un langage volontairement trivial pour stimuler ma libido.

 

Sans attendre, elle m'allonge sur son lit en relevant ma robe et ma nuisette sur mon ventre.

- Nous allons nous gouiner entre filles! S'exclame-t-elle en m'enfonçant son majeur dans les fesses tout en saisissant un vibro caché sous l'oreiller.

Avec précision, elle le pose sur mon frein jusqu'à ce que les vibrations fassent perler un liquide transparent à la surface de mon gland.

 

Une fois de plus, Sylvia se révèle une merveilleuse maîtresse en anticipant mes désirs.

Pour retarder mon orgasme, elle soulève le vibro dès qu'une goutte de sève coule le long de ma hampe

Puis, elle le pose à nouveau sur mon frein pour faire apparaître la suivante.

Dans le même temps, elle fait coulisser son doigt de plus en plus vite dans ma grotte.

A son regard brûlant, je sais qu'elle a décidé de me faire jouir.

Je m'abandonne pleine de désir en écartant les cuisses pour qu'elle puisse plonger sa main dans mes fesses.

 

Trés vite, une vague déferlante de plaisir me submerge accompagnée d'une longue coulée de sève ininterrompue qui se répand sur mon corset et mes bas.

Sylvia poursuit son fist jusqu'à ce que ma source de vie se tarisse.

 

- Je vais maintenant tester sur toi une fucking machine que je viens de recevoir, me dit-t-elle

Elle me déshabille en me laissant uniquement mon serre taille, mes bas et mes escarpins.

Souhaitant me faire une surprise, elle me bande les yeux avant de me guider dans la pièce voisine.

Elle m'aide à monter deux marches et à m'allonger sur une surface lisse.

Je me rends compte qu'il s'agit d'une table médicale quand elle m'attache les pieds aux étriers.

Lorsqu'elle retire mon bandeau, je reste stupéfaite en découvrant mon nouvel univers.

Je me retrouve dans une petite pièce entièrement recouverte de miroirs.

Un objet insolite est placé devant moi et mon regard est attiré par la longue tige métallique qui est pointée entre mes cuisses et sur laquelle est fixé un gode impressionnant qui va en s'élargissant jusqu'à sa base.

 

- Jusqu'à présent, j'utilisais des godes ceintures pour satisfaire mes amants mais j'étais frustrée de ne pas pouvoir jouir.

- Désormais, je peux t'offrir des sensations fortes tout en m'empalant sur ta queue.

- Je vais te baiser pendant que cette petite merveille t'enfilera mieux que moi.

- Elle a plusieurs programmes que je peux modifier à tous instants.

- Je peux régler la profondeur des pénétrations, la vitesse et l'intensité des vibrations.

- J'ai également la possibilité d'adapter des godes de différents diamètres pour satisfaire tous tes désirs, me dit-t-elle en me jetant un regard en coin.

Sans perdre de temps, elle m'attache à l'aide de sangles qu'elles passent sur mes seins et mon ventre.

- C'est pour t'empêcher de bouger et éviter que la machine ne te blesse pendant la séance, me précise-t-elle pour me rassurer.

 

S'apercevant que je bande à moitié, elle me caresse l'intérieur des cuisses.

- Heureusement, j'ai de quoi te remettre en forme, me dit-t-elle en souriant.

Elle sort d'une armoire un long tube en verre prolongé par un tuyau au bout duquel est fixé une pompe.

 

Je reconnais un vacuum.

- Cet instrument en faisant le vide d'air va te faire bander rapidement, m'assure-t-elle en glissant mon sexe dans le cylindre en verre.

Lorsqu'elle actionne la poire, je sens ma verge s'étirer et se dilater progressivement en atteignant vingt centimètres sur le verre gradué.

Mais ce qui m'étonne le plus, c'est son épaisseur.

Je vois mon gland gonfler démesurément et venir s'écraser sur la paroi de l'appareil.

Sylvia contemple d'un air satisfait mon sexe turgescent à travers le verre dépoli.

Puis, elle le sort du tube en glissant un anneau pénien à sa base pour me faire garder mon érection.

- J'aime les glands épais comme le tien car ils me donnent davantage de plaisir, me dit-t-elle ravie.

 

Elle règle ensuite la hauteur de la machine en engageant le gode dans ma chatte.

- Je vais commencer par le programme d'initiation, me dit-t-elle d'une voix rassurante.

Lorsqu'elle appuie sur la télécommande, je sens le pal s'enfoncer de quelques centimètres dans ma grotte.

Tout en me masturbant, elle me fait découvrir les multiples ressources de l'engin.

Au bout d'un moment, la poussée du pieu devient si puissante que mes fesses se soulèvent à chaque va et vient.

Puis, la machine alterne les rythmes lents et rapides.

Lors de sa progression, le diamètre du pal s'accroît en me donnant des sensations fortes.

Sylvia choisit ce moment pour stimuler avec un vibro mon frein et mon périnée.

Un plaisir intense m'envahit le ventre pendant que la machine continue à m'empaler sur un rythme soutenu.

Cette triple stimulation du Pénis, du Périnée et de la Prostate (les 3 P) m'amènent très vite au bord de l'orgasme.

Lorsqu'elle voit ma queue tressauter de désir, Sylvia se place à califourchon sur moi pour s'empaler sur ma verge en me disant:

- Je ne veux pas que tu jouisses sans moi.

Insatiable, elle entame de lentes et puissantes bascules du bassin d'avant en arrière qui me mettent dans tous mes états.

Je gémis de plaisir lorsqu'elle me serre la queue pendant que le gode va et vient sans trêve dans mes reins.

Parfois, Sylvia s'arrête de me chevaucher en tournant lentement ses fesses sur ma verge qui lui sert de pivot.

- Tu aimes ça mon ange, me dit-t-elle d'une voix chaude en me voyant trembler de désir.

Ayant déjà jouis plusieurs fois, je résiste d'autant mieux à ses assauts.

 

Mes yeux se posent sur les miroirs de la chambre qui reflètent de tous côtés des scènes excitantes.

J'admire les seins et la superbe chute de reins de Sylvia.

Sanglée dans son corset, elle continue à se trémousser sur mon dard avec une rare perversité.

Mon désir monte crescendo quand je vois le gode démultiplié par les miroirs me pénétrer inlassablement sous tous les angles.

- Fais-moi jouir, me supplie Sylvia en me tendant son vibro.

 

Quelques minutes plus tard, chauffée à blanc, elle est sur le point de craquer.

Je sens son anneau se contracter de plus en plus souvent sur ma queue.

Enfoncé à fond dans ses reins, je titille de plus belle son clito avec mon vibro.

Elle jouit en laissant échapper des gémissements de bonheur.

- Eh bien ma chérie, tu m'as fait prendre mon pied, me dit-t-elle encore haletante de plaisir.

Reprenant ses esprits, elle passe à son tour à l'action en me gardant toujours en elle.

 

A l'aide de sa télécommande, elle augmente l'intensité des vibrations en m'enfonçant le gode au plus profond de mes entrailles.

Les talents de ma maîtresse conjugués au rythme soutenu de la machine font monter mon désir.

Je me cambre autant que me permettent les sangles dans l'attente du fabuleux orgasme qui va m'emporter.

Sylvia me chevauche sur un rythme effréné en m'écrasant les bourses tant son excitation est grande.

Soudain, des râles de plaisir s'échappent de ma gorge lorsqu'un orgasme puissant me fait éclater la tête.

Je suis à la limite de perdre connaissance lorsque ma semence fuse dans ses fesses.

Le corps tendu en arc de cercle, je jouis dans une succession de spasmes qui manque de la désarçonner.

 

Ses yeux de braise rivés sur moi, elle contracte fortement ses muscles intimes pour pomper mes dernières gouttes de sève.

Puis, elle se lève pour aller contempler le pieu toujours plongé dans ma grotte.

- C'est impressionnant de te voir empalée par un tel calibre, s'exclame-t-elle admirative.

Elle le retire doucement de mes reins en me laissant l’œillet grand ouvert.

- Il va mettre du temps à se refermer, me dit-t-elle en riant en me libèrant de mes liens.

Terrassée de fatigue, je me rhabille en gardant sur moi ma voluptueuse lingerie.

Je la quitte à regret en me promettant de la revoir très vite.

 

Merci de me laisser vos commentaires sur ce récit.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par sandratvtg - Publié dans : Récits femmes dominatrices - Communauté : melany_travesti_soumise
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