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Mon désir de vivre en femme,

Je suis allongée sur une table médicale, avec les pieds dans les étriers.

Natacha, superbe dominatrice, grande et élancée se tient devant moi.

Elle est très féminine avec sa chevelure en queue de cheval qui lui affine le visage.

Elle porte une ravissante nuisette et une guêpière comprime ses seins volumineux et lourds.

Elle est perchée sur ses cuissardes d'où jaillissent ses cuisses fuselées gaînées de nylon.

Je n'arrive pas à détacher mon regard du monstrueux gode ceinture qu'elle a fixé sur sa taille et qui retombe lourdement sur ses genoux.

Elle l'a tellement ajusté qu'une des lanières disparaît entièrement dans sa chatte.

M'ayant maquillée et coiffée d'une perruque bouclée blonde, Natacha me fait enfiler une guêpière, un string transparent et des bas cervin.

Elle achève ma transformation en glissant mes pieds dans des escarpins.

Lors de ces séances, elle s'adresse à moi au féminin en me considérant d'emblée comme une fille.

Après m'avoir fait jouir et vivre de nombreux jeux de rôles, elle fait glisser lentement une de ses nuisettes entre mes cuisses.

L'excitant contact du satin sur mon périnée, mes bourses et mon gland ne tarde pas à me provoquer une nouvelle érection.

Un moment plus tard, posant son gode contre mon oeillet, elle me pénètre lentement en prenant appui sur ma colonne de chair pour s'enfoncer plus à fond dans mes fesses.

Elle sait que j'adore être prise dans cette position.

Je l'aide en cambrant les reins et en écartant les cuisses pour m'offrir à ses assauts.

Quand je sens son ventre soudé au mien, je sais qu'elle m'a embrochée jusqu'à la garde.

Tout en me masturbant, elle stimule habilement ma prostate par d'amples mouvements du bassin jusqu'à ce qu'un flot blanchâtre s'écoule le long de ma hampe en inondant ma guêpière.

Face au miroir, j'aime la voir me violer en sentant mes chairs s'écarter sous la pression du pal.

Je me rends compte que je suis devenue psychologiquement et physiquement dépendante du plaisir anal en aimant dominer et terrasser cette queue qui m'enfile.

- Je suis flattée d'être la femme qui te vide les bourses pour la dernière fois, me dit Natacha en me fixant d'un regard ambigu.

A ces mots, je comprends qu'elle a enfin décidé de répondre à ma demande.

- Comme tu le souhaites, je vais maintenant stopper ta production d'hormones.

- J'ai acquis une grande expérience dans ce domaine en réalisant une trentaine d'interventions par an.

- Aux USA, c'est devenu un véritable phénomène de société car les demandeurs sont légion.

- Là bas, beaucoup d'hommes jeunes ne veulent plus être esclaves de leur sexe et d'autres comme toi souhaitent vivre comme une femme.

- Avec le temps, on devient plus cérébral en recherchant des sensations fortes dans des jeux de rôles qui privilégient le plaisir anal.

- Après ta castration, je te laisserai quelques mois de réflexion avant de te trancher définitivement la queue.

- Je veillerai à la couper bien à sa racine pour que tu te sentes totalement femme.

Voulant me montrer ce qui m'attend, Natacha referme doucement sa main sur mon sexe en appuyant le dos de la lame d'un couteau sur la veine bleue courant sur ma hampe.

Je frissonne en sentant le contact froid de l'acier glisser sur ma chair.

- Ce n'était qu'une répétition mais la prochaine fois sera la bonne, me dit-t-elle dans un rire de gorge témoignant de son état d'excitation.

- N'ayant plus rien entre les cuisses, tu pourras enfin porter la lingerie transparente dont tu rêves en dévoilant ta féminité aux yeux de tes amants...

- Aujourd'hui, je vais seulement t'enlever ta source de vie, ce qui t'apportera également des avantages:

- N'ayant plus d'érection, ton plaisir anal sera plus fort car il ne sera plus parasité par ta queue.

- L'anus étant mieux innervé qu'un vagin, tu sentiras le sperme fuser dans ta chatte alors que la plupart des femmes n'éprouvent pas cette sensation quand leurs amants jouissent en elles.

- Avant de commencer, je vais te faire une injection de xylocaine, rajoute-t-elle d'une voix douce en se plaçant entre mes cuisses une seringue à la main.

- Sois rassurée, j'ai déjà castré de nombreux mâles avant toi.

Avec précision, Natacha multiplie les points d'injections pour que le produit anesthésiant diffuse plus rapidement.

L'aiguille est si fine que je la sens à peine s'enfoncer dans mes chairs.

En attendant que le produit fasse effet, elle ne résiste pas à l'envie de me masturber en caressant la peau satinée et douce de mes bourses.

En voyant ma queue se dresser à nouveau fièrement devant ses yeux, elle me dit:

- Je suis émue de voir ta queue bander pour la dernière fois mais aussi très excitée par ce que je m'apprête à faire.

Une peur panique s'empare de moi quand elle saisit son scalpel.

D'une main sure, elle incise mes bourses sur deux centimètres en pressant doucement mes testicules avec ses pouces pour les faire sortir.

Très concentrée sur sa tâche, elle tire sur les cordons auxquels ils sont rattachés en les laissant pendre sur mes cuisses.

Avant de poursuivre, elle me fixe intensément et longuement du regard en me disant:

-Tu sais que c'est irréversible et que tu ne pourras plus jamais bander ?

Me voyant acquiescer du regard, elle passe à l'action.

- Tu me fais vivre un moment exceptionnel, me souffle-t-elle à l'oreille en tranchant l'un après l'autre mes testicules.

- Bienvenue dans ta nouvelle vie de femme, s'exclame-t-elle en me montrant la coupelle dans laquelle elle les a déposés.

- J'en ferai des brochettes pour mon repas ce soir, rajoute-t-elle en souriant tout en recousant mes bourses avec du fil et une aiguille.

- Reviens me voir la semaine prochaine pour que l'on vive notre première séance de gouinage entre filles.

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